Le Musée d’art et d’histoire du Judaïsme (mahJ) présente, dans son parcours permanent, l’accrochage de six œuvres brodées narratives de Pascal Monteil, Prix Maratier, fondation Pro mahJ. Cet artiste s'inspire ou illustre la Bible, des livres - Aharon Appelfeld, Federico Garcia Lorca -, des évènements historiques - l'expulsion des Juifs d'Espagne en 1492 -, des parcours de vies - Chiune Sugihara, consul japonais à Kaunas en Lituanie durant la Deuxième Guerre mondiale et Juste parmi les Nations - sur des tissus anciens (toiles de chanvre) dont la trame et la chaîne concourent à ces récits figuratifs et colorés en tapisserie.
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D'origine marrane, « vivant et travaillant à Arles, Pascal Monteil (né en 1968) est le 6e lauréat du Prix créé par Claire Maratier pour récompenser un artiste vivant. Décerné par la fondation Pro mahJ, il célèbre un artiste dont l’œuvre rencontre la culture et l’histoire juive. » Claire Maratier était la fille du peintre Michel Kikoïne.
« L’expulsion des juifs d’Espagne en 1492 et le sauvetage des juifs de Kaunas, capitale de la Lituanie en 1940, grâce aux visas du consul japonais Chiune Sugihara, figurent ainsi parmi les récits qui nourrissent six des broderies que l’artiste présente au sein du parcours des collections. »« Mais ces événements ne sont pas seuls. Ils se superposent à d’autres mémoires, souvenirs et fictions qui habitent l’imaginaire de l’artiste. Ceux-ci viennent notamment des écrits d’Aharon Appelfeld, de la poésie de Federico Garcia Lorca, des scénarios dystociques de Philippe K. Dick ou des images de Serguei Paradjanov. Pascal Monteil aime dire : « Il n’y a jamais de sujet, je fabrique seulement des refuges. »
« Ces nids d'histoires, Pascal Monteil les construit depuis 2015, fil à fil, en brodant sur des tissus anciens. Pour reprendre les mots de Christian Lacroix, le fil de Monteil « se fait tour à tour gouache, aquarelle, glacis, huile épaisse, charbon de bois, scarifiant la toile, y faisant apparaitre jour après jour, mois après mois [...] des processions, des exils, des architectures effrayées, des poètes sur des civières, des descentes de lits d’artistes et des barques pour prophètes ».
Pascal Monteil est représenté par la galerie Regala, Arles.
Le commissariat est assuré par Pascale Samuel, conservatrice de la collection moderne et contemporaine du mahJ
Exposition en partenariat avec Tenoua et Transfuge.
Hemeria/Galerie Regala ont publié « Pascal Monteil, Histoires brodées au bord de l’Apocalypse » de Paula Aisemberg, Natacha Carron Vullierme et Rayas Richa. « Cette monographie offre un voyage au cœur de l’univers d’un artiste qui a choisi le médium textile pour créer, par la magie des fils brodés, des histoires poétiques où s’entremêlent créatures et décors fantastiques. Ils naissent des récits appris lors de ses nombreux voyages, d’un savoir érudit et de ces figures qui peuplent nos imaginaires et nos croyances depuis des siècles. Une épopée vivante et enflammée, universelle. »
Autour de l’accrochage
Le mahJ a organisé une visite guidée par l'artiste, une signature à la libraire, une rencontre à l'auditorium avec Pascal Monteil en conversation avec Pascale Samuel, des ateliers pour les familles et le jeune public (enfants à partir de 4 ans accompagnés d'au moins un adulte) « De fil en aiguille » et « Pique et pique… » - prochain atelier le mercredi 31 décembre 2025 de 14 h 00 à 15 h 30, sur réservation - au cours desquels les participants créent leur propre broderie respectivement « avec des fils de laine colorés » ou « grâce à la technique du punch needle ».
Pascal Monteil
« J’aime imaginer des lieux où les époques se superposent et les pensées contradictoires coexistent. Je me plonge dans l’histoire de l’art, et invite les figures qui m’inspirent, en toute humilité. C’est ma façon de conter la poésie et la complexité du monde »
Pascal Monteil
Pascal Monteil « est né à Nîmes en 1968. Il a été tisserand à Tabriz, céramiste à Kyoto, peintre d’icônes à Istanbul ou batelier à Calcutta : pendant 15 ans, après des études de beaux-arts à la Villa Arson (Nice), il a sillonné l’Asie et le Moyen-Orient à la recherche de fils anciens et rompus pour retisser une autre histoire de la peinture. »
Installé à Arles depuis 2017, il brode à aiguille levée et à même les genoux des toiles de chanvre du XIXe siècle, sans esquisse préalable mais avec l’écriture comme point de départ des récits qu’il raconte en tapisserie. »
Entretien avec Pascal Monteil, par Paula Aisemberg
Extrait de la monographie Histoires brodées au bord de l’Apocalypse,
Hemeria/Galerie Regala 2025
« Pour cette œuvre [Quand tout ailleurs si bien s'effondre], je me suis souvenu de ce Japonais, Chiune Sugihara, consul à Kaunas en Lituanie : j’avais lu il y a trente ans son histoire, écrite par sa femme. J’y repense souvent. J’ai eu envie de lui rendre hommage, de l’inclure dans ma toile.
Ils sont en 1939 à Kaunas avec sa femme et sa belle-sœur. Ils voient arriver des hordes de personnes qui fuient les massacres.
Au début, il leur distribue du lait pour les bébés, de la nourriture, des vêtements. Et il met au point un visa permettant à tous ces juifs persécutés de prendre les trains transsibériens depuis Kaunas via Moscou, traverser la Sibérie en trois semaines et arriver à Vladivostok, faire escale au Japon, et de là, pour certains prendre un bateau pour remonter le Jiang Tse Kiang jusqu’à Shanghai. Son ministre de tutelle lui dit non. Et lui, décide de désobéir. Il va mettre à contribution sa femme et sa belle-sœur, et tous les trois vont remplir des visas, jusqu’à ce qu’ils soient contraints de quitter Kaunas pour Prague, en septembre 1940.
[…] Cela fait quatre-vingts ans que les artistes aussi se posent la question : comment parler de la Shoah ? Pour ma part, j’ai lu.
[…] Et depuis un an, je ne fais que cela. J’ai lu nombre d’auteurs que je ne connaissais pas : Avrom Sutzkever, Isaac Bashevis Singer, Cholem Aleikhem et Wolf Wieviorka, auquel je me suis particulièrement attaché et Edgar Hilsenrath.
Je suis allé voir tout le monde. Un qui m’a complètement rendu fou, et qui m’a saisi, c’est Appelfeld. Pourquoi ? Parce que, dans Mon père et ma mère, il recrée l’enfance heureuse à laquelle il a été arraché. A sept ans, sa mère a été tuée par les nazis et son père déporté avec lui, il a réussi à survivre et à s’échapper dans la forêt.
[…] Il fallait que je représente cette histoire du consul japonais à partir des yeux d’un enfant […] Et là il s’est passé quelque chose de très étonnant : au même moment, mes parents retrouvent tous mes dessins de 1973-1975 dans leur grenier.
Je passais mes journées à dessiner et à écrire de petites histoires. Je le dis simplement aujourd’hui, mais je me rends compte qu’à sept ans j’étais spécial... Je dessinais des vieilles dames, des moutons, des maisons qui brûlent toute la journée. De la neige beaucoup, des forêts, des chiens…
J’ai repris tous ces dessins pour ma toile, excepté la synagogue ; je ne dessinais pas de synagogue à l’âge de sept ans.
[...] Je les ai retranscrits et brodes. Même la ville de Kaunas. Enfin je n’avais pas dessiné Kaunas, j’avais dessiné une ville qui, sur la toile, est devenue Kaunas en 1940.
J’ai décidé de garder ce point de vue de mes sept ans pour pouvoir raconter cette histoire. De toutes façons, cela m’a semblé totalement impossible de faire autrement.
[…] Au moment où mes parents retrouvaient mes dessins d’enfants, ma belle-mère m’appelle et m’explique qu’une cousine a déniché dans la maison de sa grand-mère, dénommée Clémence Doly, une toile de chanvre rapiécée et qu’elle la garde pour moi.
Or cette femme, était elle-même une « juste parmi les nations ».
Œuvres brodées
Laine brodée sur toile de chanvre, 100 x 300 cm
Fondation PromahJ, prix Maratier 2022
mahJ - photo Christophe Fouin
© Paris, ADAGP, 2025
« Cette œuvre spécialement conçue pour l’exposition au mahJ procède de trois sources. »
« Son support d’abord : un drap ayant appartenu à Clémence Doly, Juste parmi les nations pour avoir cache la famille de Simon Parker dans l’Aveyron. S’y trouvent aussi les souvenirs d’enfance de l’écrivain Aharon Appelfeld, le récit de sa jeunesse cachée dans les forets d’Ukraine et l’histoire peu connue de l’héroïque Chiune Sugihara. Consul du Japon en Lituanie en 1940. Ignorant les ordres de ses supérieurs, il émit deux mille visas pour le Japon, permettant à six mille juifs de fuir vers l’Est. Tournant le dos au réalisme, sans hiérarchie des récits, empruntant les formes du dessin d’enfant, cette œuvre narre l’épopée d’un groupe qui traverse les forets enneigées de l’Union soviétique, rejoint Vladivostok avant de trouver refuge a Shanghaï. Il s’agit de l’histoire d’un Juste japonais brodée sur la toile d’une Juste aveyronnaise. »
Laine brodée sur toile de chanvre, 90 x 280 cm
Collection Pierre et Prune Fraidenraich
© Celia Pernot - courtesy Galerie Regala © Paris, Adagp, 2025
« Sur cette toile ancienne de plus de trois mètres, Pascal Monteil a brodé au point lancé une procession d’exilés. Les origines marranes de l’artiste ne sont sans doute pas étrangères au choix de ce sujet. Ces personnages en déplacement sont à la fois les juifs chassés d’Espagne en 1492 et les artistes espagnols fuyant le franquisme en 1936 ou assassinés, comme le poète Federico Garcia Lorca. Avant leur fuite, les hommes ont enterré leurs livres. Un rabbin portant la Torah occupe la tète du cortège. Marceline Loridan-Ivens, figure du panthéon de Pascal Monteil, y est également présenté non loin de la silhouette fantomatique d’une carriole. Enfin Adam et Eve ferment la marche. »
Le Banquet, 2022
Laine brodée sur toile de chanvre, 120 x 350 cm
Collection Ève et Édouard Mercier
© Celia Pernot - courtesy Galerie Regala © Paris, Adagp, 2025
« La scène brodée ici, fil âpres fil, est un banquet pour des refugies spirituels ou un repas rituel qui réunit treize figures dont les histoires s’entremêlent : les écrivains Fernando Pessoa et Philippe K. Dick, les peintres Leonor Fini et Friedensreich Hundertwasser, le cinéaste Serguei Paradjanov, mais aussi Adèle Bloch Bauer, célèbre modèle de Gustav Klimt. Au premier plan à droite, l’écrivain Jack Kerouac, ivre, dort sur la table. A l’autre bout de la table la chouette athénienne est posée devant un livre ouvert, un verre de vin et une grenade. »
« La bibliothèque idéale de Pascal Monteil »
« Pour approfondir la visite de l'accrochage « Pascal Monteil », découvrez les ouvrages préférés de l’artiste, en vente à la librairie du mahJ qui propose la « bibliothèque idéale » de Pascal Monteil, avec des ouvrages qui ont inspiré ses créations. »
« L'équipe de la librairie a complété cette sélection avec un choix de textes de référence sur les thèmes abordés par l’artiste comme l’expulsion des Juifs d’Espagne en 1492, ou encore le sauvetage en 1940 de 6000 vies grâce aux visas de transit émis par Chiune Sugihara, consul du Japon à Kaunas. »
« LITTERATURE
• Sholem Aleikhem, Un violon sur le toit. Tévié le laitier, traduit du yiddish par Edmond Fleg, Albin Michel, 1990, 9,90€
• Aharon Appelfeld, La chambre de Mariana, traduit de l'hébreu par Valérie Zenatti, Points, 2025, 8,70€
• Aharon Appelfeld, Mon père et ma mère, traduit de l'hébreu par Valérie Zenatti, Points, 2012, 8,70€
• Aharon Appelfeld, Histoire d'une vie, traduit de l'hébreu par Valérie Zenatti, Points, 2019, 7,90€
• Isaac Babel, Récits d’Odessa, traduit du russe et présenté par Sophie Benech, Le Bruit du temps, 2021, 9€
• Szilard Borbély, La miséricorde des cœurs, traduit du hongrois par Agnès Jarfas, Folio, 2016, 9€
• Edgar Hilsenrath, Fuck America. Les aveux de Bronsky, traduit de l'allemand par Jörg Stickan, Le Tripode, coll. « Météores », 2017, 11,50€
• Edgar Hilsenrath, Le nazi et le barbier, traduit de l'allemand par Jörg Stickan et Sacha Zilberfarb, Le Tripode, coll. « Météores », 2018, 13,50€
• Edgar Hilsenrath, Nuit, traduit de l'allemand par Jörg Stickan et Sacha Zilberfarb, Le Tripode, coll. « Météores », 2014, 13,90€
• Michèle Kahn, Shanghaï la juive, Le Passage, 2025, 15€
• Agota Kristof, Le grand cahier. Une trilogie, Points, 2020, 10,20€
• Agota Kristof, Le grand cahier, Points, 1995, 6,95€
• Amos Oz, Judas, traduit de l'hébreu par Sylvie Cohen, Folio, 2018, 9€ 9782072765070
• Piotr Rawicz, Le sang du ciel, Gallimard, coll. « L’imaginaire », 2014, 13€
• Rayas Richa, Les jeunes constellations. Prédilection pour un naufrage, Quidam, 2025, 20€
• Rayas Richa, Les jeunes constellations. Une croisade buissonnière, Quidam, coll. « Les nomades », 2025, 9€
• Isaac Bashevis Singer, Au tribunal de mon père, traduit de l'anglais par Marie-Pierre Bay, Le Livre de Poche, 2009, 9,20€
• Sei Shônagon, Choses qui rendent heureux et autres notes de chevet, traduit du japonais par André Beaujard, préface, choix et notes inédites de Corinne Atlan, Folio sagesses, 2021, 4€
• Ceija Stojka, Le tournesol est la fleur du Rom, traduit de l'allemand (Autriche) par François Mathieu, Editions Bruno Doucey, 2020, 12€
• Ceija Stojka, traduit de l'allemand (Autriche) au français par Sabine Macher, traduit du français à l'anglais par John Doherty, Fage, coll. "Paroles d'artistes", édition bilingue français-anglais, 2027, 7,80€
• Avrom Sutzkever, Heures rapiécées. Poèmes en vers et en prose, traduit du yiddish et préfacé par Rachel Ertel, L’Éclat, 2021, 30€
• Avrom Sutzkever. Poète et héros du XXe siècle, textes de Gilles Rozier et d’Evelyne Grumberg, Éditions Bibliothèque Medem - Maison de la culture yiddish, 2013, 9€
• Annette Wieviorka, Tombeaux. Autobiographie de ma famille, Points, 2023, 8,95€
• Wolf Wieviorka, Est et Ouest suivi de Déracinés, traduit du yiddish par Batia Baum et Shmuel Bunim, Points, 2023, 9,90€
• Valérie Zenatti, Dans le faisceau des vivants, Points, 2020, 6,95€
ESSAI / HISTOIRE
• Esther Benbassa et Aron Rodrigue, Histoire des Juifs séfarades, Points, 2002, 11,20€
• Delphine Horvilleur, Vivre avec nos morts. Petit traité de consolation, Le Livre de Poche, 2022, 8,40€
• Marceline Loridan-Ivens, On arrive dans la nuit, entretien mené par Antoine Vitkine, J’ai lu / INA, 2025, 8,60€
• Marceline Loridan-Ivens, C’était génial de vivre, récit recueilli par David Teboul et Isabelle Wekstein-Steg, Pocket, 2021, 7€
• Marceline Loridan-Ivens avec Judith Perrignon, L’amour après, Le Livre de Poche, 2019, 7,90€
• Marceline Loridan-Ivens avec Judith Perrignon, Et tu n’es pas revenu, Le Livre de Poche, 2016, 6,90€
• Marceline Loridan-Ivens, Ma vie balagan, écrit en collaboration avec Elisabeth D. Inandiak, R. Laffont, coll. « Arion », 2021, 9€
• Marc-Alain Ouaknin, Bibliothérapie. Lire, c'est guérir, Points, 2015, 11,40€
• Marc-Alain Ouaknin, Le livre brûlé. Philosophie du Talmud, Points, 2016, 11,40€
• Cecil Roth, Histoire des marranes, traduit de l'anglais par Rosie Pinhas-Delpuech, Liana Levi, coll. « Piccolo », 2024, 12€
• Gérard Siary, L'Asie ou la mort. Les juifs en Asie orientale durant la Guerre du Pacifique, Hermann, 2025, 28€ (à paraître le 24.09.2025)
• Yukiko Sugihara, Visas pour 6.000 vies, traduit du japonais par Karine Chesneau, Picquier poche, 2019, 8€
PUBLICATIONS DU MAHJ
• Hersh Fenster, Nos artistes martyrs, préface originale Marc Chagall, traduction du yiddish par Nadia Déhan-Rotschild et Evelyne Grumberg, textes Rachel Koskas, Natalia Krynicka, Judith Lindenberg, Pascale Samuel, coédition Hazan-mahJ, 2021, 39€
• Grisha Bruskin, Alefbet : tapisserie = tapestry project, Lienart éditions / musée d’art et d’histoire du Judaïsme, 2010, 30 € »
Expositions personnelles
2020 « À la merci du soleil », galerie Regala, Arles
2017 « Je ne reconnais plus le soleil », commissariat Aldo Bastié et Christian Lacroix, Centre d’Art René d’Anjou, château de Tarascon.
2016 « Llanto por la Monja Gitana », musée Federico Garcia Lorca, Grenade
2015 « The World upside down », commissariat Alka Pande, Jor Bagh Station, Delhi
2013 « Anywhere out of the world », commissariat Aruna Adiceam, musée national d'Inde New Delhi
« Enfer, Eden », propriété Caillebotte, Yerres
« L’incendie de l’âme », instituts Français de Tanger et de Fès
2010 « Amor, Oro y Demonios », commissariat Annouchka de Andrade, Couvent Santa Clara, Carthagène
2008 « L’appartement Perret, habité par La voix humaine », commissariat Elisabeth Chauvin, appartement Perret, Le Havre
2007 « Spirit of the Cities », les instituts français de Chittagong et de Phnom Penh
2006 « Marayat & John Lee », commissariat Ark Fongsmut, Bug Gallery, Bangkok
« Calcutta : vaisseau baroque », maison des Indes, Paris
2004 « L’Inde », commissariat Dominique Roland, centre des Arts, Enghien-les-Bains
2002 « Fûdo », galerie Alain Gutharc, Paris
2000 « Les Villes », Galerie Alain Gutharc, Paris »
La fondation Pro mahJ
« Adossée au mahJ, la fondation a été créée en 2003 à l’initiative de Claire Maratier. Elle a pour objet de soutenir les activités du musée – et notamment sa politique d’expositions, d’édition et d’investissement – et d’enrichir ses collections. Elle conserve une collection exceptionnelle qui illustre l’apport des cultures du judaïsme en Europe et autour de la Méditerranée. »
« Reconnue d’utilité publique, la fondation est habilitée à recevoir les dons et legs en exonération des droits de mutation. Elle organise des collectes de dons pour soutenir les actions du musée. Elle contribue ainsi activement, et de façon unique, aux côtés du mahJ, au rayonnement, en France, des cultures du judaïsme. »
Paula Aisemberg, Natacha Carron Vullierme et Rayas Richa, Pascal Monteil, Histoires brodées au bord de l’Apocalypse. Hemeria/Galerie Regala, 2025. 17,2 × 23,7 cm. 160 pages. 39 €
Hôtel de Saint-Aignan
71, rue du Temple. 75003 Paris
Mardi, jeudi, vendredi : 11h - 18h
Mercredi : 11h - 21h
Samedi et dimanche : 10h - 19h
Fermeture exceptionnelle : jeudi 1er janvier 2026
Fermé le lundi
Visuels :
Affiche
Pascal Monteil, Quand tout ailleurs si bien s’effondre (détail), 2024, mahJ – Christophe Fouin © Paris, Adagp, 2025
Pascal Monteil, Quand tout ailleurs si bien s’effondre
2024
Laine brodée sur toile de chanvre
100 x 300 cm
mahJ – Christophe Fouin
© Paris, Adagp, 2025
Pascal Monteil, Llanto por la Monja Gitana
2016
Laine brodée sur toile de chanvre
90 x 280 cm
Collection privée
© Celia Pernot - courtesy Galerie Regala
© Paris, Adagp, 2025
Pascal Monteil, Quand tout ailleurs si bien s’effondre (détail)
2024
Laine brodée sur toile de chanvre
100 x 300 cm
mahJ – Christophe Fouin
© Paris, Adagp, 2025
Pascal Monteil, Quand tout ailleurs si bien s’effondre (détail)
2024
Laine brodée sur toile de chanvre
100 x 300 cm
mahJ – Christophe Fouin
© Paris, Adagp, 2025
Articles sur ce blog concernant :
Les citations proviennent du dossier de presse.


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