La fabrique des saintes images. Rome-Paris, 1580-1660
« Le pacte Hitler-Staline » par Cédric Tourbe
« Drôle de guerre » par Cédric Gruat
« Pologne 1939 - La métamorphose des soldats en criminels de guerre » par Alexander Hogh et Jean-Christoph Caron
« 1945. L'ouverture des camps en Allemagne », par Serge Viallet
« Images de la libération des camps. Chronique d’un film inachevé », par André Singer
Filmer la guerre : les Soviétiques face à la Shoah (1941-1946)
« Shoah, les oubliés de l’histoire », par Véronique Lagoarde-Ségot
Cinéma et Shoah, de l’affiche au dossier de presse
« Magda Goebbels, la première dame du IIIe Reich » d’Antoine Vitkine
« Les studios Babelsberg ou le Hollywood allemand » de Alexander Lück et Daniel Finkernage
Tournages Paris-Berlin-Hollywood 1910-1939
« Leeuwarden - Georges-Arthur Goldschmidt – Enquête sur un tableau »
« Les Juifs d'Afrique du nord face à l'Allemagne nazie » par Dan Michman et Haim Saadoun
« Tunisie, une mémoire juive », par Fatma Cherif et Saïd Kasmi
« Exil nazi : la promesse de l'Orient » par Géraldine Schwarz
« Face à eux, 21 des principaux dignitaires nazis se tiennent dans le box des accusés : Goering, Hess, Ribbentrop, les chefs de l’armée, de la marine ou de la Gestapo, des idéologues, des banquiers, les organisateurs des camps de la mort… »
Echappe à ce procès : le grand mufti de Jérusalem Haj Mohammad Amin al-Husseini (1897-1974). La France, qui avait arrêté al-Husseini et lui avait offert des conditions de détention agréables, a refusé d'accéder aux demandes d’extradition de la Grande-Bretagne et de la Yougoslavie qui voulaient le voir juger pour crimes de guerre et complicités avec les dirigeants nazis. Le 29 mai 1946, al-Husseini a quitté la France par un vol régulier de la TWA d’Orly au Caire (Egypte), détenteur d’un faux passeport fourni par le Quai d'Orsay et voyageant sous un nom d’emprunt.
« À Nuremberg, la fine fleur des journalistes et des écrivains ont vécu des mois durant dans le même château pour témoigner de l’horreur des crimes nazis. »
« Au tribunal comme au château, la tension est permanente, décuplée lors des moments clefs du procès – la diffusion des archives, filmées par les Américains lors de la libération des camps, ou le témoignage de la rescapée Marie-Claude Vaillant-Couturier sous le regard impassible des dignitaires nazis. »
« En plongeant au cœur du château de Faber-Castell, Alfred de Montesquiou met en lumière cette communauté de journalistes, d’écrivains, de photographes et de cinéastes réunis malgré la guerre froide qui s’annonce, percutés par la violence des preuves et animés, en réponse, par une soif de vie frénétique. »
Ce documentaire « propose une vision originale de ce procès dont on célèbre les 80 ans, en suivant ces correspondants de guerre dans la salle d’audience et à travers la ville en ruines : ils vivent en direct une révolution juridique qui voit les Alliés retenir leur instinct de vengeance pour offrir aux criminels de guerre un procès juste, dans l’espérance qu'il serve la dénazification de l’Allemagne aussi bien que l’édification des dirigeants politiques à travers le monde. »
« Vivre le plus grand procès de l’histoire à travers le regard des femmes et des hommes venus le raconter : Alfred de Montesquiou, ancien reporter de guerre, parvient avec brio à conjuguer la lecture historique du procès avec la mise en lumière des sentiments et des émotions de ceux qui y ont assisté. Une immersion passionnante qui offre un éclairage nouveau sur le "procès du siècle".
















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