« L’ami Fritz » par Jacques de Baroncelli
Léon Barsacq (1906-1969) : « Maquettes de décors de films »
« Un ami viendra ce soir » de Raymond Bernard
Les Enfants du Paradis, l’exposition
Eddie Constantine (1917-1993)
Lemmy Constantine
Sami Frey
« 1940 - Main basse sur le cinéma français » de Pierre-Henri Gibert
Serge Gainsbourg (1928-1991)
« La graine et le mulet » d'Abdellatif Kechiche
Diane Kurys
Bernard Natan (1886-1942)
« Charles Pathé et Léon Gaumont. Premiers géants du cinéma » par Emmanuelle Nobecourt
Des studios Pathé-Albatros à l’Espace Albatros
Les Studios Éclair de 1907 à 2007
Tournages Paris-Berlin-Hollywood 1910-1939
Orson Welles est devenu un fabricant de rêves, un magicien des sons, un poète, un cinéaste.Quand l’écran lui appartient, nous lui appartenons.Séquences fluides, gros plans, mots, mouvements de caméra ;L’œil de la caméra d’Orson Welles,Regardant, scrutant, contemplant, glissant, crée le charme qui rompt le mauvais sort.Nous regardons.Nous savons que nous ne serons pas trompés. […]Un poète nous aide à vivre. Un homme libre est partout »
28 mars à 15 h 05, 3 avril à 15 h et 9 avril 2018 à 15 h 05, Histoire diffusa Il était une fois... Jules et Jim (Folamour Production, 2004). "Tous les grands films sont des témoignages exceptionnels de l’époque où ils ont été conçus. Cette collection dresse le portrait d’un cinéaste à un moment de sa vie, à travers l’un de ses films. Portrait d’une époque, portrait d’un cinéaste, portrait d’un long métrage et grande leçon de cinéma. "Il était une fois en 1962, Jules et Jim", le troisième film de François Truffaut, adapté d'un roman de Henri-Pierre Roché. Ce film raconte l’histoire de deux amis, Jules l'Allemand et Jim le Français qui aiment les femmes, mais lorsqu'ils rencontrent Catherine : ils tombent tous les trois amoureux".Sorti en 1962, le film est adapté du roman du même nom de Henri-Pierre Roché.
Mais la scène finale révèle le refus létal de Catherine que Jim mette un terme à leur relation amoureuse et vive une histoire d'amour avec une autre femme.
Arte diffusera le 28 mars 2021 « Le train » (Der Zug) de John Frankenheimer et Bernard Farrel (1964). Suzanne Flon y incarne Rose Valland, l'attachée de conservation au musée du Jeu de Paume à Paris qui a contribué à préserver des œuvres du patrimoine national convoitées par les nazis et dont un très grand nombre a été convoyé vers l'Allemagne.« Une femme décide de venger son mari assassiné sous ses yeux le jour de leurs noces... En version restaurée, un hommage de François Truffaut à Alfred Hitchcock, porté par Jeanne Moreau. La sublime et fatale Jeanne Moreau y est entourée d'une pléiade d'exquis acteurs : Michel Bouquet, Jean-Claude Brialy, Charles Denner, Claude Rich, et Michael Lonsdale, décédé le 21 septembre dernier ».
« Julie et David viennent de se marier. Mais alors qu’il sort de l’église au bras de son épouse, David est abattu d’une balle venue d’on ne sait où. La mariée devenue veuve se lance à la recherche de l’assassin. Plusieurs hommes, pour leur malheur, croiseront son chemin… »
« Lorsqu’il réalise La mariée était en noir, adaptation du roman éponyme de William Irish, François Truffaut sort du demi-échec commercial de Fahrenheit 451 et travaille à son fameux livre d’entretiens avec Alfred Hitchcock ».« De fait, de l’atmosphère à la direction artistique, en passant par la musique signée Bernard Herrmann, compositeur attitré du Britannique, aucun film du cinéaste n’a été aussi ouvertement influencé par l’œuvre du maître du suspense ».
« Plus que les meurtres successifs des assassins du mari, c’est la relation de Julie avec le dernier d’entre eux, Fergus, qui a vraiment inspiré Truffaut ».
« En plaçant le dénouement de l’histoire au milieu du film, il se consacre entièrement, dans la seconde partie, à son étude. Fasciné par les liens entre l’amour et la mort, le réalisateur livre ici sa vision personnelle de la femme fatale, entourée d’hommes lâches et immatures ».« Aussi fantomatique que vénéneuse, Jeanne Moreau épouse le rôle d’une mariée qui n’est pas sans évoquer l’héroïne vengeresse de Kill Bill de Quentin Tarantino ».
Une femme enfermée dans sa passion amoureuse et son projet meurtrier, incapable ou refusant de saisir la chance de renouer une relation amoureuse avec le peintre Fergus interprété de manière bouleversante par Charles Denner.
France, Italie, 1968, 1 h 43mn. Version restaurée
Auteur : Wiliam Irish
Scénario : Jean-Louis Richard, François Truffaut
Production : Dino de Laurentiis Cinematografica, Les Films du Carrosse, Les Productions Artistes Associés
Producteurs : Marcel Berbert, Oscar Lewenstein
Image : Raoul Coutard
Montage : Claudine Bouché
Musique : Bernard Herrmann
Avec Jeanne Moreau (Julie Kohler), Michel Bouquet (Coral), Jean-Claude Brialy (Corey), Charles Denner (Fergus), Claude Rich (Bliss), Michael Lonsdale (René Morane), Daniel Boulanger (Delvaux), Serge Rousseau (David)
Sur Arte les 19 octobre 2020 à 20 h 55 et 6 novembre 2020 à 13 h 35
Visuels : © Metro Goldwyn Mayer
























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