Citations

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« La lucidité est la blessure la plus rapprochée du Soleil. » (René Char).
« Il faut commencer par le commencement, et le commencement de tout est le courage. » (Vladimir Jankélévitch)
« Notre métier n’est pas de faire plaisir, non plus de faire du tort. Il est de porter la plume dans la plaie. » (Albert Londres)
« Le plus difficile n'est pas de dire ce que l'on voit, mais d'accepter de voir ce que l'on voit. » (Charles Péguy)

dimanche 28 janvier 2024

Fritz Lang (1890-1976)

Fritz Lang (1890-1976) est un scénariste et réalisateur - Metropolis (1927), Le Testament du docteur Mabuse (Das Testament des Dr. Mabuse, 1933), Liliom (1934), Furie (1936), L'ange des maudits (1951), Les Contrebandiers de Moonfleet (Moonfleet, 1955) - né à Vienne. Il a inventé des techniques cinématographiques. Sa carrière s'est déroulée à Berlin, Paris et Hollywood. Arte diffusera le 29 janvier 2024 à 23 h 25, dans le cadre de "Films noirs", "La rue rouge" (Scarlet Street) de Fritz Lang avec Edward G. Robinson, Joan Bennett, Dan Duryea. 

Friedrich Christian Anton Lang, ou Fritz Lang (1890-1976), est un réalisateur né dans l'ancien empire austro-hongrois, dans une famille viennoise dont le père juif s'était converti au catholicisme et la mère était une Juive ashkénaze se converti au catholicisme quand l'enfant a dix ans. Il est baptisé dans cette religion.

Il a acquis la nationalité allemande par son mariage en 1919 et, exilé à Hollywood, a obtenu la nationalité américaine en 1935.

Il a innové par sa création de techniques cinématographiques ; ce qui a justifié d'être désigné « Maître des ténèbres ». Ses premiers films sont marqués à partir de 1919 par un style expressionniste qui influera notamment sur le film noir. Son oeuvre révèle sa lucidité face aux bouleversements de la société allemande,  telle la manipulation psychologique de la foule ou de l'individu par une personnalité machiavélique, dominatrice.

Depuis 2001, la version restaurée et reconstituée de Métropolis (1925-1926) dans les studios de Babelsberg, figure au registre international Mémoire du monde de l'UNESCO.

Après une carrière ponctuée de chefs d’œuvre, muets et parlants, en Allemagne, Fritz Lang quitte l’Allemagne nazie dès 1933. Après un bref séjour en France où il tourne Liliom (1934), il s’installe aux Etats-Unis. A Hollywood, il débute par Furie (1936). 

Après des films dans des genres différents - J'ai le droit de vivre (You Live Only Once, 1937), Casier judiciaire (You and Me, 1939), Le Retour de Frank James(The Return of Frank James, 1940) et Les Pionniers de la Western Union (Western Union, 1941) -, Fritz Lang poursuit sa carrière américaine par des films d’espionnage anti-nazis dans une Amérique en guerre contre les Forces de l’Axe. 

En quelques années, il signe Chasse à l'homme (Man Hunt, 1941), Les bourreaux meurent aussi (Hangmen Also Die!, 1943), écrit avec Bertolt Brecht, Espions sur la Tamise (Ministry of Fear, 1944) et Cape et Poignard (Cloak and Dagger, 1945).

Vers la fin de sa carrière, il interprète son personnage de réalisateur dans Le Mépris de Jean-Luc Godard avec Brigitte Bardot et Michel Piccoli. 

« Les trois lumières » 
Arte diffusa « Les trois lumières » (Der Müde Tod), par Fritz Lang (1921). « Voyageuse lasse et solitaire, la Mort tente de séparer un jeune couple d'amoureux... Une légende expressionniste » démultipliée en trois contextes/décors distincts.

« L'amour est aussi fort que la mort », indique le Cantiques des cantiques.

Apparaissant en « voyageur à la silhouette longiligne et au visage triste, la Mort tente de séparer deux jeunes amants. Mais lasse de toujours triompher, elle accepte d'accorder à la jeune fille trois chances de sauver l'élu de son cœur. L'amoureuse est ainsi mise à l'épreuve en étant précipitée dans trois récits différents de couples en danger : à Bagdad, dans un décor des Mille et une nuits, à Venise sous la Renaissance, et en Chine dans le palais de l'empereur. Mais la jeune fille ne peut aider aucun des fiancés. La Mort lui laisse alors une dernière possibilité de sauver son amant : elle lui demande de lui apporter une autre âme en échange de celle de son bien-aimé. La jeune fille cherche en vain quelqu'un qui pourrait lui faire don de sa vie ».

Réalisé en 1921, ce « huitième film muet » de Fritz Lang affermit sa réputation « comme grand créateur expressionniste ».

Pendant sa période allemande - il fuit le nazisme pour la France puis les États-Unis -, Fritz Lang « se révèle comme étant le plus poète, le plus romantique et le plus germanique de tous les cinéastes d'expression allemande ».

Dans cette légende d'inspiration très germanique, dont le scénario est de la romancière populaire Thea von Harbou, que Fritz Lang épouse peu après le tournage -, le « réalisateur dessine une allégorie de l'existence comme un combat perdu d'avance devant la destinée ».

Avec une nouvelle orchestration enregistrée en ciné-concert le 12 février lors de la Berlinale 2016, interprétée par l'Orchestre symphonique de la Radio de Berlin sous la direction de Frank Strobel.

Les effets spéciaux de la séquence chinoise inspirent Douglas Fairbanks dans son film Le Voleur de Bagdad. Pour éviter toute concurrence, ce réalisateur et acteur américain avait acheté les droits  du film allemand, et en avait retardé la diffusion après la sortie de son film, en 1924.   

 « Le retour de Frank James »
Arte diffusera le 19 septembre 2022 à 20 h 50 « Le retour de Frank James » (Rache für Jesse James), western réalisé par Fritz Lang avec Henry Fonda, Gene Tierney, Jackie Cooper, John Carradine.

« Après la mort de Jesse James, son frère Frank se lance à la poursuite de ses assassins. Un efficace western en Technicolor signé Fritz Lang, avec Henry Fonda dans le rôle-titre et une Gene Tierney débutante. »

« Après une longue cavale, Jesse James, hors-la-loi le plus recherché – et le plus admiré – de l’Ouest, est abattu d’une balle dans le dos par Charles et Bob Ford, d’anciens acolytes qui l’ont trahi pour empocher les 10 000 dollars promis. Loin d’être punis à la hauteur de leur crime, les frères Ford sont graciés par le gouverneur du Missouri, de mèche avec la Compagnie des chemins de fer, responsable de la ruine de la famille James… Lorsque la nouvelle arrive aux oreilles du frère de Jesse, Frank James, qui vit sous un nom d’emprunt en modeste fermier, celui-ci décide de retrouver les assassins. Aussi roué que gentleman, il sera aidé dans sa mission par Clem, son maladroit mais sympathique neveu, et par une aspirante journaliste qui ne tarde pas à tomber sous son charme. »

« Après l’immense succès populaire du Brigand bien-aimé de Henry King (1939), qui relançait la légende de Jesse James, la Twentieth Century Fox lui offre une suite l’année suivante, mettant en scène la vengeance (assez éloignée de la réalité historique) du frère de ce dernier ». 

« Les rênes en sont confiées à Fritz Lang, émigré de fraîche date à Hollywood, où il a déjà réalisé trois films ». 

« Si l’on n’attendait pas l’auteur de M le Maudit aux manettes d’un western en Technicolor, il s’en approprie brillamment les codes, mêlant action, humour et un brin de romance, avec un rythme maîtrisé, une superbe photographie et des décors naturels sublimés ». 

« La distribution reprend une partie des acteurs du premier opus, dont Henry Fonda, tout en sobriété dans la peau de ce justicier ambigu et tourmenté, et donne son premier rôle à la pétillante Gene Tierney, tout juste âgée de 20 ans. »


« Les pionniers de la Western Union »
Arte rediffusera le 12 février 2019 « Les pionniers de la Western Union » (Überfall der Ogalalla ; Western Union), film américain réalisé par Fritz Lang (1941), avec Robert Young, Randolph Scott, Dean Jagger, John Carradine. 

« L'épopée de l'installation du télégraphe dans l'Ouest américain... Dans un magnifique Technicolor, un western de haute lignée réalisé en 1941 par Fritz Lang, amateur du genre ».

« Alors qu'il essaie d'échapper à des poursuivants, Vance Shaw, un hors-la-loi qui vient de braquer une banque, doit abandonner son cheval. Il rencontre un cavalier blessé dont il vole la monture. Mais, intrigué par l'état alarmant de l'inconnu, il fait volte-face et l’emmène chez un médecin. L'homme secouru, Edward Creighton, est un ingénieur de la compagnie télégraphique Western Union. Quelques mois plus tard, il recroise Vance Shaw et l'embauche ».

« Exilé aux États-Unis depuis 1934 pour fuir le nazisme, le réalisateur du Docteur Mabuse et de Metropolis a rapidement enchaîné les commandes pour Hollywood ». 

« Un an après le convaincant Retour de Frank James, Fritz Lang investit une nouvelle fois le western, à la demande du patron de la 20 th Century Fox, Darryl F. Zanuck, persuadé que les cinéastes européens allaient renouveler le genre ». 

« Si Les pionniers de la Western Union se révèle d'une facture plus classique que les chefs-d'œuvre européens de Lang, il n'en demeure pas moins pénétré de la classe de son auteur. Au-delà de la magnifique utilisation du Technicolor, quelques scènes imprègnent la rétine, comme celles de la poursuite initiale, de l'incendie du campement ou du duel final ». 

« On retrouve aussi, avec le personnage de Vance Shaw, un des thèmes préférés du cinéaste austro-hongrois : le héros rattrapé par la fatalité. Pas de happy end pour Vance le maudit, mais une belle suite d'aventures ».

Le film sera introduit par "Les pionniers de la Western Union" de Fritz Lang - Un regard, une minute  » ("Überfall der Ogalalla" von Fritz Lang - Ein Film, eine Minute). Dans "Les pionniers de la western union" de Fritz Lang, il y a pêle mêle les indiens qui attaquent, les cow boys et la cavalerie qui se défendent, la jolie fille que se disputent un hors la loi du Far Ouest et un prétentieux sympathique venu de la côte est. Tous évoluent avec comme contexte le progrès industriel cher à l'économie de marché américaine : l'installation du télégraphe ».

« A Hollywood, on m’a forcé de faire le film sans changer un mot, et je ne crois pas que ce soit un bon film. C’est très loin de mes intentions », se souvenait Fritz Lang qui, pourtant réussit à imprégner ce film, sur l’intrigue classique d’un homme combattant seul un réseau nazi, de ses thématiques - héros faussement accusé -, de références visuelles à M le maudit, et de son style expressionniste parfait dans les studios allemands...

« Hiver 1941. Alors que l'aviation nazie pilonne les villes anglaises, Stephen Neale, tout juste libéré de deux ans de réclusion purgés dans un asile pour avoir aidé sa femme à mourir, s'aventure dans une kermesse avant de grimper dans un train pour Londres. Le prenant pour un autre, une voyante lui permet de gagner un gâteau en lui en indiquant le poids exact. Peu après, dans le train, un faux aveugle l'attaque à coups de canne pour le lui prendre. Alors qu'il poursuit son agresseur dans la campagne nocturne, celui-ci disparaît, avec le gâteau, sous une bombe larguée du ciel… »

Signé Fritz Lang, le combat d’un homme qui affronte seul des espions nazis, un « voyage expressionniste de toute beauté, adapté du roman crépusculaire de Graham Greene. Avec l'impeccable Ray Milland ».

« Dans les pas de son héros, bientôt rejoint par une charmante réfugiée autrichienne, Fritz Lang ressuscite le Londres du blitz à travers des plans expressionnistes d'une grande beauté. Dans une ville crépusculaire et désertée, hantée par les sirènes annonciatrices des raids aériens, Ray Milland affronte les ombres mouvantes de son passé et d'ennemis dont il ne connaît pas le visage. Une atmosphère saisissante, fidèle à celle du roman de Graham Greene, puissante évocation de la ville au temps du black-out. L'ombre portée de la guerre, durant laquelle fut tourné Le ministère de la peur, renforce la menace diffuse qui imprègne le film ». 

Un film dont Fritz Lang garde un mauvais souvenir car il n’avait pas le droit d’en modifier le scénario et qu’il craignait de perdre la vue en raison de problèmes affectant son œil malade.

« Espions sur la Tamise »
Arte diffusa « Espions sur la Tamise » (Ministry of Fear), film d’espionnage de Fritz Lang (Paramount Pictures, 1944) avec Ray Milland, Marjorie Reynolds, Carl Esmond, Hillary Brooke. 

Le combat d’un homme contre un réseau nazi dans l’Angleterre victime du Blitz déclenché par le IIIe Reich. Une Allemagne que Fritz Lang avait quittée en 1933.

« Désirs humains »
Arte diffusera le 10 octobre 2019 « Désirs humains » (Lebensgier) par Fritz Lang (1954).

 « Pour échapper à un mari brutal, une jeune femme tente de le faire assassiner par un collègue épris d’elle... En 1954, Fritz Lang adapte et modernise "La bête humaine" de Zola façon thriller américain. Un joyau du film noir avec Glenn Ford et Gloria Grahame ».

« Pour sauver son travail aux chemins de fer, Carl Buckley, un homme d’âge mûr au caractère violent, demande à sa jeune femme Vicky de relancer un gros client de la compagnie qui fut autrefois amoureux d’elle. La jeune femme réussit sa mission, mais pris d’un terrible accès de jalousie, son mari la bat, puis l'oblige à fixer rendez-vous à l'homme dans un train, où il l'assassine. Par hasard, Jeff Warren, un cheminot fraîchement revenu de Corée, est témoin de la scène. Lors de l’enquête, il ment pour protéger Vicky… »

« Après l’adaptation de La bête humaine par Jean Renoir en 1938" avec Simone Simon et Jean Gabin", Fritz Lang propose sa propre version, s’efforçant d’établir une passerelle entre la littérature européenne et le cinéma hollywoodien ». 

« On est loin d’une adaptation classique et respectueuse : le drame de Zola est modernisé, transposé aux États-Unis, Lantier devenant Jeff, ancien combattant de la guerre de Corée ». 

« Fritz Lang se démarque de manière radicale du réalisme poétique de Renoir (qu’il admirait beaucoup), sans pour autant trahir Zola. Comme dans le roman, la vitesse du train symbolise le déchaînement des passions. Les personnages sont étudiés au scalpel ; la mise en scène adopte la méticuleuse mécanique du thriller à l’américaine. Cette fois, la "femme fatale", pilier du film noir, ne parvient pas à ses fins ».

En 1997, les Academy Film Archive ont préservé "Human Desire".

"La rue rouge" 
ARTE "présente une sélection de films noirs. Venez découvrir une Bette Davis qui livre une prestation exceptionnelle dans "L'emprise" de John Cromwell ou essayez de prendre la fuite avec Michèle Morgan dans "L'évadée".

Arte diffusera le 29 janvier 2024 à 23 h 25, dans le cadre de "Films noirs", "La rue rouge" (Scarlet Street), film américain réalisé par Fritz Lang. 

"Un humble caissier, peintre amateur, se ronge d’ennui quand il s’éprend d’une jeune femme qui l’entraîne dans une dérive mortifère... Fritz Lang livre une version très noire de "La chienne" de Jean Renoir, avec Joan Bennett et Edward G. Robinson".

"Caissier et employé modèle, Chris Cross a depuis longtemps renoncé à son rêve de devenir artiste. Marié à une veuve acariâtre qui le maltraite, le quadragénaire, en proie à une crise existentielle, ne s’échappe de son austère quotidien qu’à ses heures perdues, dans la peinture naïve. Un soir, dans la rue, il porte secours à une jeune femme, Kitty March, qu’il croit sauver de l’agression d’un inconnu – il s’agit en réalité de son petit ami. Ce dernier, escroc sans scrupules, persuade bientôt Kitty d’extorquer de l’argent à Chris, qui, subjugué par elle, est bientôt entraîné dans une descente aux enfers."

"Un an après La femme au portrait, Fritz Lang reprend, dans cette version américaine de La chienne de Jean Renoir, les thèmes de la manipulation et de la dérive mortifère qui lui sont chers."

"Honnête caissier déjà condamné à l’enfer d’une vie conjugale sans amour, sous le regard du premier mari de son épouse qui le toise dans un portrait au mur, Chris, aveuglé par sa passion, ignore avec obstination tous les signaux d’alerte de la sombre impasse dans laquelle il s’enfonce. En proie à son fantasme, lueur vacillante de vie dans son quotidien monotone, il préfère se fier aux mensonges qui le nourrissent, tout comme Kitty, coupable de travestir la réalité mais elle aussi victime, quand elle veut croire aux boniments cruels de son amant". 

"Dans ce jeu de dupes et de faux-semblants, la jeune femme, qui se prétend actrice, s’adjuge la paternité des toiles de Chris et de son discours sur l’art. Mais si la fiction facilite un temps la vie de chacun, y compris l’argument de galeristes en quête de nouveaux talents, elle précipite aussi la mort dans une spirale infernale sans espoir de rédemption". 

"Avec une Joan Bennett redoutable de duplicité et un magistral Edward G. Robinson en antihéros pathétique rongé de culpabilité, un film noir empreint de désenchantement social".

"La Rue rouge (Scarlett Street), réalisé en 1945 par Fritz Lang, est le remake américain de La Chienne de Jean Renoir, ou plutôt une nouvelle adaptation du roman de Georges de La Fouchardière. Le cinéaste allemand, exilé à Hollywood, s’empare de cette histoire pour un faire un film très personnel. Il y poursuit son exploration des thèmes du crime, de la culpabilité et du destin, au cœur de son œuvre. La Rue rouge présente de nombreuses similitudes avec le précédent film de Lang, La Femme au portrait. Outre le même trio d’acteurs, Edward G. Robinson, Joan Bennett et Dan Duryea, on y retrouve la description des mécanismes d’emprise et de manipulation qui vont entraîner la déchéance d’un honnête homme. Ce film noir d’un pessimisme féroce sur les passions humaines est aussi l’un des titres les plus stylisés de Lang, où éclate à chaque séquence le génie de sa mise en scène", a analysé Olivier Père pour Arte.



« Les trois lumières  », par Fritz Lang
Decla-Bioscop, 1921, 95 min
Scénario : Thea von Harbou, Fritz Lang
Décors : Hermann Warm, Walter Röhrig, Robert Herlth
Images : Erich Nitzschmann, Herrmann Saalfrank, Fritz Arno Wagner, Bruno Mondi, Bruno Timm
Musique : Cornelius Schwehr
Restauration : Friedrich-Wilhelm-Murnau-Stiftung Wiesbaden
Avec Lil Dagover
Walter Janssen
Bernhard Goetzke
Hans Sternberg
Carl Rückert
Max Adalbert
Wilhelm Diegelmann, Erich Pabst, Karl Platen, Hermann Picha, Paul Rehkopf, Max Pfeiffer, Georg John, Lydia Potechina, Grete Berger, Rudolf Klein-Rogge, Eduard von Winterstein, Paul Biensfeldt, Karl Huszar-Puffy
Sur Arte le 16 février 2016 à 0 h 35

Visuels : © ZDF/FWMS


« Le retour de Frank James » de Fritz Lang
Etats-Unis, 1940
Scénario : Sam Hellman
Production : Twentieth Century Fox
Producteur : Darryl F. Zanuck
Image : George Barnes
Montage : Walter Thompson
Musique : David Buttolph
Avec Henry Fonda (Frank James), Gene Tierney (Eleanor Stone), Jackie Cooper (Clem), John Carradine (Bob Ford), Charles Tannen (Charlie Ford), Ernest Whitman (Pinky)
Sur Arte les 19 septembre 2022 à 20 h 50, 20 septembre 2022 à 13 h 35
Visuels : © (1940) 20th Century Fox Film Corp./George Barnes


« Les pionniers de la Western Union » par Fritz Lang
Etats-Unis, 1941
Scénario : Robert Carson
Production : 20th Century Fox
Producteur : Harry Joe Brown
Image : Edward Cronjager, Allen M. Davey
Montage : Robert Bischoff, Gene Fowler Jr.
Musique : David Buttolph
Avec Dean Jagger, Robert Young, Randolph Scott, Virginia Gilmore, John Carradine, Barton MacLane
Auteur : Zane Grey
Sur Arte les 11 février 2019 à 22 h 30, 12 février 2019 à 13 h 35
Visuels :
Dean Jagger (Edward Creighton), Robert Young (Richard Blake), Randolph Scott (Vance Shaw), Virginia Gilmore (Sue Creighton), John Carradine (Doc Murdoch), Barton MacLane (Jack Slade)
© 20th Century Fox/E. Cronjager

France, 2019, 2 minutes

« Espions sur la Tamise » de Fritz Lang
Paramount, Etats-Unis, 1944, 84 min 
Scénario : Seton I. Miller,Graham Greene
Musique : Victor Young
Maquillage : Wally Westmore
Décorateur de plateau : Bertram C. Granger
Direction artistique : Hans Dreier, Hal Pereira
Montage : Archie Marshek
Photographie : Henry Sharp
Avec Ray Milland, Marjorie Reynolds, Carl Esmond, Hillary Brooke, Percy Waram, Dan Duryea, Alan Napier, Erskine Sanford
Sur Arte le 2 décembre 2015 à 22 h 45
Visuels : © 1944 EMKA Division of Universal Studios, inc.

"La rue rouge" de Fritz Lang
Etats-Unis, 1945, 98 min
Auteurs :  Georges de La Fouchardière, André Mouezy-Eon
Scénario : Dudley Nichols
Production : Fritz Lang Productions, Diana Production Company, Walter Wanger Productions
Producteur : Fritz Lang
Image : Milton Krasner
Montage : Arthur Hilton
Musique : Hans J. Salter
Avec Edward G. Robinson (Christopher Cross), Joan Bennett (Kitty March), Dan Duryea (Johnny Prince), Margaret Lindsay (Millie Ray), Rosalind Ivan (Adele Cross), Jess Barker (Damon Janeway)
Sur Arte le 29 janvier 2024 à 23 h 25
Visuels : © Kino Lorber
Disponible du 28/01/2024 au 27/04/2024

« Désirs humains » par Fritz Lang
Etats-Unis, 1954
Auteur : Emile Zola
Scénario : Alfred Hayes
Production : Columbia Pictures, Kirchmedia
Producteur/-trice : Lewis J. Rachmil
Montage : Aaron Stell
Musique : Morris Stoloff
Avec Glen Ford, Gloria Grahame, Broderick Crawford, Edgar Buchanan, Kathleen Case, Peggy Maley, Diane DeLaire, Grandon Rhodes
Visuels : © Columbia Pictures
Sur Arte les 7 octobre 2019 à 22 h 25, 10 octobre 2019 à 13 h 35

France, 2019, 2 min
Disponible sur le site d’Arte du 30/09/2019 au 31/10/2019


Articles sur ce blog concernant :
Cet article a été publié le 15 février 2016, puis le 15 septembre 2022.

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