Citations

« Le goût de la vérité n’empêche pas la prise de parti. » (Albert Camus)
« La lucidité est la blessure la plus rapprochée du Soleil. » (René Char).
« Il faut commencer par le commencement, et le commencement de tout est le courage. » (Vladimir Jankélévitch)
« Notre métier n’est pas de faire plaisir, non plus de faire du tort. Il est de porter la plume dans la plaie. » (Albert Londres)
« Le plus difficile n'est pas de dire ce que l'on voit, mais d'accepter de voir ce que l'on voit. » (Charles Péguy)

jeudi 4 décembre 2025

« Hommage aux victimes. Les attentats de Paris »

Le Musée Carnavalet - Histoire de Paris présente l’accrochage au sein des collections permanentes « Hommage aux victimes. Les attentats de Paris ». Pour le dixième anniversaire des attentats terroristes islamistes les 7, 8, 9 janvier et 13 novembre 2015, le musée Carnavalet – Histoire de Paris montre un choix "d’hommages anonymes, collectés sur les lieux des attaques, ainsi que des œuvres d’art urbain créées en relation avec les tragiques événements. » Entrée libre. Une sélection révélatrice de l'absence de prise de conscience du djihad.

« Les banlieues de la ligne 148 » par Grit Lederer et Alexander Smoltczyk
Al-Qaeda’s French-Algerian “mujahidin” Mohamed Merah killed 7 persons in South-Western France
Latifa ibn Ziaten 
Enluminures en terre d’Islam, entre abstraction et figuration
« Jésus et l’islam » de Gérard Mordillat et Jérôme Prieur 
Vers un « vote halal » en France, en Belgique, en Grande-Bretagne et en Israël ? 
« Humoristes et musulmans » de Frank Eggers  
« Molenbeek, génération radicale ? » par José-Luis Peñafuerte et Chergui Kharroubi 
« Un autre monde » de Noël Dernesch et Olli Waldhauer 
« The Goutte d’Or ! L'institut des Cultures d'Islam invite Martin Parr »
« Des humanitaires sur le chemin d’Allah » par Claire Billet, Constance de Bonnaventure et Olivier Jobard  
« Oum Kalthoum, la voix du Caire », par Xavier Villetard 
"El Gusto" de Safinez Bousbia
« Al Musiqa. Voix et musiques du monde arabe »
« Nouvelle génération, la bande dessinée arabe aujourd’hui » 
« Riad Sattouf. L’écriture dessinée »
« La croix gammée et le turban, la tentation nazie du grand mufti » de Heinrich Billstein 
« L'adieu à la nuit » d’André Téchiné
« Alger, la Mecque des révolutionnaires (1962-1974) » par Ben Salama
« Pictures for Peace. La douleur après l’attentat - Hocine Zaourar » par Rémy Burkel 
« Cheikh Zayed, une légende arabe » par Frédéric Mitterrand
« Emirats, les mirages de la puissance », par Frédéric Compain
L’Arabie saoudite 
La Ligue islamique mondiale, de Paris à Auschwitz
L’Irak, une ex-mosaïque ethnico-religieuse 
« Iran-Irak, la guerre par l'image » par Maryam Ebrahimi
« Oman, au pays des contes » par Nadja Frenz
Le keffieh, c'est tendance !

« Dix ans après les attentats terroristes intervenus les 7, 8, 9 janvier et 13 novembre 2015, le musée Carnavalet – Histoire de Paris présente au sein du parcours des collections une sélection d’hommages anonymes, collectés sur les lieux des attaques, ainsi que des œuvres d’art urbain créées en relation avec les tragiques événements. »

Le musée Carnavalet - Histoire de Paris n'ose pas qualifier ces attentats terroristes d'islamistes.

A regarder les objets - ours en peluches, etc. - déposés par des passants ou les mots d'ordre - "No Pasaran. Je suis Charlie", "Liberté Egalité Fraternité Urbanité", ou "Rock in Peace" sur une basket -, on prend conscience que leurs donateurs ou auteurs n'ont pas conscience du djihad mené contre la France, ses habitants goûtant aux libertés - d'expression, d'aller et venir, etc. et aux principes d'égalité hommes/femmes se côtoyant sur les terrasses de cafés, ses citoyens juifs, etc. 

Des mémoriaux populaires
« Au lendemain des attentats, des milliers de personnes déposent spontanément objets et messages devant les sites touchés, ainsi que sur la place de la République. Si de tels mémoriaux collectifs ont déjà été observés après des attentats, ceux de 2015 frappent par leur ampleur sans précédent. »

Collecter l’éphémère : le rôle du musée
« Les effets du temps et de l’exposition en plein air dégradent les objets et rendent éphémères ces mémoriaux. Sacralisés le temps du deuil, les espaces investis sont progressivement vidés et reprennent leurs usages habituels. Afin de conserver la mémoire de ces hommages qui ont marqué l’histoire de Paris et de la transmettre aux générations futures, le musée Carnavalet, en lien avec les Archives de Paris, a procédé à la collecte d’objets et de messages sur les différents sites. »

La force de l’art urbain
« Spontané et visible par le plus grand nombre, le street art est une des formes d’expression que privilégient les artistes en réaction aux attentats. Réalisées au cœur des quartiers touchés, des œuvres d’art urbain honorent, au cours des semaines qui suivent les attentats, la mémoire des victimes. Certaines transmettent des messages puissants qui, massivement diffusés et réutilisés, se retrouvent ensuite sur de nombreux objets déposés. Ils deviennent les mots d’ordre d’une lutte collective contre le terrorisme tout autant que des messages d’espoir. Certaines créations ont intégré les collections du musée, comme le panneau peint par C215 ou les dessins préparatoires des fresques par la Grim Team. »

Soirée d’échanges le 25 septembre 2025
« 2015, dix ans après, les attentats de Paris »
« Dix ans après les attentats de 2015, le musée Carnavalet - Histoire de Paris propose une soirée d’échanges pour évoquer la façon dont ces événements tragiques ont marqué l’histoire de Paris, des Parisiennes et des Parisiens. »

« PROGRAMME
À partir de 18h30 - 19h30 : Projection et atelier participatif

Projection du film « 2015, Mon ours se souvient »
Un film de la classe de 6eB du Collège Rognoni - École des Enfants du Spectacle, réalisé dans le cadre du projet « Paris vu par les enfants » au musée Carnavalet – Histoire de Paris. 
Atelier participatif en collaboration avec le Labo des Histoires
Avant et après la rencontre, un atelier d’écriture poétique participative proposera au public d’explorer la mémoire collective et individuelle de ces événements tragiques. Comment penser les émotions ? Comment saisir les traces ? Comment dire l’histoire ?
Cet atelier s’adressait à tous les publics
.
19h30-21h : Rencontre
Quel est le rôle du musée dans la collecte, la conservation et la transmission de cette histoire aux générations futures ? Quels messages, d’espoir ou de lutte, transmettent les objets recueillis sur les autels mémoriaux ou encore les oeuvres d’art urbain créées après les attentats ?
Avec la participation de : 
• Arthur Dénouveaux, Président de l’association Life for Paris
• Sarah Gensburger, Directrice de recherche au CNRS au Centre de Sociologie des Organisations à Sciences Po
• Guillaume Nahon, Conservateur général du patrimoine, ancien directeur des Archives de Paris
• Laure Pressac, Chercheuse indépendante, ancienne résidente de la Villa Albertine
• Gérôme Truc, Chargé de recherche au CNRS Directeur adjoint de l’ISP
Rencontre animée par Lucie Vouzelaud, Professeure d’histoire-géographie. 

21h-21h30 : Restitution de l’atelier participatif ». 


LES ATTENTATS TERRORISTES ISLAMISTES

Le 7 janvier 2015,  au siège parisien de l'hebdomadaire Charlie Hebdo, deux djihadistes français, les frères Kouachi, "assassinent onze personnes — dont huit collaborateurs du journal — et en blessent onze autres" avant d'exécuter durant leur fuite, Ahmed Merabet, policier qu'ils avaient blessé et se trouvait à terre. Ils sont tués le 9 janvier 2020 "par le GIGN dans une imprimerie où ils s'étaient retranchés, à Dammartin-en-Goële (Seine-et-Marne), au nord-est de Paris. L'attentat est alors revendiqué par Al-Qaïda dans la péninsule arabique (AQPA), basé au Yémen."


Le 8 janvier 2015, Amedy Coulibaly, un Français proche des frères Kouachi, tue de dos, par balle, Clarissa Jean-Philippe, policière municipale, et blesse grièvement une autre personne à Montrouge, près d'une école juive. Le 9 janvier 2015, il "prend en otage les clients d’une supérette casher à la porte de Vincennes à Paris et tue quatre personnes, dont un employé. Il est tué lors d'un assaut du RAID et de la BRI. Il a revendiqué son action au nom de "l'organisation djihadiste, État islamique qui n'a cependant pas revendiqué son acte. Ces actions ont été coordonnées avec celles des frères Kouachi."

Le 13 novembre 2015, plusieurs terroristes islamistes ont commis, au nom de l'Etat islamique (ISIL, ISIS ou Daech), des attentats près du Stade de France, à Saint-Denis (banlieue au nord de Paris), et à Paris aux terrasses de café et dans la salle de spectacles Le Bataclan, situé dans le XIe arrondissement de Paris et inscrit au titre des monuments historiques depuis le 11 mars 1991. A l'origine, le nom de la salle se référait à Ba-ta-clan, opérette d'Offenbach. Sans trait d'union, son nom "bataclan" signifie un "attirail insolite et encombrant" selon le Larousse.

À 21 h 40, le troisième groupe, véhiculé par une Volkswagen Polo noire, comprend trois Français : Foued Mohamed-Aggad, 23 ans, originaire de Wissembourg dans le Bas-Rhin, Ismaël Omar Mostefaï, 29 ans, originaire de Courcouronnes et domicilié à Chartres, et Samy Amimour, 28 ans, originaire de Drancy. 

Ces terroristes tuent des personnes hors du Bataclan, y entrent et assassinent les spectateurs par rafales, en criant « Allahu akbar » (Allah est grand) et en tentant de trouver le groupe Eagles of Death. 

Vers 22 h, huit militaires de l'opération Sentinelle parviennent sur les lieux. Ordre leur est donné de ne pas intervenir et de ne pas prêter de matériel - un soldat doit garder toujours son arme - aux deux policiers de la BAC (un commissaire divisionnaire et un brigadier), arrivés rapidement. Courageusement, ces deux policiers, des amis ayant l'habitude de s'entrainer ensemble, pénètrent dans le Bataclan et, à 22 h 7, éliminent Samy Amimour qui fait exploser sa ceinture d'explosifs. 

Les deux autres terroristes montent à l'étage et se cachent dans une pièce, en y amenant une vingtaine d'otages. À 22 h 15, soixante hommes de la BRI succèdent à leurs collègues de la BAC positionnés près du Bataclan. Protégés par dix homologues du RAID,  la BRI pénètre dans le Bataclan. De 22 h 15 à 22 h 30, elle prend le contrôle du rez-de-chaussée, puis, les quarante hommes de la BRI se divisent en deux colonnes, et rejoignent le premier étage vers 23 h. Un quart d'heure plus tard, ils détectent dans un couloir les deux terroristes dissimulés derrière leurs otages. Après l'échec de négociations, l'assaut est lancé à 0 h 18. "Protégée par un bouclier Ramsès, équipée de fusils d’assaut, de gilets lourds et de casques à visière blindée, la BRI sécurise le 1er étage pièce par pièce. Après quelques minutes, les deux terroristes sont tués par les hommes de la BRI, sans qu'il y ait cette fois de nouvelles victimes. L'évacuation des blessés commence peu après."

Revendiqués par l'Etat islamique en Irak et au Levant (ISIS), les attentats terroristes islamistes ("ghazwas bénies" raids, razzias en arabe), du 13 novembre 2015 à Paris et à Saint-Denis ont causé la mort de 130 personnes, dont 90 dans le Bataclan. Ont été hospitalisés 413 blessés, dont 99 en situation d'urgence absolue. C'est le bilan tragiquement le plus élevé des attentats terroristes commis en France, et le deuxième le plus lourd en Europe (hors attentats aériens) : les terroristes des attentats de Madrid du 11 mars 2004 avaient assassiné 191 personnes.

En conseil des ministres, le gouvernement a décrété l'état d'urgence sur le territoire national. La précédente occurrence datait du putsch d'Alger de 1958. 

Le 18 mars 2016, seul survivant de ces commandos terroristes islamistes, Salah Abdeslam, est arrêté par la police belge dans la commune bruxelloise de Molenbeek-Saint-Jean, après avoir vécu en fuite durant quatre mois.

Ces attentats terroristes islamistes ont été présentés à tort, mais sciemment par le Président François Hollande et son gouvernement dirigé par le Premier ministre socialiste Manuel Valls, puis par la classe politico-médiatique française et même par la communauté Juive française institutionnalisée, comme ayant visé toute la France, indistinctement. 

Pourquoi ? Pour favoriser l'unité nationale face à l'Etat islamique ? Pour éviter tout questionnement à l'égard de l'inaction fautive face aux menaces d'attentats, notamment par « Jaish al-Islam », l'Armée de l'islam, à l'égard du Bataclan ? Cette salle de spectacles avait durant l'Intifada II accueilli un grand nombre de soirées, notamment en faveur des Magav, police israélienne des frontières, à la suite du refus opposé par d'autres salles parisiennes. Pour renforcer l'idée d'une attaque visant toute la France - la simple lecture des noms des victimes prouve que rares sont les patronymes "de la diversité" ? Autre exemple fourni par l'article Attentats à Paris : dans l'enfer du Bataclan (Le Parisien, 15 novembre 2016) : "Les tueurs sont impitoyables. Ils ont pourtant épargné Alexis (Ndr : le quotidien a changé le prénom), un jeune majeur « typé », comme le décrit une amie, dont la peau mate le fait souvent passer pour un jeune d'origine maghrébine. « Ils l'ont visé, puis se sont repris, explique cette proche. Ils lui ont dit : Toi, t'es des nôtres !, et ils ont tiré sur un autre jeune à ses côtés"

 En outre, le communiqué d'ISIS cite la sourate 59, verset 2 du Coran sur les Juifs :
"Et ils pensaient qu'en vérité leurs forteresses les défendraient contre Allah. Mais Allah est venu à eux par où ils ne s'attendaient point, et a lancé la terreur dans leurs cœurs. Ils démolissaient leurs maisons de leurs propres mains, autant que des mains des croyants. Tirez-en une leçon, ô vous êtes doués de clairvoyance"

Le 15 novembre 2015, interrogé par ArteYoussef Afif, imam suppléant à la Grande Mosquée Mohamed VI de Saint-Etienne, a déclaré : 
"C’est un verset qui a été révélé à notre prophète dans un contexte bien précis, dans une période bien précise, dans ces circonstances bien précises et eux [les terroristes de l'Etat islamique, Nda] l’utilisent à tout bout de champ et n’importe comment. Ce verset a été révélé quand le prophète était installé à Médine. Il avait conclu le pacte de Médine, c’est une sorte de constitution dans laquelle il a mis en place certaines règles entre les musulmans et les non musulmans de Médine. Il y avait trois tribus juives dans la ville de Médine et ils se sont mis d’accord sur certaines règles pour qu’ils puissent vivre ensemble, il y avait déjà cet esprit du vivre ensemble à l’époque. C’est une constitution écrite, qu’on peut toujours trouver, elle est authentifiée par des historiens. Puis quand le prophète est allé trouver l’une de ces tribus pour solliciter une aide financière, ils ont essayé de le tuer. Il a donc demandé à les chasser de Médine et c’est à ce moment-là que le verset a été révélé". 
Cet imam a présenté la version islamique, antisémite de ce différend entre les Juifs médinois et Mahomet. 

L'essayiste Bat Ye'or a analysé le film Juifs et musulmans - Si loin, si proche  qui "débute sur les premiers accrochages doctrinaires entre Mahomet et les Juifs médinois. On ne sait pourquoi le narratif omet de dire que l’arrivée de Mahomet à Médine résultait d’un pacte entre le Prophète persécuté par les Mekkois et une tribu de Médine qui l’y avait invité pour faire pièce aux juifs. Le narratif insiste lourdement sur l’hostilité des Juifs envers Mahomet reprenant ainsi un élément important de l’historiographie islamique. Or cette accusation est sujette à caution car il n’existe aucune autre version de ces épisodes pour la vérifier. Même ceux-ci la démentent car ils ne mentionnent aucun musulman maltraité, pillé, agressé ou tué par des juifs. Par contre tous les juifs médinois et d’Arabie furent chassés, dépouillés, réduits en esclavage ou massacrés par la communauté islamique naissante. Cette hostilité, est-elle bien juive ? Le narratif évoque les désaccords théologiques entre les rabbins médinois et Mahomet qui les sommait de le reconnaître comme le véritable connaisseur et détenteur de leur propre religion. Il est clair que les interprétations coraniques de la Bible devaient surprendre les rabbins qui connaissaient les textes. Ce contexte de décalage théologique se reproduit d’ailleurs avec les chrétiens puisque la version islamique des Évangiles diffère des originaux et que Mahomet adopte la même position envers les Chrétiens. Cependant ces conflits théologiques n’étaient pas exceptionnels à une époque où la religion revêtait une importance cruciale... Mais pour en revenir à cette hostilité juive envers les musulmans médinois qui, selon les textes arabes somment les juifs de se convertir, les giflent, les agressent, en assassinent quelque uns – elle devint un objet de foi car attestée par le Coran, livre incréé, où plusieurs versets la mentionnent conjuguée au même reproche envers les chrétiens". 

Par ailleurs, le café-restaurant La belle équipe appartient alors à Grégory Reibenberg, Français juif. 

Enfin et surtout, la principale cible des terroristes s'avère le Bataclan, lieu de spectacles menacé par les islamistes pour son accueil de soirées en solidarité avec l'Etat Juif et dont les propriétaires étaient jusque récemment des Français Juifs. Une salle de spectacles recevant ce 13 novembre 2015 le groupe américain de rock Eagles of Death Metal qui venait de se produire en Israël, malgré les appels au boycott

Tous ces faits prouvent que l'antisémitisme caractérise ces attentats. L'Etat islamique (ISIS) vise à terroriser les Occidentaux, les kouffars, les Yaoud, probablement aussi à réduire le chiffre d'affaires des entreprises détenues par des Français Juifs, à les marginaliser dans la  société française, à ce qu'ils soient évités, boycottés par leurs concitoyens, et in fine à ce qu'ils quittent la France. Car ISIS a bien conscience que les Français juifs sont les plus ardents défenseurs de la république, de la démocratie, de la France.

Le 13 novembre 2017, lors de l'émission Les Grandes Gueules sur RMC, Alain Marsaud, ancien chef du service central de lutte antiterroriste au parquet de Paris, a déclaré : "Nous avons un enregistrement complet de ce qui s'est passé au Bataclan... Les terroristes du Bataclan disaient, avant d'assassiner, de tirer au coup par coup : "Tiens espèce de sale juif’ !" Chez ces gens venus de Molenbeek ou passés par le circuit Grèce, on a un antisémitisme latent aussi dans l'affaire du Bataclan. Il n'y a pas que l'Hypercacher".

Après les attentats terroristes islamistes du 13 novembre 2015  à Paris - salle de spectacles le Bataclan, terrasses de cafés - et à Saint-Denis - grand stade de France -, Joann Sfar a publié douze dessins sur son compte Instagram.





Du 8 juillet au 7 décembre 2025
23, rue Madame de Sévigné. 75003 Paris
Du mardi au dimanche de 10h à 18h

Articles sur ce blog concernant :
 Les citations sur le film proviennent du communiqué de presse.

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