Citations

« Le goût de la vérité n’empêche pas la prise de parti. » (Albert Camus)
« La lucidité est la blessure la plus rapprochée du Soleil. » (René Char).
« Il faut commencer par le commencement, et le commencement de tout est le courage. » (Vladimir Jankélévitch)
« Notre métier n’est pas de faire plaisir, non plus de faire du tort. Il est de porter la plume dans la plaie. » (Albert Londres)
« Le plus difficile n'est pas de dire ce que l'on voit, mais d'accepter de voir ce que l'on voit. » (Charles Péguy)

mercredi 29 août 2018

Theo Tobiasse (1927-2012)


Theo Tobiasse (1927-2012) était un peintre juif né à Jaffa, en Eretz Israël. Graphiste pour la publicité, il survit en France à la Shoah. Établi après guerre à Saint-Paul de Vence, en Provence, il y produit une oeuvre tramée sur des thèmes privilégiés : l’exil, la Bible, des femmes aux courbes sensuelles, corps aériens, la Shoah, le désir, l’amour fou, l’enfance, les baladins, les jeux de la représentation, la Lituanie de son enfance  et le bonheur familial. Le château de Vascoeuil propose une exposition de Théo Tobiasse.


Né en 1927 à Jaffa, en Palestine sous mandat britannique (Eretz Israël) dans une famille originaire de Lituanie.

Quittant cette Terre promise, la famille Tobiasse retourne en Lituanie. Le jeune Theo Tobiasse y reste jusqu’à ses cinq ans, puis sa famille s’installe en France en 1931.

Sous l’Occupation, la famille Tobiasse subit les persécutions antisémites, se cache, mais une partie des membres est décimée par la Shoah.

A la Libération (1944), Theo Tobiasse recherche la lumière, le soleil, le ciel vaste.

Il emménage à Nice, puis à Saint-Paul de Vence où il vit et travaille.

Ce village provençal, c’est son lieu d’élection. Là, découvrant le paysage lunaire du plateau de Saint-Barnabé, au col de Vence, Theo Tobiasse peint sa première toile.

Le « Rijksmuseum d’Amsterdam lui procure une seconde révélation : la Fiancée Juive de Rembrandt lui fait découvrir le mystère de la matière et de la couleur. Il comprend alors tout des glacis, des jus et des clairs-obscurs ».

Theo Tobiasse travaille comme graphiste dans la publicité.

Il est distingué en 1961 par le Prix de la jeune peinture méditerranéenne en 1961.


Au fil d’une carrière qui le mène en Amérique du Nord, en Europe, au Japon, cet artiste sculpte, crée des vitraux, des poteries, des gravures. Parmi ses œuvres monumentales : le Palais des Congrès de Nice, la Chapelle Saint-Sauveur-Le Cannet et le Centre communautaire israélite de Strasbourg.

De New York à Jérusalem, via Saint-Paul de Vence et Venise, Theo Tobiasse tient un « journal intime artistique » composé de cinq Carnets qui couvrent huit ans, de 1993 à 2001.

Des inédits - écrits, gouaches, pastels et dessins, natures mortes (« Festin bleu ») et portraits (« Reine de théâtre aux désirs errants ») - y traduisent les impressions et préoccupations de l’artiste qui a signé et daté chaque page.

On y retrouve ses thèmes d’inspiration : l’exil, la Bible, des femmes aux courbes sensuelles, corps aériens, la Shoah (« Le ciel le plus noir à la lumière des brasiers »), le désir, l’amour fou, l’enfance, les baladins disproportionnés souriants, les jeux de la représentation (« Les Ménines » inspirées de Velasquez), la Lituanie de son enfance – « la datcha dans la verdoyante campagne de Kaletova, les lumières des bateaux à roue pavoisés sur le Niémen, les traîneaux dans les rues enneigées de Kovno, mais aussi les théières rondes et les samovars ventrus, symboles de la chaleur familiale » - et les scènes de bonheur familial en couleurs sépia.


Privilégiant les rouges et bleus, Theo Tobiasse y exprime la détresse et l’espoir - « Il faut courir pour écarter les parois des ténèbres, attendre que le jour se lève pour imaginer une autre vie » -, ainsi que l’humour par la présence d’animaux improbables entre les barreaux d’une échelle (« L’amour au temps du Sinaï»).

Il décède le 3 novembre 2012

Hommages
Au printemps 2013, la Chapelle Saint-Elme au cœur de la Citadelle de Villefranche-sur-Mer a présenté l'exposition Intime/Ultime de Theo Tobiasse (1927-2012). "Une plongée en plein cœur de l’univers créatif de l’artiste qui a permis aux amateurs et aux collectionneurs de découvrir dessins, tableaux, poteries, bronzes, carnets, sculptures".

En 2013, la galerie  Ada Loumani à Valbonne a présenté l’exposition Tobiasse, Moments d’Atelier éponyme qui révèlait "les moments inédits de création et d’inspiration" de Theo Tobiasse (1927-2012). Sa fille, Catherine Faust-Tobiasse "nous invite à découvrir une facette plus personnelle de son œuvre en entrouvrant la porte de son atelier… Au cœur même de son expression pure et libre, céramiques, dessins, sculptures, écrits se dévoilent au fil de l’univers intime de l’artiste récemment disparu".

La ville de Mougins et le Musée d'Art classique de Mougins ( MACM) ont présenté l'exposition Mougins monumental (4 avril-30 juin 2015)avec notamment une sculpture de Theo Tobiasse (1927-2012). Une "exposition à ciel ouvert : sur terre, dans les jardins, dans les airs, à travers les ruelles ! Cette agréable balade vous invitait à voyager dans le temps pour mieux comprendre les évolutions du monde artistique. Des années 60 avec les Nouveaux Réalistes, à la relève contemporaine, Mougins Monumental est un parcours initiatique original".

La galerie Perahia présenta "Tobiasse intime" (12-27 Juin 2015). "Bien plus qu'une exposition, une incursion dans l'atelier de l'artiste, au cœur de son domaine réservé !  Près de cent cinquante œuvres - huiles sur toiles, gouaches, pastels dessins, gravures, céramiques, sculptures - inédites sortiront du silence de l'atelier de Théo Tobiasse, à Saint-Paul de Vence. Pour la première fois, à Paris, C'est à la galerie Perahia que Catherine Faust-Tobiasse, fille de l'artiste, confie le privilège de présenter ces travaux de Tobiasse dont la planète des arts, elle-même, ignorait en partie l'existence ! L'événement devrait diffuser bien de nouvelles lumières sur l'ensemble d'une oeuvre mondialement reconnue. La Lituanie, l'errance, Paris, Saint-Paul de Vence, les vibrations de New-York, l'envoûtement pour Venise, la sensualité des femmes, des amantes de passage, certes, mais aussi de l'incontournable, de la femme-mère, mère de l'Humanité ! De tendres confidences sur l'essence d'une oeuvre. A mille lieux de toute indiscrétion mais comme autant de tendres confidences sur l'essence même du travail de son père, Catherine ouvre de nouvelles voies d'entrée dans l'épopée onirique de Théo.

"Tobiasse, qui vouait un amour éternel à Jérusalem, cette terre qu'on lui avait promise mais qu'il dut quitter pour l'Europe centrale, avec sa famille, aux toutes premières lueurs de ses jours ! Depuis les ténèbres de l'exil jusqu'à l'ancrage éblouissant dans les lumières de la Méditerranée, le flux de ses multiples vies, nourri des sédiments de la mémoire, a ciselé un art aux infinies facettes. Théo Tobiasse, le peintre-sculpteur, le passionné de dessin, l'émouvant créateur de correspondances poétiques entre les visuels et les mots, entre les formes et les couleurs. Tobiasse le luxuriant, dont la toile côtoie les étoiles, le céramiste-conteur, l'artiste  qui ne cesse de nous faire voyager dans l'imaginaire chatoyant de son parcours en lignes courbes. Tobiasse, foisonnant de sensibilité, dont tant d'émotions ou de drames, tant de passions, aussi, ont abreuvé la palette et la glaise, la plume, le crayon, le ciseau !"

Vallauris, Le Cannet et Saint-Paul de Vence rendaient hommage à Tobiasse par des expositions (24 juin-30 octobre 2017) sous l'enseigne Tobiasse, trois terres d'inspirationExpositions à facettes, voyage artistique et initiatique… Une découverte hors cadre proposée par trois villes d’art du Sud de la France : Vallauris, Saint-Paul de Vence et Le Cannet.

Le Musée Magnelli, musée de la céramique de Vallauris proposait Les Lumières de l'espoir. Il "invite le visiteur à pénétrer dans l'univers de l'artiste en suivant son chemin de vie entre rires et larmes, soleil et ténèbres, intimité familiale et déchirement de l'exil. On y retrouve ses thèmes favoris : la femme - mère, épouse, amante -, la mythologie, le cirque, les musiciens, les saltimbanques. Ces principaux thèmes sont déclinés par autant de techniques différentes, employées seules ou en association. Tobiasse exprime ses sentiments en deux ou trois dimensions, du plus léger collage à la sculpture monumentale de bronze ou de béton, de la délicatesse d’un glacis jeté sur une feuille, à la vigoureuse pleine pâte d’une toile saturée de couleurs, jusqu’à sa palette, devenue montagne, sorte de paysage fantastique dont seul l’artiste connaît les secrets. Au total, ce sont plus de 150 oeuvres toutes techniques confondues qui illustrent l’immense créativité et la singularité d’un artiste qui a traversé le siècle en conservant au plus profond de lui-même : Les lumières de l’espoir aux heures les plus sombres de l’histoire du XX° siècle".

"La Maison des quartiers exposait des céramiques d'édition, réalisées dans l’atelier de Gérard Crociani, d'après des originaux de Tobiasse. Le public pourra également découvrir dans les salles d’exposition la technique d’édition céramique. Des projections de films où apparaît l’artiste seront projetées en continu : L’âge d’or de la céramique Azuréenne 1950 - 1970 (2009) de Roland Kelberg produit par Vidéo Film Biot et Les éditions céramiques de Tobiasse, film HD couleur 20 min 30s de Maxime Martins. Vallauris 2017.Au port de Golfe-Juan une présentation de l’exposition dans un espace proche de la capitainerie et sur la promenade offre aux estivants un aperçu de l’événement". 


"Au Cannet, dans la Chapelle Tobiasse (rue Saint Sauveur) décorée par Théo Tobiasse en 1989, l’exposition La Vie est une Fête présentait les maquettes, les dessins et les calques préparatoires qui ont servi à la réalisation du décor de la chapelle. On ignore la date de construction de la chapelle Saint-Sauveurcet ancien beffroi qui marque l’entrée du quartier des Ardissons. Son clocher sonnait pour signaler les appels aux armes ou l’approche d’un danger".

"Sauvée d’une ruine probable, cette chapelle a été restaurée en 1989. Respecter son histoire tout en lui rendant sa vocation spirituelle, telle fut la préoccupation de Tobiasse, artiste contemporain de renommée mondiale qui a ouvert ce lieu à l’œcuménisme et choisit pour thème : « La vie est une fête ».  Cette fresque monumentale, vive et poétique narre une histoire universelle où le chœur de l’édifice rayonne à partir d’une colombe, symbole de la paix. Sur le parvis extérieur, « L’oiseau de lumière », sculpture de l’artiste, invite le visiteur à découvrir cet univers".

"Saint-Paul de Vence a proposé Portraits de Mon Village, une déambulation dans les rues et les places à la découverte d’oeuvres monumentales, en bronze ou en acier découpé, ainsi que des photographies en noir et blanc de l’artiste, faites par André Villers dans les années 80 à Saint-Paul, et présentées sur le lieu même où elles ont été prises. L’Espace Verdet dévoile des Fragments de vie à travers des films, des vidéos, une librairie éphémère, permettant de consulter des ouvrages consacrés à Tobiasse". "«Sculpter la peinture, peindre la sculpture, colorer la lumière de manière à exprimer la métamorphose perpétuelle des formes », visait Tobiasse. 


Théo Tobiasse "aurait eu 90 ans en 2017. Né en Israël de parents lituaniens, la famille s’exile à Paris alors que Théo n’a que 5 ans. Attiré par la lumière, il s’installe sur la Côte d’Azur en 1950 et acquiert une maison en 1975 à Saint-Paul de Vence, qu’il affectionne particulièrement et qu’il ne quittera plus".

"Dans sa maison-atelier face aux remparts, Il avait trouvé là un bonheur de lumière et de ciel immense mais également le regard des peintres et des artistes qui y avaient traversé les siècles et ensoleillé cette terre de bergers".

"L’exposition à découvrir aux détours des ruelles de Saint-Paul de Vence, présente des sculptures monumentales, en bronze et en acier découpé, ainsi qu’un parcours de photographies en noir et blanc prises par son ami le photographe André Villers dans les années 80 et présentées sur le lieu même où l’artiste a été photographié".

L’Espace Verdet "dévoilait des «fragments de vie» à travers des films, des vidéos, une librairie éphémère permettant de consulter des monographies, catalogues et carnets de voyages… Une invitation à s’imprégner de l’univers créatif de l’artiste".

« C’est très certainement la guerre et les deux années sombres qu’il a passé tapi dans un appartement qui marqueront à tout jamais son travail. Il sort de sa cachette avec une unique envie : exploser, crier et profiter de la vie. Il refuse de vivre dans le regret ou le souvenir et prend ses pinceaux et ses crayons avec pour objectif de faire enfin ce qu’il aime : peindre ».

En cet été 2018, deux expositions offrent la possibilité de revoir des oeuvres de Tobiasse. "A l’occasion de la sortie de sa cuvée millésimée TOBIASSE, le vignoble du Clos des Roses propose l'exposition In Vino Vertias de Tobiasse organisée en collaboration avec l’événement Art & Vin. Vernissage, jeudi 5 juillet 2018 dès 18 h en présence de la fille de l’artiste, Catherine Faust-Tobiasse. Du 5 juillet au 31 août 2018, le Clos des Roses invite les visiteurs à venir admirer, certaines des nombreuses oeuvres de Théo Tobiasse, originaire de Saint-Paul-de-Vence. Des oeuvres qui viendront s’ajouter à la collection du domaine, déjà muni du Triptyque « Poème à Trois voix au Pied de la Montagne » exposé au restaurant La Bastide du Clos des Roses depuis 2008".

"Pour la deuxième année consécutive, le Clos des Roses collabore avec l’événement Art & Vin organisé sous l’initiative des Vignerons Indépendants du Var®, et qui chaque année depuis 1998, accordent vignerons et artistes le temps d’un été.  Pour l’occasion, le Clos des Roses célèbre sa 10e vinification (2007-2016), en rendant hommage au très célèbre artiste Théo Tobiasse, et à le plaisir d’annoncer le lancement d’une nouvelle cuvée limitée en son honneur."

"La peinture In Vino Veritas, qui sera représentée sur les étiquettes de la nouvelle cuvée a vu le jour en 2004 lors d’un déjeuner à Paris dans le célèbre restaurant Le Café Voltaire face au Louvre sur les bords de la Seine. Au cours du repas, dégustant un bon vin devants son petit-fils Arthur, alors âgé de 12 ans, Théo Tobiasse se mit à dessiner sur la nappe en papier ce dessin accompagné de la citation latine «In Vino Veritas» dans un moment d’humour et de fantaisie. On y retrouve toute l’inspiration de la «mythologie Tobiasse», de l’exultation des sens : le verre, la bouteille, la lumière du candélabre, l’oiseau couronné, la grappe de raisin, la pomme symbole d’abondance, les fleurs miraculeuses que l’on rencontre dans toute son oeuvre, et aussi, bien sûr, la femme tentatrice et sensuelle. Pour l’occasion, un rouge Côtes de Provence 2016 a été spécialement élaboré et pensé pour donner vie à cette peinture. Avec un assemblage de Grenache (50%) et de Syrah (50%), ses notes épicées et ses arômes de tabac promettent complexité et robustesse, des traits de caractère qui qualifiaient également l’artiste. D’un beau potentiel de garde, il est à apprécier jeune ou à laisser en cave quelques années, à l’image de l’oeuvre, qui perdure dans le temps. Cette édition limitée sera présentée en 3 200 unités et 500 coffrets personnalisés, comprenant une reproduction numérotée de l’oeuvre originale." 

Le château de Vascoeuil propose une exposition de Théo Tobiasse. "Né à Jaffa en Israël, il arrive en 1931 à Paris où il échappe à la Shoah, puis à Nice et établira son atelier principal à St Paul de Vence en 1975. L’œuvre de cet artiste protéiforme, véritable hymne à la vie, est imprégnée des images de la Bible, des souvenirs de l’exil, de la femme mère ou amante, des réminiscences de l’enfance en Lituanie, de la culture juive et de ses multiples voyages et des villes qui lui sont chères et dans lesquelles il séjourne ou travaille (Jérusalem, Paris, New York, Venise) Peintures, gravures, sculptures, pastels, dessins, poteries sont les outils qui redonnent vie dans un tourbillon de couleurs à ses émotions englouties et l’exposition donnera à voir les différentes facettes de cet immense talent du XX° siècle dont les œuvres figurent dans de nombreux Musées et collections publiques. Importante exposition avec plus d’une centaine d’oeuvres diverses au Château (sur trois étages) au Colombier et à la Galerie."


Theo Tobiasse, Les carnets de Saint-Paul de Vence. Biro Editeur, 2007. Coffret 25x17 cm de 5 volumes facsimilé, relié toile, 40 pages couleurs chacun, édition de tête : 140 ex. avec une gravure originale signée et numérotée par l'artiste, en vente chez Biro éditeur au prix de 580 €, édition courante en vente chez Biro éditeur au prix de 200 €. ISBN : 978-2351190227


Du 5 juillet au 31 août 2018. Vernissage le 5 juillet 2018 dès 18 h
Au Clos des Roses 
1609 route de Malpasset - Fréjus
Tél. : 04 94 52 80 51

Du 8 juillet au 21 octobre 2018
Au château de Vascoeuil
8 Rue Jules Michelet - Vascœuil
Tél.: 0 235-236-235

Du 24 juin au 30 octobre 2017
Vallauris
Tobiasse, Les Lumières de l'Espoir
Au Musée Magnelli, musée de la céramique
Place de la Libération
T. 04 93 64 16 05
Juillet – août : 10h - 12h45 | 14h15 – 18h, tous les jours
septembre – juin : 10h – 12h15 | 14h00 – 17h00
tous les jours sauf le mardi

Les Éditions Céramiques de Tobiasse
Maison des Quartiers

Le Cannet
La Vie Est Une Fête
Chapelle Tobiasse
Rue Saint Sauveur
Office de Tourisme :
T. 04 93 45 34 27
Tous les jours sauf le lundi de 10h à 13h et de 15h à 19h
Entrée libre

Saint-Paul de Vence
Portraits de Mon Village
Parcours dans le village
Espace Verdet
Place de l’Hospice, rempart ouest
Office de Tourisme : T. 04 93 32 86 95
Du mardi au samedi de 10 h à 13 h et de 14h30 à 18h30. Entrée libre

Du 12 au 27 juin 2015
A la Galerie Perahia
24 rue Dauphine. 75006 Paris
Tel : 01 43 26 56 21
Du mardi au samedi de 10 h à 13 h et de 14 h à 18 h 30. Vernissage le 11 juin 2015 à 18 h.

Du 12 juillet au 30 septembre 2013
A la Galerie Ada Loumani
Place de l’Eglise, 06500 Valbonne
Tél. : 04 93 12 97 04
Tous les jours de 10 h à 13 h et de 15 h 30 à 20 h

Du 8 avril au 2 juin 2013
A la Chapelle Saint-Elme au coeur de la Citadelle de Villefranche-sur-mer
Du lundi au vendredi de 9 h 30 à 16 h., et le week-end pour groupes sur réservation. Entrée libre
Vernissage le 11 avril 2013 à 18 h

Visuels :
Théo Tobiasse
Portrait sous le tilleul

Théo Tobiasse, Une fleur sur un bateau.

Théo Tobiasse, Papillons de velours noir venus de l’épaisseur des siècles. 2 mai 1992

Theo Tobiasse
La colombe de Noé
Sculpture en métal polychrome- découpé- Strates 

Théo Tobiasse
C'est tout un peuple arraché à sa terre
1986
technique mixte, pastel, lavis, acrylique sur papier

70 X 50

Théo Tobiasse
L’œil dans l'oiseau
Plat en terre cuite
1993
diamètre 46 cm

Chapelle Saint-Sauveur

1989

André-Villers
Théo Tobiasse
Vue Saint-Paul panoramique, Remparts ouest

Théo Tobiasse
Dame à la bougie
1998
huile sur papier
102 x 70 cm

Théo Tobiasse
Huit lumières pour des temps magiques
1988
Pastel sur panneau bois stratifié
151 x 160 cm

Théo Tobiasse
Danseuse folle
1985
Bronze gravé
hauteur 25 cm

Articles sur ce blog concernant :

Cet article a été publié en une version concise par L'Arche en 2007, et sur ce blog le 6 novembre 2012, puis les 11 avril, 19 mai, 27 juillet et 24 septembre 2013, 2 avril et 9 juin 2015, 28 octobre 2017, 6 juillet et 28 août 2018.

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