Citations

« Le goût de la vérité n’empêche pas la prise de parti. » (Albert Camus)
« La lucidité est la blessure la plus rapprochée du Soleil. » (René Char).
« Il faut commencer par le commencement, et le commencement de tout est le courage. » (Vladimir Jankélévitch)
« Notre métier n’est pas de faire plaisir, non plus de faire du tort. Il est de porter la plume dans la plaie. » (Albert Londres)
« Le plus difficile n'est pas de dire ce que l'on voit, mais d'accepter de voir ce que l'on voit. » (Charles Péguy)

dimanche 24 mars 2024

Alexandre Mnouchkine (1908-1993)

Alexandre Mnouchkine (1908-1993) était un producteur de cinéma français né à Saint-Pétersbourg dans une famille juive convertie au christianisme. Codirigeant des Films Ariane, il a produit des films populaires de qualité : Fanfan la Tulipe de Christian-Jaque (
1952), Cartouche de Philippe de Broca (1962), L'aventure c'est l'aventure de Claude Lelouch (1972), Stavisky d'Alain Resnais (1974), Préparez vos mouchoirs de Bertrand Blier (1978), Le Nom de la rose de Jean-Jacques Annaud (1986)... Arte diffusera le 31 mars 2024 à 13 h 30 « Cartouche » de Philippe de Broca avec Claudia Cardinale, Jean Rochefort, Jean-Paul Belmondo, Odile Versois, Marcel Dalio.


Alexandre Mnouchkine (1908-1993) était un producteur de cinéma français né à Saint-Pétersbourg dans une famille bourgeoise juive convertie au christianisme orthodoxe pour pouvoir quitter la Zone de résidence et s'installer dans cette ville.

Installé en France en 1925 avec ses parents, il débute au cinéma en 1932 en tentant une carrière d'acteur.

En 1937, il épouse June Hannen, fille du comédien britannique Nicholas Hannen. Le couple a deux filles : Ariane Mnouchkine, née en 1939), metteuse en scène et fondatrice du Théâtre du Soleil, et Joëlle Mnouchkine. En 1975, il épouse en secondes noces la comédienne Simone Renant.

Sous l'Occupation, ses parents sont arrêtés, internés au camp de Drancy et déportés vers le camp d'Auschwitz où ils sont tués lors de la Shoah.   

En 1945, avec Georges Danciger (1908-
1993), né dans une famille juive à Tukums (actuelle Lettonie, alors dans l'Empire russe), et Francis Cosne, Alexandre Mnouchkine cofonde la société de production cinématographique, Les Films Ariane qui s'associent parfois avec des homologues italiens ou avec United Artists pour la distribution : Le Train de John Frankenheimer. 

Il suit le projet cinématographique de l'écriture du scénario à sa sortie en salles, via le tournage.

Se définissant comme un « façonnier » ou « le dernier aventurier dans ce métier », Alexandre Mnouchkine avait gardé son accent russe, un regard où transparaissait son goût pour les facéties... 

"On commence à savoir comment on fait les mauvais films, mais on ne sait pas encore comment on fait les bons !", résumait Alexandre Mnouchkine.

Pendant plusieurs décennies, le nom d'
Alexandre Mnouchkine (1908-1993), associé à celui de Georges Dancigers,  apparu aux génériques d'une centaine de films populaires et de qualité, dans des genres divers : Fanfan la Tulipe de Christian-Jaque (1952), Cartouche de Philippe de Broca (1962), L'aventure c'est l'aventure de Claude Lelouch (1972), L'Emmerdeur d'Édouard Molinaro (1973), Le Nom de la rose de Jean-Jacques Annaud (1986)...

Les Films Ariane ont aussi produit des films d'auteur, notamment L'Aigle à deux têtes et Les Parents terribles de Cocteau (1948), Stavisky d'Alain Resnais (1974) et Préparez vos mouchoirs de Bertrand Blier (1978) - Oscar du Meilleur film étranger à la 51e cérémonie des Oscars. 

En 1982, un César d'honneur, décerné par le comédien Jean Rochefort, distingue Alexandre Mnouchkine et Georges Dancigers.

Gregor Rabinovitch (Cine-Allianz), Adolf Osso né à Safed (Les Films Osso, Les Films Vendôme), Arnold Pressburger, Bernard Natan, Jacques Haïk, Henry Deutschmeister (Franco-London-Films), Alexandre Mnouchkine (Les Films Ariane), les frères Robert et Raymond Hakim, Pierre BraunbergerJacques Roitfeld, Gilbert de Goldschmidt (Madeleine Films), Serge Silberman (Greenwich Films), Artur Brauner... Ces producteurs juifs ont contribué, pendant des décennies quand ils n'ont pas été tués lors de la Shoah, à leurs risques et périls financiers, à la modernisation et l'essor de productions, distributions et exploitations cinématographiques, nationales et européenne, avant et après la Deuxième Guerre mondiale, à une époque sans chaîne de télévision ou SOFICA pour co-financer des films. 

"Fanfan la Tulipe"
"Fanfan la Tulipe" (Fanfan der Husar) est un film de cape et d'épée réalisé par Christian-Jaque (1951) avec Gérard Philipe, Gina Lollobrigida, Geneviève Page, Marcel Herrand, Jean-Marc Tennberg, Noël Roquevert et Jean Parédès. Au début du tournage, Gérard Philipe s'était opposé au réalisateur Christian-Jaque car il souhaitait interpréter son personnage sur un mode grave. Satisfait après avoir vu le film, il écrit à Christian-Jaque pour reconnaître son erreur et lui exprimer sa gratitude.

Les brillants dialogues sont ciselés par Henri Jeanson. Maurice Thiriet et Georges Van Parys ont composé la musique de cette comédie populaire.

Durant la guerre de Sept Ans (1756-1763), "ébloui par une fausse prédiction, un sympathique séducteur s'engage dans l'armée d'Aquitaine... Virevoltant et fantaisiste, un régal du film de cape et d'épée, avec Gérard Philipe et Gina Lollobrigida." 

"Joyeux coureur de jupons, Fanfan croise la belle Adeline, une bohémienne qui lui prédit une carrière militaire brillante et la main de la fille de Louis XV. Échappant ainsi au mariage avec l'une de ses conquêtes, le jeune coq s'engage dans le régiment d'Aquitaine. Il croit dur comme fer à la prédiction et ignore qu'Adeline travaille en réalité pour son père, le sergent-recruteur La Franchise. Après avoir sauvé la fille du roi, Fanfan est condamné à mort pour avoir tenté de lui rendre visite. Mais Adeline intercède en sa faveur, et Fanfan retrouve la liberté grâce à un subterfuge... "

"Tout en fraîcheur, fantaisie, décolletés pigeonnants et cavalcades, ce classique du film de cape et d'épée, inspiré d'un héros populaire français attachant et fanfaron, remporta un gros succès lors de sa sortie". En 1819, Émile Debraux, chansonnier et goguettier français, aurait créé la chanson Fanfan la Tulipe "sur un air populaire anonyme du XVIIIe siècle (Titre original : Marche des Grenadiers)". Ce personnage devient le héros de pièces de théâtres de Paul Meurice (1859) et Edmond Lepelletier (1896), de l'opérette de Louis Varney (1882), d'un roman et d'un scénario de Pierre-Gilles Veber et de trois films réalisés par René Leprince (1925), Christian-Jaque (1952) et Gérard Krawczyk (2003).

"Dans une mise en scène élégante et sur ressorts de Christian-Jaque, des seconds rôles savoureux – à commencer par Marcel Herrand, l'inoubliable Lacenaire des Enfants du paradis, en galant Louis XV et Noël Roquevert en furibard Fier-à-Bras – tentent vainement de mettre des bâtons dans les roues aux deux amoureux, interprétés avec fougue par Gérard Philipe et Gina Lollobrigida. Engagée comme simple faire-valoir, l'actrice italienne fait merveille dans ce rôle qui lança sa carrière". 


"Rue des prairies" 
"Rue des prairies" est réalisé par Denys de La Patellière (1959) avec Jean Gabin. À la fin des années 1950, un père veuf voit s’éloigner de lui ses trois enfants devenus grands. Sur des dialogues de Michel Audiard, une subtile chronique familiale avec Jean Gabin, présentée en version restaurée." 

"Après deux ans de captivité en Allemagne, et alors que la guerre se poursuit, Henri Neveux retrouve Paris, où l’attendent sa femme et leurs deux jeunes enfants, Louis et Odette. La porte de leur petit deux-pièces de la rue des Prairies à peine poussée, il apprend que son épouse vient de décéder en donnant naissance à un garçon qui n’est pas le sien, Fernand. Les années ont filé et Henri, contremaître sur des chantiers de construction, a veillé du mieux qu’il pouvait sur leur éducation : Odette a trouvé un emploi dans un magasin de chaussures, Louis vient d’être sacré champion de France de cyclisme amateur et Fernand poursuit ses études. Quand ce dernier est exclu du lycée pour avoir molesté l’un de ses camarades, qu’il faisait en outre chanter, Henri décide de l’envoyer en pension…"

"Retrouvant Jean Gabin, qu’il venait de diriger dans Les grandes familles (ils tourneront six films ensemble), Denys de La Patellière réunit autour de lui trois jeunes premiers pour camper sa progéniture : Marie-José Nat, Claude Brasseur et Roger Dumas. Sur des dialogues percutants ciselés par Michel Audiard, la chronique familiale se fait subtile illustration d’une société en pleine mutation à l’orée des années 1960. Repérée par un photographe publicitaire, Odette s’apprête à épouser un riche homme d’affaires pas encore divorcé, tandis que Louis, devenu cycliste professionnel, s’accommode des courses truquées, et que l’indiscipliné Fernand est promis à la maison de correction. Au-delà, c’est un Paris populaire, avec ses vendeurs des quatre-saisons et ses bistrots où chacun offre sa tournée, qui va bientôt s’effacer derrière les grands ensembles que ce père attentionné bâtit en lointaine banlieue. Teinté de nostalgie, le tableau d’une France à la croisée des chemins, dans laquelle les générations peinent toujours à se comprendre, mais où l’amour s’affranchit des conventions."


« Cartouche »
Arte diffusera le 31 mars 2024 à 13 h 30 « Cartouche » de Philippe de Broca avec Claudia Cardinale, Jean Rochefort, Jean-Paul Belmondo, Odile Versois, Marcel Dalio.

« Les aventures de Cartouche, voleur au grand cœur et ennemi des puissants dans la France de l’Ancien Régime... Réalisé par Philippe de Broca, un classique des films de cape et d'épée, avec un virevoltant Jean-Paul Belmondo, une envoûtante Claudia Cardinale, un espiègle Jean Rochefort et la musique inspirée de Georges Delerue. »

« Au début du XVIIIe siècle, dans la France miséreuse de l'Ancien Régime, Louis-Dominique Bourguignon, dit Cartouche, s’impose comme l'un des voleurs à la tire les plus habiles de Paris. Mais ce fils d'un marchand de vin, qui appartient à la bande des "Coquillards", se rebelle bientôt contre le despotisme de son chef, le cruel Malichot, qui lance des tueurs à ses trousses. »

« Pour survivre, Cartouche s'engage dans l'armée et se lie avec deux olibrius, La Taupe et La Douceur. Un trio qui ne tarde pas à déserter en emportant la caisse du régiment. De retour à Paris, Cartouche, qui s’éprend de la jeune bohémienne Vénus, va s’employer à évincer Malichot et à dépouiller les seigneurs. »

« En reprenant, avec des libertés, l'histoire vraie de ce bandit-justicier qui fit trembler les riches, Philippe de Broca (L'homme de Rio, Le magnifique) signe l'un des plus beaux films de cape et d'épée du cinéma français. Rythme, romantisme, drôlerie, émotion dramatique aussi : cette épopée est emmenée, avec toute l’insolence et l’insouciance requises, par un Jean-Paul Belmondo virevoltant, une Claudia Cardinale envoûtante et la musique inspirée de Georges Delerue. Plus de soixante ans après sa sortie, Cartouche reste d'une réjouissante fraîcheur. »


« L'homme de Rio »
Arte diffusera le 29 août 2021 « L'homme de Rio » (Abenteuer in Rio) de Philippe de Broca Jean-Paul Belmondo, Françoise Dorléac, Jean Servais.

« Lancé à la poursuite des ravisseurs de sa fiancée, un jeune homme met au jour un trafic de statuettes... Inspiré par les aventures de Tintin, Philippe de Broca concocte en 1963 un film bondissant et plein d'humour, avec un couple d'acteurs explosif : Jean-Paul Belmondo et Françoise Dorléac. »

« En permission pour une semaine, le soldat de 2e classe Adrien Dufourquet arrive à Paris pour retrouver sa fiancée Agnès. Au même moment, une statuette amazonienne est volée au musée de l'Homme. Elle fait partie d'un ensemble de statues rapportées par trois explorateurs : le professeur Catalan, le professeur Villermosa, tragiquement disparu, et André de Castro, un riche homme d'affaires brésilien. Quelque temps plus tard, le professeur Catalan est enlevé devant le musée. De son côté, Adrien rejoint Agnès, laquelle n'est autre que la fille de l'explorateur disparu. Las, la jeune femme est enlevée à son tour. Adrien se lance à la poursuite des ravisseurs… »

« Proche par le ton et l'esprit des aventures de Tintin, et préfigurant certaines prouesses 'jamesbondiennes', le film est une sorte de super bande dessinée – bondissante et mouvementée, menée sur un rythme ultrarapide, bourrée d'idées et d'humour – qui n'est jamais en panne d'inspiration. Son extraordinaire succès public rendit son acteur et son réalisateur mondialement célèbres. » (Guide des films, Jean Tulard)

"Comme Philippe de Broca  l’expliquera des années plus tard, il n’aurait pas fait le film sans Françoise Dorléac : « Je ne pouvais imaginer L’Homme de Rio sans elle. Françoise avait cette vivacité, cette originalité, cette voix rauque… Elle m’emballait… »

« L’immense amitié qui liait Alexandre  Mnouchkine, Sania pour les intimes,  et Philippe de Broca était faite de respect, d’humour, de fidélité, de confiance, de rires et de l’indéfectible amour que tous deux portaient au cinéma. Quand ils travaillaient ensemble, c’était pour eux une aventure, un amusement, un émerveillement constants doublés d’un professionnalisme à toute épreuve. Ils étaient comme deux gosses qui jouaient à se faire des tours pendables, à qui surprendrait le plus l’autre. Longtemps, le troisième larron fut Jean Paul Belmondo", se souvenait Joelle Mnouchkine. 

Et Joelle Mnouchkine de poursuivre : "Je ne me souviens plus du nombre de films qu’ils firent ensemble, mais je crois que Philippe lui en proposa une bonne douzaine (Sania était toujours partant), chacun avec  ses découvertes, ses farces rocambolesques, ses histoires homériques. Sans parler du chameau  hissé dans la chambre de Sania, des odalisques cachées dans ses placards, des bébés crocodiles disséminés dans les bidets des touristes de l’hôtel de Rio... Pendant longtemps encore Sania eut en Philippe le fils qu’il aurait toujours aimé avoir et moi le frère dont j’avais toujours rêvé. »


"Un homme qui me plaît"
"Un homme qui me plaît" (Der Mann, der mir gefällt) est un film réalisé par Claude Lelouch en 1969 avec deux comédiens populaires amis depuis leurs études au Conservatoire d'art dramatique de Paris : 
Annie Girardot et Jean-Paul Belmondo

"Une actrice et un compositeur français s'éprennent l’un de l’autre en marge d'un tournage hollywoodien... Trois ans après "Un homme et une femme", Claude Lelouch livre une vision désenchantée de la passion avec l'inoubliable couple Annie Girardot /Jean-Paul Belmondo."

"De passage à Hollywood, Henri, un compositeur, et Françoise, une actrice en vue, ont une idylle pour tuer le temps. Mais leur histoire s'étire. Henri entraîne Françoise à Las Vegas, puis le couple joue les touristes en Arizona. Peu à peu, les deux Français s’éprennent l’un de l’autre et multiplient les faux-fuyants vis-à-vis de leurs partenaires respectifs, restés en Europe."

 "Trois ans après Un homme et une femme, Claude Lelouch remet en scène la rencontre amoureuse, en troquant les brumes de Deauville contre le soleil éclatant de l'Ouest américain. Il y ajoute une dose de mélancolie et les complications de la quarantaine. Empêtrés dans leur double vie, paralysés par la peur ou la lâcheté, les deux amants expriment leurs sentiments avec une retenue seulement démentie par les envolées romantiques de la musique de Francis Lai". 

"Cinquante ans après sa sortie, ce film, diffusé ici en version restaurée, séduit par le naturel avec lequel Lelouch capte cette passion avortée ainsi que par l'alchimie entre Belmondo et Girardot, tous deux à l'apogée de leur maturité et de leur sensualité. Amoureusement filmée par Lelouch, l'actrice joue avec une justesse émouvante le rôle de cette femme vive et assurée en apparence, mais fragilisée par cette passion inattendue."

Arte diffusa sur son site Internet "Un homme qui me plaît" : rencontre avec Claude Lelouch" réalisé par Loic Mahe. "Rencontre avec le réalisateur Claude Lelouch à l'occasion de la diffusion de Un homme qui me plaît  (1969)".




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Fanfan la Tulipede Christian-Jaque

France, Italie, 1951
Scénario : Henri Jeanson, René Wheeler, Christian-Jaque
Production : Amato Produzione, Filmsonor, Les Films Ariane
Producteur : Alexandre Mnouchkine
Auteurs : René Fallet, René Wheeler
Costumes : Marcel Escoffier, Jean Zay
Décors de film : Robert Gys
Image : Christian Matras
Montage : Jacques Desagneaux
Musique : Georges Van Parys, Maurice Thiriet
Avec Gérard Philipe (Fanfan la Tulipe), Gina Lollobrigida (Adeline La Franchise), Olivier Hussenot (Tranche-Montagne), Nerio Bernardi (le sergent La Franchise), Marcel Herrand (Louis XV), Jean-Marc Tennberg (Lebel, le valet du roi), Noël Roquevert (Fier-à-Bras, maréchal des logis), Geneviève Page (la marquise de Pompadour), Sylvie Pelayo (Henriette de France)
Sur Arte les 23 décembre 2020 à 20 h 55, 30 décembre 2020
Visuels :
Gina Lollobrigida est Adeline La Franchise et Gérard Philipe est Fanfan La Tulipe dans le film de Christian Jaque " Fanfan La Tulipe"
Gérard Philipe est Fanfan la Tuiipe dans le film de Christian Jaque " Fanfan La Tulipe"
Marcel Herrand est Louis XV dans " Fanfan La Tulipe" de Christian Jaque
© 1952 – TF1 DROITS AUDIOVISUELS

"Rue des prairies" de Denys de La Patellière
France/Italie, 1959, 1 h 27mn, noir et blanc
Production : Les Films Ariane, Filmsonor, Intermondia Films, Vides Film - Version restaurée
Scénario : Denys de La Patellière et Michel Audiard, d’après le roman éponyme de René Lefèvre
Avec : Jean Gabin (Henri Neveux), Marie-José Nat (Odette Neveux), Claude Brasseur (Louis Neveux), Roger Dumas (Fernand Neveux), Roger Tréville (Jacques Pedrell), Dominique Page (la prostituée) 
Sur Arte les14 juin 2021 - 20.55 / 18 juin 2021 - 13.35
Disponible sur arte.tv du 14/06/2021 au 20/06/2021

« Cartouche » de Philippe de Broca
France, Italie, 1962, 1 h 51
Scénario : Daniel Boulanger, Philippe de Broca, Charles Spaak
Production : Filmsonor, Les Films Ariane
Producteurs : Georges Danciger, Alexandre Mnouchkine
Image : Christian Matras
Montage : Laurence Méry
Musique : Georges Delerue
Avec Claudia Cardinale (Vénus), Jean Rochefort (La Taupe), Jean-Paul Belmondo (Louis-Dominique Bourguignon alias Cartouche), Odile Versois (Isabelle de Ferrussac), Jess Hahn (La Douceur), Philippe Lemaire (ton de Ferrussac), Marcel Dalio (Malichot)
Alain Dekok (Louison)
Sur Arte les 31 mars 2024 à 13 h 30, 09 avril 2024 à 13 h 35, 18 avril 2024 à 13 h 35
Sur arte.tv du 31/03/2024 au 06/04/2024


« L'homme de Rio » de Philippe de Broca
France, Italie, 1963
Scénario : Jean-Paul Rappeneau, Ariane Mnouchkine, Daniel Boulanger, Philippe de Broca
Production : Les Films Ariane, Les Productions Artistes Associés, Dear Film Produzione
Producteurs : Alexandre Mnouchkine et Georges Dancigers
Image : Edmond Séchan
Montage : Françoise Javet
Musique : Georges Delerue
Avec : Jean-Paul Belmondo (Adrien Dufourquet), Françoise Dorléac (Agnès Villermosa), Jean Servais (Professeur Catalan), Milton Ribeiro (Tupac), Adolfo Celi (Mario De Castro), Ubiracy de Oliveira (Sir Winston), Simone Renant (Lola)
Sur Arte le 29 août 2021 à 13 h 25
Visuels : © TF1 Films

"Un homme qui me plaît" par Claude Lelouch

France, 1969
Scénario : Claude Pinoteau, Pierre Uytterhoeven
Production : Les Films 13, Les Films Ariane, Les Productions Artistes Associés
Producteur/-trice : Alexandre Mnouchkine, Georges Dancigers
Image : Jean Collomb
Montage : Claude Barrois, Jack Harris
Musique : Francis Lai
Avec Jean-Paul Belmondo (Henri), Annie Girardot (Françoise), Farrah Fawcett (Patricia), Kaz Garas (Paul), Peter Bergmann (Regisseur), Bill Quinn (Reisender im Flugzeug)
Costumes : Pierre Balmain
Sur Arte le 7 janvier 2019 à 22 h 55
Visuels :
Jean-Paul Belmondo (Henri)
Annie Girardot (Françoise) et Jean-Paul Belmondo (Henri)
Credit : © Les Films 13

 "Un homme qui me plaît" : rencontre avec Claude Lelouch" réalisé par Loic Mahe
France, Arte France Cinema, 2017
Sur Arte le 7 janvier 2019 à 22 h 25

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Les citations sur les films proviennent d'Arte. Cet article a été publié le 26 août 2021.

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