« Le chanteur de Gaza » par Hany Abu-Assad
« Pour Sacha » d'Alexandre Arcady
« Inch’Allah » d’Anaïs Barbeau-Lavalette
« Un Juif pour exemple » par Jacob Berger
« Un ami viendra ce soir » de Raymond Bernard
« Nu parmi les loups » de Frank Beyer
« Jacob le menteur » par Frank Beyer
« M. Kaplan », par Álvaro Brechner
« The Producers » (« Les Producteurs ») par Mel Brooks
Les Enfants du Paradis, l’exposition
« Borat » de Larry Charles
« Cours sans te retourner » de Pepe Danquart
« Ushpizin » de Gidi Dar
« Schtonk ! » par Helmut Dietl
« L’évasion de Baruch » par Ewald André Dupont
« Le métis de Dieu » par Ilan Duran Cohen
« Ivan le Terrible » par Sergej M. Eisenstein
« Autant en emporte le vent » par Victor Fleming, George Cukor et Sam Wood
« L’Homme qui tua Liberty Valance » par John Ford
« Hôtel Rwanda » de Terry George
« Félix & Meira » par Maxime Giroux
« The Immigrant » par James Gray
« Scarface » de Howard Hawks
« Elser, un héros ordinaire », par Oliver Hirschbiegel
« Enfants prodiges » par Kurt Hoffmann
« La Bible » par John Huston
« Kaddish pour un ami » de Leo Khasin
« The Exchange » par Eran Kolirin
« Le Livre de la jungle » par Zoltan Korda
« Le serment » (The Promise) de Peter Kosminsky
« Fritz Bauer - Un héros allemand » par Lars Kraume
« Diabolo menthe » par Diane Kurys
« La Planète sauvage » par René Laloux
« Les trois lumières », par Fritz Lang
« M le maudit » de Fritz Lang
« Le Testament du Docteur Mabuse » par Fritz Lang
« Metropolis » de Fritz Lang
« Espions sur la Tamise » de Fritz Lang
« L’institutrice » par Nadav Lapid
« La journée de la jupe » par Jean-Paul Lilienfeld
« Nowhere in Africa » par Caroline Link
« Le dossier Odessa » par Ronald Neame
« Pour Sacha » d'Alexandre Arcady
« Inch’Allah » d’Anaïs Barbeau-Lavalette
« Un Juif pour exemple » par Jacob Berger
« Un ami viendra ce soir » de Raymond Bernard
« Nu parmi les loups » de Frank Beyer
« Jacob le menteur » par Frank Beyer
« M. Kaplan », par Álvaro Brechner
« The Producers » (« Les Producteurs ») par Mel Brooks
Les Enfants du Paradis, l’exposition
« Borat » de Larry Charles
« Cours sans te retourner » de Pepe Danquart
« Ushpizin » de Gidi Dar
« Schtonk ! » par Helmut Dietl
« L’évasion de Baruch » par Ewald André Dupont
« Le métis de Dieu » par Ilan Duran Cohen
« Ivan le Terrible » par Sergej M. Eisenstein
« Autant en emporte le vent » par Victor Fleming, George Cukor et Sam Wood
« L’Homme qui tua Liberty Valance » par John Ford
« Hôtel Rwanda » de Terry George
« Félix & Meira » par Maxime Giroux
« The Immigrant » par James Gray
« Scarface » de Howard Hawks
« Elser, un héros ordinaire », par Oliver Hirschbiegel
« Enfants prodiges » par Kurt Hoffmann
« La Bible » par John Huston
« Kaddish pour un ami » de Leo Khasin
« The Exchange » par Eran Kolirin
« Le Livre de la jungle » par Zoltan Korda
« Le serment » (The Promise) de Peter Kosminsky
« Fritz Bauer - Un héros allemand » par Lars Kraume
« Diabolo menthe » par Diane Kurys
« La Planète sauvage » par René Laloux
« Les trois lumières », par Fritz Lang
« M le maudit » de Fritz Lang
« Le Testament du Docteur Mabuse » par Fritz Lang
« Metropolis » de Fritz Lang
« Espions sur la Tamise » de Fritz Lang
« L’institutrice » par Nadav Lapid
« La journée de la jupe » par Jean-Paul Lilienfeld
« Nowhere in Africa » par Caroline Link
« Le dossier Odessa » par Ronald Neame
« Lettre d’une inconnue », de Max Ophüls
« Ida » par Pawel Pawlikowski
« L’Einstein du sexe » par Rosa von Praunheim
« Hatufim - Prisonniers de guerre » de Gideon Raff
« Un destin d'héritier - Arndt von Bohlen » par André Schäfer
« Miral » de Julian Schnabel
« Mumu » de Joël Séria
« Falafel sauce atomique » par Dror Shaul
« Les assassins sont parmi nous » par Wolfgang Staudte
« Oriana Fallaci », par Marco Turco
« Süskind » de Rudolf van den Berg
« Black Book » de Paul Verhoeven
« Comedian Harmonists » par Joseph Vilsmaier
« Katyń » d’Andrzej Wajda
« Brooklyn Yiddish » par Joshua Z. Weinstein
« Ida » par Pawel Pawlikowski
« L’Einstein du sexe » par Rosa von Praunheim
« Hatufim - Prisonniers de guerre » de Gideon Raff
« Un destin d'héritier - Arndt von Bohlen » par André Schäfer
« Miral » de Julian Schnabel
« Mumu » de Joël Séria
« Falafel sauce atomique » par Dror Shaul
« Les assassins sont parmi nous » par Wolfgang Staudte
« Oriana Fallaci », par Marco Turco
« Süskind » de Rudolf van den Berg
« Black Book » de Paul Verhoeven
« Comedian Harmonists » par Joseph Vilsmaier
« Katyń » d’Andrzej Wajda
« Brooklyn Yiddish » par Joshua Z. Weinstein
« Les Producteurs, c’est le meilleur de la comédie en un seul film. Mel Brooks fait preuve d’un incroyable et incontestable talent en entremêlant tragédie-comédie, comédie-tragédie, pitié, peur, hystérie, schizophrénie, délire inspiré et folie généreuse avec de la magie pure. […] Ceux qui ont vu le film et l’ont compris ont fait l’expérience d’un phénomène qui n’arrive qu’une seule fois dans une vie », a déclaré Peter Sellers.
Mel Brooks : un génie du rire
Mel Brooks est né Melvin Kaminsky le 28 juin 1928 à New York, dans une famille juive germano-russe.
« Après s’être enrôlé dans l’U.S. Army en 1944, il débute à son retour d’Europe une carrière dans le stand-up », un one-man-show comique.
En 1949, Mel Brooks « est repéré par Sid Caesar, célèbre humoriste pour la télévision américaine. Durant presque dix ans, il écrira de nombreux sketches aux côtés de Woody Allen ou Neil Simon, dont il sera parfois l’interprète ».
« Puis, en 1962, il signe le scénario du court-métrage d’animation The Critic, dont il assure également la narration, et qui lui vaudra un Oscar ».
« Trois ans plus tard, il coécrit avec Buck Henry (à qui l’on doit entre autres le scénario du Lauréat) la série télévisée Max la menace (Get Smart), hilarante parodie de film d’espionnage qui sera diffusée jusqu’en 1970 ». Une parodie des films de James Bond avec Don Adams dans le rôle de l'agent 86, doté de gadgets et d’une chaussure téléphone, et œuvrant pour l’organisation CONTROL.
« À près de quarante ans, Mel Brooks écrit et réalise son premier long-métrage, Les Producteurs, librement inspiré de son expérience passée dans le monde du spectacle. Ce film, qui a d’abord divisé la critique et le public, entrera bientôt au panthéon des chefs-d’oeuvre de la comédie américaine ».
Mel Brooks « sera par ailleurs l’un des premiers réalisateurs issus de la communauté juive à oser s’attaquer de plein fouet à l’ennemi juré, Hitler, et à le transformer en clown – heurtant au passage la sensibilité de nombreux spectateurs ». Il use de l’humour pour ridiculiser certains membres du show business.
« Pour son prochain film, Le Mystère des douze chaises (1970), Mel Brooks passe devant la caméra, aux côtés de Ron Moody et Frank Langella ».
« Viendront ensuite ses célèbres parodies qui lui vaudront une renommée mondiale et assiéront sa réputation dans le genre de la comédie américaine, aux côtés de Woody Allen et Jerry Lewis : Le Shérif est en prison (1974) s’attaque au western, Frankenstein Junior (1974) aux films d’horreur ayant fait la gloire d’Universal dans les années 1930, La Dernière Folie de Mel Brooks (1976) aux films muets à la Mack Sennett, ou enfin Le Grand Frisson (1977) aux thrillers à la Hitchcock ».
« Après une intense période d’activité dans les années 1970, Mel Brooks se fait plus rare durant les deux prochaines décennies, réalisant cinq nouveaux longs-métrages, dont le dernier date de 1995, Dracula, mort et heureux de l’être ».
« Mais s’il a quelque peu freiné son activité de réalisateur, Mel Brooks poursuit toujours une prolifique carrière d’acteur – il fut particulièrement remarqué dans le remake du film de Lubitsch, To Be or Not to Be (Alan Johnson, 1983) aux côtés de sa femme, l’actrice Ann Bancroft ».
« Depuis, il s’est surtout spécialisé dans le doublage de films d’animation, mais apparaît également dans quelques séries américaines comme Dingue de toi (1992-1999) ou Larry et son nombril (2000- ) de Larry David ».
« En parallèle, Mel Brooks a aussi créé sa propre société de production, Brooksfilms, à qui l’on doit notamment le chef-d’oeuvre de David Lynch Elephant Man (1980) ou La Mouche de David Cronenberg (1986) ».
« Travailler avec Mel sur ma série a été l’une des choses les plus excitantes de ma vie. […] La première fois que j’ai entendu Mel, j’ai pensé que personne ne pouvait être aussi drôle. À ce moment, je me suis dit que je ne pourrai jamais devenir comique. À quoi bon ? Mel Brooks ne m’a pas fait entrer dans la comédie, il m’y a éloigné. J’ai passé des années à ne rien faire à cause de lui », a confié, admiratif, Larry David (Seinfeld, Larry et son nombril)
En 2017, à l’âge de 91 ans, il a débuté comme entertainer dans un casino à Las Vegas.
"La folle histoire de Mel Brooks"
OCS Géants diffusera les 21 et 24 mai 2020 "La folle histoire de Mel Brooks" d'Hubert Attal. "Réalisateur d'une dizaine de films dont trois sont classés parmi les 100 films les plus drôles du cinéma américain par l'American Film Institute, Mel Brooks, né Melvin Kaminsky en juin 1926 à Brooklyn, est l'un des rares à avoir remporté l'Oscar, le Tony Award, l'Emmy Award et le Grammy Award. Ce champion de la parodie au cinéma, grand fan du slapstick à la Stooges, s'est essayé au cinéma sérieux en tant que producteur d'«Elephant Man» ou de «La Mouche». Créateur de la série culte «Max la menace» en 1965, Oncle Phil dans la série «Dingue de toi», il fut même l'un des premiers rappeurs de l'histoire avec son «It's Good to Be the King», en 1981. Un portrait instructif de Mel Brooks par lui-même et ses amis, réalisateurs et acteurs."
"Né dans le quartier juif de Brooklyn en 1926, Mel Brooks retrace sa carrière, ponctuant ses récits de plaisanteries. Les extraits de ses films et des émissions télévisées auxquelles il a participé, ainsi que les entretiens avec ses collaborateurs et amis, complètent le portrait de ce scénariste, réalisateur, acteur, producteur et compositeur, qui a toujours cherché à donner à ses messages l’apparence du divertissement le plus irrévérencieux."
"C’est après avoir vu la comédie musicale Anything goes de Cole Porter que naît la passion pour la scène du jeune Melvin Kaminsky, futur Mel Brooks. Il apprend à jouer de la batterie – parce que c’est l’instrument le plus bruyant – et crée à la télévision un duo comique avec Carl Reiner à partir de 1949. En 1960, Brooks débarque à Los Angeles et réalise des satires féroces dont le court métrage d’animation The Critic (1963), sur l’univers de l’art contemporain, Les Producteurs (1968), sur deux escrocs qui montent une comédie musicale d’un goût douteux (Le Printemps d’Hitler), et Le Mystère des 12 chaises (1970) où un shérif scandalise parce qu’il est noir. Par la parodie, il déconstruit les genres, du film historique au blockbuster, en passant par le thriller hitchcockien. Son plus beau succès reste Frankenstein Junior (1974) qui pose, comme ses films en tant que producteur (notamment Elephant Man de Lynch, 1980, et La Mouche de Cronenberg, 1986), la question de la monstruosité." (Martin Drouot)
"La folle histoire de Mel Brooks"
OCS Géants diffusera les 21 et 24 mai 2020 "La folle histoire de Mel Brooks" d'Hubert Attal. "Réalisateur d'une dizaine de films dont trois sont classés parmi les 100 films les plus drôles du cinéma américain par l'American Film Institute, Mel Brooks, né Melvin Kaminsky en juin 1926 à Brooklyn, est l'un des rares à avoir remporté l'Oscar, le Tony Award, l'Emmy Award et le Grammy Award. Ce champion de la parodie au cinéma, grand fan du slapstick à la Stooges, s'est essayé au cinéma sérieux en tant que producteur d'«Elephant Man» ou de «La Mouche». Créateur de la série culte «Max la menace» en 1965, Oncle Phil dans la série «Dingue de toi», il fut même l'un des premiers rappeurs de l'histoire avec son «It's Good to Be the King», en 1981. Un portrait instructif de Mel Brooks par lui-même et ses amis, réalisateurs et acteurs."
"Né dans le quartier juif de Brooklyn en 1926, Mel Brooks retrace sa carrière, ponctuant ses récits de plaisanteries. Les extraits de ses films et des émissions télévisées auxquelles il a participé, ainsi que les entretiens avec ses collaborateurs et amis, complètent le portrait de ce scénariste, réalisateur, acteur, producteur et compositeur, qui a toujours cherché à donner à ses messages l’apparence du divertissement le plus irrévérencieux."
"C’est après avoir vu la comédie musicale Anything goes de Cole Porter que naît la passion pour la scène du jeune Melvin Kaminsky, futur Mel Brooks. Il apprend à jouer de la batterie – parce que c’est l’instrument le plus bruyant – et crée à la télévision un duo comique avec Carl Reiner à partir de 1949. En 1960, Brooks débarque à Los Angeles et réalise des satires féroces dont le court métrage d’animation The Critic (1963), sur l’univers de l’art contemporain, Les Producteurs (1968), sur deux escrocs qui montent une comédie musicale d’un goût douteux (Le Printemps d’Hitler), et Le Mystère des 12 chaises (1970) où un shérif scandalise parce qu’il est noir. Par la parodie, il déconstruit les genres, du film historique au blockbuster, en passant par le thriller hitchcockien. Son plus beau succès reste Frankenstein Junior (1974) qui pose, comme ses films en tant que producteur (notamment Elephant Man de Lynch, 1980, et La Mouche de Cronenberg, 1986), la question de la monstruosité." (Martin Drouot)
"Les Producteurs"
Le 22 août 2018, est sorti en France, dans une version restaurée, « The Producers » (« Les Producteurs ») réalisé par Mel Brooks. La « première comédie culte et déjantée de Mel Brooks ». Un chef d’œuvre oscarisé qui court sur le fil ténu entre le rire et le désespoir, le succès et l’échec, entre le respect et la provocation. Avec un duo comique clownesque génial, désopilant, irrésistible : Zero Mostel et Gene Wilder dans le rôle d’escrocs cyniques tablant sur l’échec de la comédie musicale qu’il monte – « Springtime for Hitler » - pour s’enrichir.
« Premier long-métrage de Mel Brooks en tant que scénariste et réalisateur, Les Producteurs est une plongée saisissante dans l’univers décalé du grand génie de la comédie loufoque à l’américaine ».
« Jadis célèbre producteur à Broadway, Max Bialystock (Zero Mostel) est désormais contraint de soutirer de l’argent à de riches octogénaires libidineuses en faisant le gigolo. Un jour débarque le timide et névrosé Leo Bloom (Gene Wilder), chargé de vérifier ses comptes. Constatant certaines irrégularités, le comptable fait remarquer qu’il y aurait beaucoup d’argent à se faire en montant un spectacle qui s’avérerait être un flop immédiat. Les deux comparses décident de s’associer et tombent sur le projet parfait : une comédie musicale intitulée Le Printemps d’Hitler, écrite par un certain Franz Liebkind, faisant l’apologie du Troisième Reich. Max et Leo sont persuadés qu’ils tiennent là un four assuré. Mais le public sera-t-il du même avis ? »
« Pour son coup d’essai cinématographique, Brooks réussit un coup de maître en frappant particulièrement fort. Seulement vingt-trois ans après la fin de la Seconde Guerre mondiale, Les Producteurs repousse les frontières du bon goût avec son projet de comédie musicale à la gloire du Führer et de l’Allemagne nazie ! »
« La première du Printemps d’Hitler figure parmi les nombreuses scènes d’anthologie de cette oeuvre d’une incroyable maîtrise, qui parvient à trouver le ton juste tout en assumant son humour grotesque outrancier et sa bonne dose de politiquement incorrect, le tout filmé dans un rythme endiablé. Le talent de Mel Brooks ne pouvait guère passer inaperçu ; il obtiendra pour cette oeuvre l’Oscar du Meilleur scénario original ».
« Évidemment, le ressort comique des Producteurs repose également en grande partie sur ses acteurs, en particulier sur le duo campé par Zero Mostel et Gene Wilder. À l’instar d’un Laurel et Hardy, voici deux héros que tout oppose, aussi bien sur le plan physique que psychologique, et dont l’alchimie fonctionne ici à merveille ».
« Mention spéciale à la galerie de personnages secondaires, tout aussi hilarante : du metteur en scène travesti Roger De Bris à son assistant-amant Carmen Ghia, en passant par l’acteur L.S.D. jouant un Hitler en plein trip psychédélique ! »
« Au passage, Mel Brooks livre une formidable satire du monde du spectacle où rien n’est jamais joué à l’avance – pas même le succès de son propre film, qui lancera sa carrière en tant que cinéaste ».
Mais le film est plutôt reçu avec indifférence lors de sa sortie en France. Il est véritablement découvert par le public des cinéphiles lors de sa diffusion par le cinéclub d’Antenne 2 dans les années 1970.
Interdit en Allemagne, il ne sera visible que lorsqu’un festival le programmera dans le cadre d’un hommage aux films de réalisateurs juifs.
En 2001, il a été adapté en comédie musicale pour Broadway. Un succès !
En 2005, cette comédie musicale est adaptée au cinéma par Susan Stroman. Il est interprété par Nathan Lane, Matthew Broderick, Uma Thurman et Will Ferrell. Un échec commercial.
« Splendidement restauré en 4K à l’occasion de son cinquantième anniversaire, Les Producteurs se regarde avec un plaisir non dissimulé, preuve que les plus grands génies comiques traversent les époques et les modes sans ambages ! »
Pour son 50e anniversaire, « The Producers » a été restauré par Studiocanal à partir du négatif original et d’un interpositif en 4K 16 bits, avec le support technique d’Eclair.
Le 4 septembre 2018, il a été disponible en éditions Blu-RayTM et DVD.
"Frankenstein Jr"
Arte diffusa le 31 octobre 2018 à 0 h 05 "Frankenstein Junior", par Mel Brooks. "Pour une histoire d'héritage, l'arrière-petit-fils du docteur Frankenstein accepte de se rendre dans le château familial en Transylvanie... Une parodie hilarante du film d'épouvante et un bijou de dérision réalisé par un Mel Brooks au sommet de sa forme et interprété par son fidèle compère, l'épatant Gene Wilder."
"Arrière-petit-fils du docteur Frankenstein, Frederick Frankenstein n'est pas spécialement fier de son ascendance. Mais, pour une histoire de testament, il accepte de partir pour le château familial en Transylvanie. Igor, un serviteur bossu très intrigant, et la jolie laborantine Inga y vivent. Lui aussi docteur et spécialiste du système nerveux, Frederick décide de reprendre les expériences de son aïeul. Il réussit à créer un monstre, en implantant un cerveau dans un cadavre. Mais la créature se révèle difficile à contrôler…"
"Délirant ! Frankenstein Junior est considéré par les spécialistes de la carrière de Mel Brooks comme son film le plus réussi. Avec son compère l'acteur Gene Wilder, le réalisateur américain se surpasse dans l'exercice du loufoque, du troisième degré et du clin d'œil malicieux. Cette parodie des Frankenstein ou de La fiancée de Frankenstein de James Whale avec Boris Karloff multiplie les références aux films d'horreur qui suivront dans les années 1930. Mais jamais l’humour non-sensique cher au créateur de La folle histoire du monde ne se retourne contre son sujet. Son œuvre s'avère une déclaration d'amour, un hommage sincère (en noir et blanc et tourné dans certains décors utilisés par James Whale) aux films d'épouvante, ce genre à la fois très codifié et capable de se laisser régénérer, notamment par la dérision."
"Pour cet hommage parodique au cinéma fantastique classique, Mel Brooks et Gene Wilder, également comédien principal, ont choisi de tourner "Frankenstein Junior" en noir et blanc. Un choix risqué tant à l'époque, le public était habitué à ne voir que des films en couleurs. Mais la trivialité de la couleur aurait sans doute atténué l'aspect gothique surnaturel du film".
L'American Film Institute a classé "Frankenstein Junior" au 13e rang sur sa liste des 100 films américains les plus drôles. En 2003, le Comité de sauvegarde national du film aux États-Unis a jugé ce film « culturellement, historiquement ou esthétiquement important » et l'a choisi pour être préservé par le National Film Registry de la Bibliothèque du Congrès.
"Frankenstein Jr"
Arte diffusa le 31 octobre 2018 à 0 h 05 "Frankenstein Junior", par Mel Brooks. "Pour une histoire d'héritage, l'arrière-petit-fils du docteur Frankenstein accepte de se rendre dans le château familial en Transylvanie... Une parodie hilarante du film d'épouvante et un bijou de dérision réalisé par un Mel Brooks au sommet de sa forme et interprété par son fidèle compère, l'épatant Gene Wilder."
"Arrière-petit-fils du docteur Frankenstein, Frederick Frankenstein n'est pas spécialement fier de son ascendance. Mais, pour une histoire de testament, il accepte de partir pour le château familial en Transylvanie. Igor, un serviteur bossu très intrigant, et la jolie laborantine Inga y vivent. Lui aussi docteur et spécialiste du système nerveux, Frederick décide de reprendre les expériences de son aïeul. Il réussit à créer un monstre, en implantant un cerveau dans un cadavre. Mais la créature se révèle difficile à contrôler…"
"Délirant ! Frankenstein Junior est considéré par les spécialistes de la carrière de Mel Brooks comme son film le plus réussi. Avec son compère l'acteur Gene Wilder, le réalisateur américain se surpasse dans l'exercice du loufoque, du troisième degré et du clin d'œil malicieux. Cette parodie des Frankenstein ou de La fiancée de Frankenstein de James Whale avec Boris Karloff multiplie les références aux films d'horreur qui suivront dans les années 1930. Mais jamais l’humour non-sensique cher au créateur de La folle histoire du monde ne se retourne contre son sujet. Son œuvre s'avère une déclaration d'amour, un hommage sincère (en noir et blanc et tourné dans certains décors utilisés par James Whale) aux films d'épouvante, ce genre à la fois très codifié et capable de se laisser régénérer, notamment par la dérision."
"Pour cet hommage parodique au cinéma fantastique classique, Mel Brooks et Gene Wilder, également comédien principal, ont choisi de tourner "Frankenstein Junior" en noir et blanc. Un choix risqué tant à l'époque, le public était habitué à ne voir que des films en couleurs. Mais la trivialité de la couleur aurait sans doute atténué l'aspect gothique surnaturel du film".
L'American Film Institute a classé "Frankenstein Junior" au 13e rang sur sa liste des 100 films américains les plus drôles. En 2003, le Comité de sauvegarde national du film aux États-Unis a jugé ce film « culturellement, historiquement ou esthétiquement important » et l'a choisi pour être préservé par le National Film Registry de la Bibliothèque du Congrès.
"Le grand frisson"
Arte diffusera le 12 avril 2021 "Le grand frisson" (High Anxiety, Höhenkoller) de Mel Brooks (1977), avec Mel Brooks, Madeline Kahn, Cloris Leachman, Harvey Korman.
"Nommé à la tête d’une clinique psychiatrique, un médecin souffrant de vertige met au jour une sombre machination..."
"Une comédie déjantée de et avec Mel Brooks qui revisite les films d'Alfred Hitchcock, de "La maison du docteur Edwardes" au "Crime était presque parfait" en passant par "Psychose".
"Suite à la mort de son directeur, la clinique psychiatrique "pour très très grands nerveux" de Los Angeles attend son successeur, le docteur Richard H. Thorndyke. Sommité des neurosciences formée à Harvard, ce dernier jouit d’une solide réputation malgré les attaques de panique que lui cause sa phobie du vide. À peine arrivé dans l’établissement, Thorndyke découvre que rien n’y tourne vraiment rond. Non seulement les patients ne bénéficient pas d’un suivi médical très orthodoxe, mais en plus, l’infirmière en chef Charlotte Diesel et le docteur Charles Montague semblent lui cacher de lourds secrets…"
"Pour rendre à sa façon hommage à Alfred Hitchcock, Mel Brooks – qui endosse avec un flegme olympien la blouse du psychiatre en chef – revisite avec des gags déjantés les scènes de quelques-uns des plus grands films du maître du suspense. De La maison du docteur Edwardes au Crime était presque parfait en passant par Psychose, le réalisateur oscarisé des Producteurs multiplie les clins d’œil, plus strabiques qu’amusés, au grand “Hitch”, dans une intrigue complètement barrée."
France, Eva Production, CNC, OCS, 2017, 52 min
Sur OCS Géants les 21 mai 2020 à 13 h et 24 mai 2020 à 12 h 55
"Frankenstein Junior" par Mel Brooks
Etats-Unis, 1974
Montage : John C. Howard
Musique : John Morris
Production : Gruskoff/Venture Films, Crossbow Productions, Jouer Limited
Producteur/-trice : Michael Gruskoff
Scénario : Mel Brooks, Gene Wilder
Avec Gene Wilder, Peter Boyle, Marty Feldman, Madeline Kahn, Cloris Leachman, Teri Garr, Kenneth Mars, Richard Haydn, Gene Hackman
Auteur : Mary Shelley
Sur Arte le 31 octobre 2018 à 0 h 05
« The Producers » (« Les Producteurs ») réalisé par Mel Brooks
Etats-Unis, 1968, 90 mn, Couleurs, 1.85:1, VISA : 37 642, VOSTF
Scénario : Mel Brooks
Directeur de la photographie : Joseph Coffey
Musique : John Morris
Producteur délégué Joseph E. Levine
Produit par Sidney Glazier
Avec Zero Mostel, Gene Wilder, Dick Shawn, Kenneth Mars, Christopher Hewett, Andreas Voutsinas
"Le grand frisson" de Mel Brooks
Etats-Unis, 1977
Production : Crossbow Productions
Producteur : Mel Brooks
Image : Paul Lohmann
Montage : John C. Howard
Musique : John Morris
Avec Mel Brooks (Dr. Richard H. Thorndyke), Madeline Kahn (Victoria Brisbane), Cloris Leachman (l'infirmière Diesel), Harvey Korman (Dr. Charles Montague), Ron Carey (Brophy), Howard Morris (le professeur Lilloman), Dick Van Patten (Dr. Philip Wentworth)
Sur Arte le 12 avril 2021 à 22 h 40
Visuels : DR
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Les citations proviennent du dossier de presse et d'Arte. Cet article a été publié le 22 août 2018, puis les 31 octobre 2018 et 21 mai 2020.
Les citations proviennent du dossier de presse et d'Arte. Cet article a été publié le 22 août 2018, puis les 31 octobre 2018 et 21 mai 2020.
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