Jean-Louis Trintignant est un acteur distingué par de nombreux Prix, pilote de courses, réalisateur et viticulteur français. Arte diffusera le 31 octobre 2021 "Le Train" (Le Train - Nur ein Hauch von Glück) de Pierre Granier-Deferre avec Jean-Louis Trintignant, Romy Schneider et Régine (1973) et « Trintignant par Trintignant » (Trintignant über Trintignant) de Yves Jeuland et Lucie Cariès.
Brigitte Bardot
« L’ami Fritz » par Jacques de Baroncelli
Léon Barsacq (1906-1969) : « Maquettes de décors de films »
« Un ami viendra ce soir » de Raymond Bernard
« L’ami Fritz » par Jacques de Baroncelli
Léon Barsacq (1906-1969) : « Maquettes de décors de films »
« Un ami viendra ce soir » de Raymond Bernard
Marcel Carné (1906-1996)
Les Enfants du Paradis, l’exposition
Eddie Constantine (1917-1993)
Lemmy Constantine
Les Enfants du Paradis, l’exposition
Eddie Constantine (1917-1993)
Lemmy Constantine
Lotte Eisner (1896-1983)
Sami Frey
« 1940 - Main basse sur le cinéma français » de Pierre-Henri Gibert
Serge Gainsbourg (1928-1991)
Sami Frey
« 1940 - Main basse sur le cinéma français » de Pierre-Henri Gibert
Serge Gainsbourg (1928-1991)
« La graine et le mulet » d'Abdellatif Kechiche
Diane Kurys
Jean-Pierre Mocky (1929-2019)
Diane Kurys
Jean-Pierre Mocky (1929-2019)
Jeanne Moreau (1928-2017)
Bernard Natan (1886-1942)
« Charles Pathé et Léon Gaumont. Premiers géants du cinéma » par Emmanuelle Nobecourt
Des studios Pathé-Albatros à l’Espace Albatros
Les Studios Éclair de 1907 à 2007
Tournages Paris-Berlin-Hollywood 1910-1939
Bernard Natan (1886-1942)
« Charles Pathé et Léon Gaumont. Premiers géants du cinéma » par Emmanuelle Nobecourt
Des studios Pathé-Albatros à l’Espace Albatros
Les Studios Éclair de 1907 à 2007
Tournages Paris-Berlin-Hollywood 1910-1939
« Il n’est qu’un jeune premier timide "bloqué en dedans" lorsque son idylle avec Brigitte Bardot (Et Dieu… créa la femme) transforme sa vie. Réclamé pour son jeu tout en sobriété, on le retrouve dans une liste impressionnante de films d’auteur et grand public. Ses préférés ? Le conformiste de Bertolucci, Ma nuit chez Maud de Rohmer, Un homme et une femme, signé Lelouch. Tant pis pour Truffaut (Vivement dimanche) ou Costa-Gavras (Z). Reste qu’à la fin des années 1970, Jean-Louis Trintignant préfère les courses automobiles à Spielberg et Coppola, snobés. Écoutant sa nature solitaire, il se retire dans une petite ville du Gard, lassé par un cinéma qu’il retrouve par intermittence, jusqu’au meurtre de sa fille Marie, en 2003. Triste à vouloir en mourir, il ressuscite magistralement à l’écran grâce à Haneke et son film Amour, récompensé par la Palme d’or, avant de boucler la boucle avec Anouk Aimée, pour l’épilogue d’Un homme et une femme dans Les plus belles années d'une vie », a résumé Raphaël Badache pour Arte.
Hommage à la Cinémathèque
En 2012, la Cinémathèque française a proposé une rétrospective de Jean-Louis Trintignant ainsi présentée par Jean-François Rauger.
« L’INQUIÉTANT TIMIDE
Parcourir, en cinquante films, la carrière cinématographique de Jean-Louis Trintignant, c’est prendre, en toute conscience, le risque de ne découvrir qu’une seule et partielle dimension d’un homme aux multiples passions : le théâtre, la poésie, la mise en scène, la course automobile, les plaisirs de la campagne. C’est pourtant un risque que l’on prendra tant ce parcours suffirait déjà à susciter une admiration sans limites. »
« DU THÉÂTRE AU CINÉMA
Il naît le 11 décembre 1930 à Piolenc dans le Vaucluse. Sa vocation d’acteur naît à dix-neuf ans, dira-t-il, après avoir vu Charles Dullin dans L’Avare. Il arrive à Paris en 1950 avec le double objectif de devenir comédien de théâtre et metteur en scène de cinéma. Aussi s’inscrit-il, en toute logique, au cours Dullin et à l’IDHEC. Il débute au théâtre en faisant de la figuration au TNP puis obtient des rôles plus conséquents dans les troupes de Raymond Harmentier et Jean Dasté. L’impresario André Bernheim accepte de s’occuper de lui à condition qu’il fasse aussi du cinéma.
Après trois rôles, c’est véritablement dans Et Dieu… créa la femme de Roger Vadim (1956) qu’il accède à une notoriété véritable, une notoriété où se mêlaient admiration et curiosité publique en raison de sa liaison présumée avec Brigitte Bardot. Le film, dans lequel une nouvelle manière d’être une actrice inventa, instantanément, une nouvelle star féminine, fut aussi une œuvre où le casting masculin (de Curd Jürgens à Trintignant en passant par Christian Marquand) déployait une gamme de jeux où l’ancien côtoyait le nouveau. Et le nouveau c’était Trintignant.
Le jeune acteur ne sera pourtant pas une des recrues de la Nouvelle Vague. « Je l’ai ratée à ses débuts » dira-t-il, même s’il tournera, plus tard, avec Claude Chabrol (Les Biches), Éric Rohmer (Ma nuit chez Maud) ou François Truffaut (Vivement Dimanche !). »
« UN JEUNE HOMME TIMIDE
C’est en Italie où il se rend, dira-t-il parce que « l’on ne me propose rien d’intéressant en France » qu’il va s’imposer tout d’abord, dans une poignée de films décisifs où il incarne un jeune homme introverti, voire coincé. Estate violente (Eté violent) en 1959 du calligraphe Valerio Zurlini est une éducation sentimentale doucement morbide alors que Il Sorpasso (Le Fanfaron) de Dino Risi en 1962 est un road movie bouffon, tout autant qu’une confrontation de l’acteur avec son contraire, son négatif absolu, l’expansif Vittorio Gassman, un duel qui allait donner une comédie de mœurs aux accents cruels.
Est-ce de cette qualité paradoxale, une timidité dont il pensait, alors comédien débutant, qu’elle allait l’empêcher de faire une carrière, qu’il nourrira ses personnages ? Parce qu’il aura su la dépasser tout en l’exploitant.
Très tôt, Trintignant ne se laisse pas enfermer dans des caractères et un type de jeu. Il sera, alors que le cinéaste lui donne le choix entre deux rôles, un activiste d’extrême-droite, soit un personnage aux antipodes de sa nature, dans Le Combat dans l’île d’Alain Cavalier en 1962. Il se prête aux méthodes de Claude Lelouch, qui demande à ses acteurs d’improviser, avec Un homme et une femme. Le film, grand prix au festival de Cannes en 1966, le propulse véritablement vers le vedettariat. Autre expérience, le pistolero du curieux western de Sergio Corbucci, Le Grand silence, en 1968, dont l’acteur imposa qu’il soit muet. »
« ANGE OU DÉMON
En 1969, dans Ma nuit chez Maud, le deuxième conte moral d’Éric Rohmer, il interprète un ingénieur catholique dont les convictions philosophiques masquaient mal l’indécision du désir. L’auteur de La Collectionneuse, qui dira de Trintignant qu’il est « un acteur dostoïevskien où les zones de lumière succèdent aux zones de ténèbres, et où l’ange succède au démon », n’avait-t-il pas vu, avec son acuité particulière, cette double face du comédien, cette perpétuelle tension entre une souveraineté et une sorte de fragilité ? Si les figures de l’ambigüité morale subsistent (Le Voyou de Claude Lelouch en 1970, Il Conformista/Le Conformiste de Bernardo Bertolucci la même année, L’Attentat d’Yves Boisset en 1972), celles du pouvoir (même menacées) se font plus fréquentes. Il y a le juge intègre de Z de Costa-Gavras en 1969, le Président de la République du Bon plaisir de Francis Girod en 1984.
Une voix faussement douce, un sourire parfois inquiétant caractérisent des personnages avec lesquels Trintignant semblent à la fois s’amuser et auxquels il confère une profondeur non dénuée de mystère, passant de la fragilité (Le Train de Pierre Granier-Deferre en 1973, L’Argent des autres de Christian de Chalonge en 1978) à la cruauté légèrement outrée (Flic story de Jacques Deray en 1975) et à la manipulation perverse (Eaux profondes de Michel Deville en 1981).
Ses relations avec le cinéma, qu’il déclare régulièrement vouloir quitter, s’espacent. Mais ses rôles prennent une densité nouvelle dans Regarde les hommes tomber de Jacques Audiard, Trois couleurs : Rouge de Krzysztof Kieslowski (1994) où il incarne un magistrat retraité misanthrope et récemment, Amour de Michael Haneke qui a obtenu la Palme d’or au dernier festival de Cannes.
Il est également l’auteur de deux films (Une journée bien remplie en 1973, Le Maitre-nageur en 1979) qui lui ressemblent, effleurant plusieurs genres, (la comédie, le film criminel, la fable sociale) sans se laisser réduire à une catégorie existante.
Au cours d’un entretien, Jean-Louis Trintignant, évoquant ce qui motivait une de ses nombreuses passions : la course automobile, avait déclaré : « Ce n’est pas la vitesse que j’aime. Ce que j’aime dans la course c’est freiner le plus tard possible, passer un virage au maximum de vitesse. Si on se trouve à deux cents à l’heure dans une courbe et qu’on a été optimiste sur la vitesse d’entrée, on ne peut plus reculer. Il ne faut surtout pas lever le pied car ce qui tient la voiture, c’est l’accélération ». Il peut paraitre tentant (mais on peut céder à la tentation) de rapprocher cette leçon de conduite (automobile) avec cet art du jeu qui caractérise si bien le comédien Trintignant. Ce qui compte, semble-t-il, ce n’est pas la vitesse, (traduire : la performance) mais, peut-être, le juste rapport entre celle-ci, la distance à franchir et la topographie, c’est-à-dire entre l’émotion et son expression déterminée par le personnage, entre le franchissement de la courbe et la manière la plus efficace de négocier celle-ci. »
« Trintignant par Trintignant »
Arte diffusera le 31 octobre 2021 « Trintignant par Trintignant » (Trintignant über Trintignant) de Yves Jeuland et Lucie Cariès.
« Depuis plus de soixante ans, Jean-Louis Trintignant traverse les écrans européens, entre profonde finesse de jeu, élégance et charme énigmatique. Au fil d’archives rares, Lucie Cariès et Yves Jeuland esquissent son portrait. »
« Avec Delon et Belmondo, il a fait partie du trio d’acteurs français le plus sollicité par les metteurs en scène, en France et en Italie ».
« Au cinéma, il a été l’antihéros du "Conformiste" de Bertolucci, le juge obstiné de "Z" pour Costa-Gavras, le truand marginal de "Regarde les hommes tomber" de Jacques Audiard, mais aussi l’inoubliable amant d’"Un homme et une femme" de Claude Lelouch ou le bouleversant vieil époux d’"Amour" de Michael Haneke ».
« Sur les planches, il a joué Shakespeare et Tennessee Williams, lu avec sa fille Marie Prévert et Apollinaire, ces poètes qui, à l’adolescence, lui ont donné le goût des mots et de la scène. »
« Né en 1930 dans un village du Vaucluse, Trintignant a 19 ans lorsqu’il abandonne des études de droit à la fac d’Aix-en-Provence pour suivre des cours de théâtre à Paris ».
« Quand, après des petits rôles, Roger Vadim le dirige en 1956 dans "Et Dieu… créa la femme", le débutant au sourire timide crève l’écran ».
« Après Brigitte Bardot, avec laquelle il a une courte idylle, l’acteur au charme infini partage l’affiche avec les plus grandes actrices, de Jeanne Moreau à Anouk Aimée, de Fanny Ardant à Emmanuelle Riva et, bien sûr, Romy Schneider, dont il tombe amoureux sur le tournage du "Train" de Pierre Granier-Deferre… »
« Des années de jeunesse à celles de la maturité, Trintignant, 90 ans aujourd’hui, se montre tour à tour malicieux, grave, enjôleur, inquiet et élégant toujours… »
« Plongeant dans plus de soixante-dix ans d’archives, Lucie Cariès et Yves Jeuland retracent la carrière d’un comédien à la gloire discrète et au talent multirécompensé : Ours d’argent à la Berlinale en 1968 ("L’homme qui ment"), prix d’interprétation à Cannes l’année suivante ("Z") ou César du meilleur acteur en 2012 ("Amour") ».
« Au fil d’interviews et d’extraits de ses films, pièces et lectures, se dévoile derrière l’acteur l’homme marqué par les drames – l’opprobre jeté sur sa mère, tondue à la Libération, la mort de ses deux filles… – qui s’est réfugié dans une douce quête de beauté et les passions solitaires, des courses automobiles au poker, de l’amour de la poésie à la viticulture. »
"Le Train"
Arte diffusera le 31 octobre 2021 "Le Train" (Le Train - Nur ein Hauch von Glück) de Pierre Granier-Deferre avec Jean-Louis Trintignant, Romy Schneider et Régine (1973).
Arte diffusera le 31 octobre 2021 "Le Train" (Le Train - Nur ein Hauch von Glück) de Pierre Granier-Deferre avec Jean-Louis Trintignant, Romy Schneider et Régine (1973).
"La passion, intense et bouleversante, d’un homme (Jean-Louis Trintignant) et d’une femme (Romy Schneider) emportés dans le tumulte de l’exode de 1940... Émaillant son récit d’images d’archives, Pierre Granier-Deferre restitue, sur la base d’un roman de Simenon, la panique qui s’empara des populations civiles à l’approche de l’invasion allemande."
"Mai 1940. Alors que la Wehrmacht s’apprête à fondre sur la France, Julien Maroyeur, réparateur de radios dans l’est du pays, décide de fuir avec sa famille. À la gare, il est séparé de sa femme Monique, enceinte, envoyée en première classe avec leur fille. Julien fait le voyage dans un wagon à bestiaux bondé, où il croise le regard de la mystérieuse Anna…"
"Émaillant son récit d’images d’archives, Pierre Granier-Deferre restitue, sur la base d’un roman de Simenon, la panique qui s’empara des populations civiles à l’approche de l’invasion allemande".
"Mai 1940. Alors que la Wehrmacht s’apprête à fondre sur la France, Julien Maroyeur, réparateur de radios dans l’est du pays, décide de fuir avec sa famille. À la gare, il est séparé de sa femme Monique, enceinte, envoyée en première classe avec leur fille. Julien fait le voyage dans un wagon à bestiaux bondé, où il croise le regard de la mystérieuse Anna…"
"Émaillant son récit d’images d’archives, Pierre Granier-Deferre restitue, sur la base d’un roman de Simenon, la panique qui s’empara des populations civiles à l’approche de l’invasion allemande".
"Par le prisme de l’intime, le cinéaste capte l’atmosphère incertaine de l’exode, entre bombardements mortels, pique-nique au bord de l’eau et fous rires collectifs affranchis des barrières sociales."
"Plongés dans ces circonstances extraordinaires, qui agissent comme révélateur des états d’âme et des désirs enfouis de chacun, Julien et Anna s’épient, s’étreignent dans la promiscuité du wagon, se confient sans réserve leurs rêves et leurs peurs. Dans le rôle de ces amants de la débâcle, Jean-Louis Trintignant et Romy Schneider forment un couple aussi émouvant que magnétique."
« On l’imagine humble et secret. Au fil des interviews réunies par Lucie Cariès et Yves Jeuland pour le touchant film qu’ils lui consacrent, le comédien se livre en une forme d’autoportrait tout en nuances et ambivalences. Extraits. »
Au commencement
« Je serais plutôt un acteur de type chat. Les chats ne sont pas spontanés, vous savez. Moi, pendant des années, je passais toutes mes scènes la tête baissée avec mon accent méridional. Un ton monocorde. En moi, ça bouillonnait. Mais il y avait des professeurs qui me disaient : 'Tu n’es pas bien, mais continue...' »
Syndrome de l’imposteur
« Chaque fois que je commence un film, je me dis : mais mon Dieu, je ne sais rien et on va se rendre compte finalement que je suis très mauvais, que c’est un scandale. Et puis, à d’autres moments, je me dis : mais j’ai vraiment une sorte de talent exceptionnel ! C’est vrai, je passe de l’un à l’autre, c’est très sincère. »
À fleur de peau
« Un comédien, c’est quelqu’un qui se fait mal. Parce qu’on ne peut pas jouer avec sa sensibilité sans se faire mal. C’est un petit peu comme un type qui aurait une croûte et qui serait tout le temps à se la gratter. C’est ça, les comédiens : on n’arrête pas de se gratter les croûtes et de se faire saigner. Nos croûtes, ce sont nos problèmes, nos complexes... Ce qu’on a de plus caché, de plus honteux même. »
Intranquillité
« Politiquement, je suis de gauche. Très de gauche. Vous savez, il y a un poète qui a dit : 'Quand on a une fois dans sa vie ouvert les yeux, on ne peut plus dormir tranquille.' Je crois que j’ai ouvert les yeux une fois, et que depuis je ne dors pas tranquille. »
Le mal en moi
« Si je peux jouer un personnage de salaud, c’est que je ne me comporte pas – enfin j’essaie – comme un salaud dans la vie, mais c’est que je l’ai en moi. C’est que ça ne m’est pas franchement étranger. »
Goût du risque
« J’ai eu envie de faire de la course d’automobile à partir de 40 ans. Ce qui est complètement aberrant parce que, en général, on s’en retire à cet âge-là. C’est une forme romantique que de n’avoir pas peur du risque. »
Coups de poker
« Au poker, c’est vraiment toute ma méchanceté qui s’exprime. C’est le jeu le plus monstrueux qui existe. Quand on joue au poker pour gagner, il faut s’attaquer à quelqu’un qui est faible, à quelqu’un qui est perdant. Il faut l’accabler. C’est abject, c’est ce qu’il y a de plus abject. Et moi, ça m’amuse beaucoup de le faire. »
Dernières fois
« Moi, je pense à la mort pour mieux vivre. Je pense qu’on devrait vivre chacun comme si on allait mourir le lendemain. Je pense que quand on fume une cigarette, on devrait la fumer comme si c’était la dernière. Quand on boit un verre de vin, on devrait penser que c’est le dernier, on l’apprécierait merveilleusement. Quand on fait l’amour, on devrait penser que c’est la dernière fois et on serait dans un état extraordinaire. »
« Trintignant par Trintignant » de Yves Jeuland et Lucie Cariès
France, 2020, 53 min
Auteurs : Lucie Cariès et Yves Jeuland
Coproduction : ARTE France, Morgane Production
Sur Arte les 31 octobre 2021 à 22 h 35 et 5 décembre 2021 à 1 h 35
Disponible du 24/10/2021 au 28/04/2022
Visuels :
Jean-Louis Trintignant et Nadine
Jean-Louis Trintignant et sa fille Marie Trintignant
Jean-Louis Trintignant
Jean-Louis Trintignant en interview
© Morgane Productions
"Le Train" de Pierre Granier-Deferre
Image : Walter Wottitz
Montage : Jean Ravel
Musique : Philippe Sarde
Production : Lira Films, Capitolina Produzioni Cinematografiche
Producteur/-trice : Raymond Danon
Réalisation : Pierre Granier-Deferre
Scénario : Pascal Jardin, Pierre Granier-Deferre
Avec Jean-Louis Trintignant, Romy Schneider, Régine, Nike Arrighi, Franco Mazzieri, Maurice Biraud, Paul Amiot, Paul Le Person
Auteur : Georges Simenon
France, Italie, 1973
Sur Arte les 7 octobre 2018 à 20 h 50, 31 octobre 2021 à 20 h 55, 2 novembre 2021 à 13 h 35, 8 novembre 2021 à 13 h 35
Visuels :
Jean-Louis Trintignant, Romy Schneider, Régine
Image : Walter Wottitz
Montage : Jean Ravel
Musique : Philippe Sarde
Production : Lira Films, Capitolina Produzioni Cinematografiche
Producteur/-trice : Raymond Danon
Réalisation : Pierre Granier-Deferre
Scénario : Pascal Jardin, Pierre Granier-Deferre
Avec Jean-Louis Trintignant, Romy Schneider, Régine, Nike Arrighi, Franco Mazzieri, Maurice Biraud, Paul Amiot, Paul Le Person
Auteur : Georges Simenon
France, Italie, 1973
Sur Arte les 7 octobre 2018 à 20 h 50, 31 octobre 2021 à 20 h 55, 2 novembre 2021 à 13 h 35, 8 novembre 2021 à 13 h 35
Visuels :
Jean-Louis Trintignant, Romy Schneider, Régine
Jean-Louis Trintignant et Romy Schneider
© 1972 STUDIOCANAL – CAPITOLINA
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