vendredi 17 mars 2023

Vladimir Poutine


Né en 1952, ancien officier du KGB, Vladimir Poutine, fin stratège, s'est imposé sur la scène politique internationale  en poursuivant la diplomatie multiséculaire russe, en réintroduisant la Russie post-Eltsine dans un Moyen-Orient dédaigné par l'ancien Président Barack Hussein Obama, en consolidant la puissance économique de la Russie. En 2022, la guerre en Ukraine a accéléré l'avènement d'un autre monde dominé par l'alliance Russie-Chine. Ou bientôt de la seule Chine ? Quant aux sanctions de l'Union européenne (UE), elles ont pénalisé davantage des Etats telle la France que la Russie. Arte diffusera le 21 mars 2023 « Face à Poutine », série documentaire partiale de Norma Percy. 

« Le procès » par Sergei Loznitsa 

Né en 1952 dans une famille ouvrière, Vladimir Poutine s'avère l'homme d'État russe qui dirige, d'une main de fer, sans réelle discontinuité, avec des connaissances historiques et stratégiques dont sont dénués certains dirigeants européens, la Russie depuis environ vingt ans. Une institutrice juive russe lui évite de sombrer dans la délinquance en élargissant son univers par une sensibilisation à l'art.

Cet officier du KGB, principal service de renseignement de l'Union soviétique, a observé en le déplorant l'affaiblissement, intérieur et extérieur, de l'URSS essentiellement sous Boris Eltsine.

Dès 1999, cet expert en géopolitique s'avère le détenteur, de droit ou de fait, directement ou non, du pouvoir exécutif, comme président du gouvernement (1999-2000 et 2008-2012) et président de la Fédération russe (par intérim de 1999 à 2000, et de plein exercice de 2000 à 2008 et depuis 2012).

Sous sa férule, la Russie redevient un acteur incontournable et complexe de la scène internationale, ménagé par les puissances régionales moyen-orientales, soucieux de reconstituer un glacis autour d'un territoire russe reconstitué avec notamment la Crimée, défenseur de sa base navale en Syrie où, par sa domination des airs, et avec l'Iran et son supplétif Hezbollah, il rétablit la situation militaire et politique au profit de Bachar al-Assad et en laissant l'Etat d'Israël assurer des frappes détruisant des bases iraniennes menaçantes en Syrie.

Arte consacra sa soirée du 17 mars 2020 à Poutine : « Trump et Poutine, des amis jurés » (Erzfreunde Trump und Putin) de Claire Walding, « Guerre de l'info : au cœur de la machine russe » (Propaganda 3.0 - Putin und der Westen) de Paul Moreira, et « Poutine, l’irrésistible ascension » (Putins Zeugen) est un documentaire réalisé par Vitaly Mansky.

« Face à Poutine »

Arte diffusera le 21 mars 2023 « Face à Poutine », série documentaire partiale de Norma Percy. 

« Jusqu’à l’invasion russe de l’Ukraine en février 2022, les gouvernements occidentaux ont tenté en vain de contenir la menace Poutine. Récit par de nombreux acteurs clés, de David Cameron à Volodymyr Zelensky, d’une décennie d’hésitations et d’errements aux conséquences dramatiques. Une décennie d’errements aux conséquences dramatiques. »

« Comment l’Occident a-t-il pu, avec autant de constance, se laisser berner par Vladimir Poutine ? Comment réagir face aux multiples provocations d'un monstre politique, qui déclarait un jour : “Peu importe qui tente de se mettre en travers de notre chemin. Vous n’aurez jamais vu de telles conséquences” ? 

« De l’annexion de la Crimée en 2014 à l’actuelle "opération militaire spéciale" menée en Ukraine, cette série documentaire déroule le récit tendu des errements des Américains et des Européens face à la menace russe. »

« S’appuyant sur les témoignages d’acteurs clés – dont David Cameron, Jose Manuel Barroso, Boris Johnson, Theresa May ou Volodymyr Zelensky ainsi que de nombreux diplomates et conseillers –, la documentariste Norma Percy dévoile les coulisses des grands sommets entre dîners privés, tractations secrètes... et manipulations éhontées. » 

« Ce portrait en creux d’un Poutine aussi déroutant qu’effrayant raconte un monde qui vacille sous les coups de boutoir de l’autocrate du Kremlin. Pour François Hollande, la leçon est claire : “Quand on ne punit pas suffisamment fort avant, on est obligé de punir très fort après.”


1ère partie : « Le coup d'essai ».
« Jusqu’à l’invasion russe de l’Ukraine en février 2022, les gouvernements occidentaux ont tenté en vain de contenir la menace Poutine. Récit par de nombreux acteurs clés, de David Cameron à Volodymyr Zelensky, d’une décennie d’hésitations et d’errements aux conséquences dramatiques. » 

« La guerre en Ukraine a commencé à Vilnius le 28 novembre 2013. Ce jour-là, la capitale lituanienne accueille le Sommet du partenariat oriental de l’Union européenne. L’Ukraine doit y signer un accord majeur qui marquerait un tournant dans son rapprochement avec l’Occident. Mais son président, Viktor Ianoukovytch, y apparaît blafard : entre pressions personnelles et probable corruption, Poutine lui a interdit de le signer. À Kiev, la réaction du peuple, qui refuse que l’on “vende l’Ukraine à la Russie”, ne tarde pas, mais les manifestations sur la place Maïdan sont réprimées dans le sang. Tandis que Ianoukovytch prend la fuite, Poutine profite du chaos pour envoyer ses troupes en Crimée, puis au Donbass. » 

« Au fil de sommets houleux et confus, l’Europe se divise, s'interrogeant sur les moyens de sanctionner l’autocrate du Kremlin. Mais personne n'est prêt à sacrifier ses intérêts, notamment énergétiques... »


2e partie : « Un retournement inattendu »
« En 2015, au mépris de ce qu’il professait jusque-là, Poutine décide d'envoyer des forces russes, notamment aériennes, en Syrie. »

“Nous sommes contre les ingérences dans les conflits intérieurs et les changements de gouvernement.” Ce credo de la diplomatie russe va longtemps servir à Vladimir Poutine pour défendre ses alliés contre vents et marées. » 

« Au début du printemps arabe, Poutine fait obstacle à une intervention de l’ONU en Libye projetant de mettre un terme aux massacres orchestrés par Kadhafi. »

« En Syrie, malgré les pressions, il manifeste son soutien à Bachar el-Assad, prenant exemple sur la Libye, plongée dans le chaos après la chute de son leader. En 2015, au mépris de ce qu’il professait jusque-là et profitant de l’indécision de l’administration Obama, l’autocrate du Kremlin décide d'envoyer des forces russes, notamment aériennes, en Syrie. 

« Il intervient ainsi pour la première fois ouvertement à l’étranger. »

« Ce nouveau test grandeur nature lui confirme que personne ne se risquera à l’affronter directement. Il laisse se déliter notamment son amitié naissante avec le Britannique David Cameron, pourtant pas avare d’efforts pour rapprocher Poutine de l'Occident. »


3e partie. « Le tout pour le tout »
« Empoisonnement d'un ancien agent du renseignement militaire russe en Angleterre, affrontements avec Donald Trump sur les missiles nucléaires,  menaces visant l'Otan : Poutine a, ces dernières années, accentué la pression. »

"Nous avons travaillé jusqu'au bout pour essayer de les convaincre de changer leurs plans, jusqu'à ce que les chars roulent et que les avions volent." Ce dernier épisode, qui s’achève à la veille de l’invasion de l’Ukraine, raconte l’histoire d’un échec fracassant, résumé par cette confidence du secrétaire général de l'Otan, Jens Stoltenberg. Comment les dirigeants occidentaux ont-ils cherché à empêcher la déflagration qui s’annonçait ? »

« Entre l'empoisonnement d'un ancien agent du renseignement militaire russe en Angleterre, les affrontements avec Donald Trump sur les missiles nucléaires ou les menaces visant l'Otan, le président russe a, ces dernières années, accentué la pression. »

« Mais en dépit des efforts diplomatiques déployés et des manœuvres tentées – relatés ici par Theresa May, Boris Johnson, Volodymyr Zelensky ou le directeur de la CIA Bill Burns –, Poutine réussit à ébranler les fondements de la sécurité internationale et emprunte résolument le chemin de la guerre. 


« Poutine - Le retour de l'ours dans la danse »
Arte diffusa le 11 mars 2022 à 09 h 25 « Poutine - Le retour de l'ours dans la danse » (Putin - Die Rückkehr des russischen Bären), documentaire de Frédéric Tonolli.

« Opportuniste et sans scrupule, la politique extérieure de Vladimir Poutine a replacé la Russie au centre des enjeux géostratégiques mondiaux. Avec de nombreux experts, le documentariste Frédéric Tonolli interroge les motivations profondes de cette nouvelle guerre froide. »

« En février 2007, lors de la Conférence de Munich pour la sécurité mondiale, Vladimir Poutine pique une grosse colère – froide. À la tribune, il dénonce l’unilatéralisme des États-Unis et annonce la fin d’un monde unipolaire. Bien que virulent, son discours n’est pas vraiment écouté ». 

« Sept ans après la prise de pouvoir surprise de l’obscur officier du KGB, les Occidentaux sous-estiment encore son obsession de replacer la Russie au centre de l’échiquier mondial ». 

« Pourtant, quand Poutine voit peu à peu l’Otan se rapprocher des frontières russes grâce à l’adhésion d’ex-pays du bloc de l’Est, se sentant menacé et trahi, il frappe vite et fort. Il intervient en Géorgie, en Ukraine ou en Crimée, défend ses intérêts en Syrie ou en Libye, étend son influence sur le continent africain, notamment en Centrafrique. »

« Tacticien et opportuniste, l’autocrate a fait de la politique extérieure son arme fatale, à la fois un outil de fierté retrouvée et de cohésion nationale. Jusqu’où ira-t-il ? »  

« Pays ruiné au début des années 2000, méprisé et isolé, la Russie est aujourd’hui respectée, crainte... et fantasmée. Bien parti pour battre le record de longévité de Staline, le "tsar" Poutine construit pas à pas, mais violemment, son rêve du retour d’un grand Empire, non-aligné et autonome. »

« Ce documentaire du chevronné Frédéric Tonolli (prix Albert-Londres en 1996) passe au peigne fin les motivations profondes de celui qui est décrit comme un "réaliste pragmatique" et non un idéologue. »

« Entre "diplomatie du marteau" et "stratégie du désordre", diplomates, opposants et observateurs, dont l’ancien ministre Hubert Védrine, des journalistes russes indépendants mais menacés, comme Dmitri Mouratov, prix Nobel de la paix, ou le maître de conférences Kevin Limonier analysent la capacité hors pair de Poutine à s'immiscer dans les failles de la géopolitique mondiale. C’est indéniable, l’ours russe mène la danse d’une nouvelle guerre froide ». 

« Trump et Poutine, des amis jurés »
« Trump et Poutine, des amis jurés » (Erzfreunde Trump und Putin) est un documentaire réalisé par Claire Walding. « Les États-Unis et la Russie sont-ils condamnés à se détester ? Entre rivalité historique, ambitions de puissance et volonté affichée de coopération, décryptage de l’énigmatique relation entre Donald Trump et Vladimir Poutine. »

« En novembre 2016, Vladimir Poutine est l’un des premiers à féliciter Donald Trump de son élection à la présidence des États-Unis. Idéologiquement proches, les deux présidents partagent la volonté commune de "rendre la grandeur" à leur nation respective. Mais la perspective d’une relation russo-américaine enfin apaisée vacille vite. En cause notamment, l’enquête du FBI, lancée peu avant l’élection du milliardaire américain, sur le piratage présumé d’e-mails du camp démocrate par des hackers russes. Sur ce sujet, Donald Trump a toujours privilégié les dénégations de son homologue du Kremlin aux accusations de ses propres services de renseignement. Cette attitude conciliante à l’égard de l’ennemi historique russe provoque l’ire de la classe politique américaine jusqu’à son propre camp, et l’oblige à faire machine arrière. Malgré la volonté affichée de coopération entre les deux chefs d’État, la Russie et les États-Unis s’affrontent à coups de sanctions et d’expulsions de diplomates comme dans l’affaire d’empoisonnement de l’ex-espion russe Sergueï Skripal et de sa fille au Royaume-Uni, imputée par Londres à Moscou. En février 2019, nouveau coup de théâtre dans les relations entre les deux pays. Contre toute attente, Donald Trump annonce le retrait des troupes américaines en Syrie. Vladimir Poutine jubile. Mais l’embellie est de courte durée. Quelques mois plus tard, les États-Unis quittent le traité de désarmement nucléaire INF, pilier de la sécurité mondiale depuis 1987, accusant la Russie de fabriquer des missiles non conformes à l’accord. Moscou contre-attaque en se retirant, à son tour. De quoi agiter le spectre d’une nouvelle guerre froide ? »

« En mars 2019, le procureur spécial Robert Mueller confirme l’ingérence russe dans le piratage des e-mails démocrates, mais établit en revanche l’absence de preuves suffisantes pour établir une "collusion" entre le Kremlin et l’équipe de Donald Trump. L’affaire aura pesé comme une épée de Damoclès sur les deux premières années du mandat du président américain, influençant durablement ses relations avec Vladimir Poutine. Entre faux-semblants, rapprochements et revirements de situation, ce passionnant documentaire revient sur les épisodes clés de la relation entre Trump et Poutine. Grâce aux interviews de nombreux témoins (journalistes, politologues, hommes politiques, dont les Russes Piotr Tolstoï, vice-président de la Douma, et Sergei Karaganov, ancien conseiller du Kremlin), il offre aussi une plongée saisissante au cœur des nouvelles ambitions et stratégies d’influence des deux grandes nations de la guerre froide, près de vingt ans après la fin des hostilités. »
  
« Guerre de l'info : au cœur de la machine russe »
« Guerre de l'info : au cœur de la machine russe » (Propaganda 3.0 - Putin und der Westen) est un documentaire réalisé par Paul Moreira. « Comment le pouvoir russe utilise Internet pour tenter de déstabiliser les démocraties occidentales... Menée par Paul Moreira, une enquête rigoureuse, qui met des visages et des faits sur une nébuleuse soigneusement entretenue. »

« Le 29 mai 2017, le président français Emmanuel Macron fraîchement élu accueille à Versailles son homologue Vladimir Poutine, et accuse la chaîne internationale RT (Russia Today) et le site Sputnik d'avoir œuvré durant la campagne électorale française comme des organes de propagande en faveur de Marine Le Pen, sur ordre du Kremlin. "Apportez-nous les preuves", rétorque en substance le président russe, alors candidat à un quatrième mandat. C'est ce que fait Paul Moreira dans cette enquête rigoureuse, exposant un pan de la machine russe à désinformer, au travers, notamment, de la manière dont elle s'est mise au service de Marine Le Pen dans la course à la présidence française, mais aussi de ses faits d'armes pro-Trump aux États-Unis, et pro-AfD (le parti d'extrême droite Alternative für Deutschland) en Allemagne ».

« Paul Moreira interroge la jeune patronne de RT, Margarita Simonian, qui sait tourner en ridicule dans un clip malicieux ceux qui dénoncent son asservissement au Kremlin. Il parvient aussi à faire parler (en caméra cachée) le guerrier de l'ombre Konstantin Rykov, hacker et ancien député pro-Poutine, qui a joué un rôle clé dans les campagnes américaine et française  ». 

« D'une "usine à trolls" de Saint-Pétersbourg, où de jeunes professionnels du Web fabriquent vingt-quatre heures sur vingt-quatre des fake news, aux confidences du député européen d'extrême droite Jean-Luc Schaffhauser, qui a négocié les prêts russes au Front national, de la profession de foi ultraconservatrice de l'oligarque Konstantin Malofeev aux mensonges par omission du leader de l'AfD Alexander Gauland, Paul Moreira a enquêté plusieurs mois pour établir des liens entre le sommet du pouvoir russe et les vagues de désinformation dénoncées par le président français comme par les services secrets américains. Son documentaire éloquent met ainsi des faits, des mots et des visages sur une nébuleuse soigneusement entretenue, dont les combattants ont appris à effacer les traces ».
  
« Poutine, l’irrésistible ascension »
« Poutine, l’irrésistible ascension » (Putins Zeugen) est un documentaire réalisé par Vitaly Mansky. « En 2000, un documentariste russe filme de l'intérieur la première année au pouvoir de Vladimir Poutine. Près de vingt ans plus tard, Vitaly Mansky, désormais exilé, remonte ses archives et en propose une relecture critique. La fascinante naissance en direct d'un potentat surdoué, secret et cynique. Grand Prix "Documentaire international" au Fipadoc 2019 ».

« Je pars." Le 31 décembre 1999, Boris Eltsine annonce à la télévision sa démission du poste de président de la Fédération de Russie. En attendant la tenue de nouvelles élections en mai, il nomme comme remplaçant intérimaire son chef du gouvernement, Vladimir Poutine, à la cote de popularité au plus bas. L'ancien officier du KGB est intronisé le soir même dans la liesse générale du Nouvel An (première habileté politique). Poutine se sert de sa nouvelle position comme d'un tremplin, et, sans avoir vraiment mené campagne, est élu au premier tour de la présidentielle. Il est alors suivi par Vitaly Mansky, chargé pour la télévision d'État de filmer la passation de pouvoir et de composer un portrait autorisé du nouvel homme fort du pays. Près de vingt ans plus tard, le documentariste, entré en dissidence et désormais exilé, remonte son film et propose une relecture critique de ses images, à l'aune de l'ascension du potentat Poutine ».

« Celui qui approuve sans mot dire n'est plus seulement un témoin, il devient un complice." Pour Vitaly Mansky, tout était là, à portée de main. Il suffisait de décrypter un matériau qui annonçait déjà, en 2000, le futur de la Russie. À travers ses séquences dans l'intimité du pouvoir, ses tête-à-tête avec le nouveau maître du Kremlin et des moments apparemment anodins, c'est tout simplement le basculement dans un régime totalitaire qu'il nous montre ». 

« Vladimir Poutine s'y révèle déjà secret et cynique, et semble prêt à tout pour consolider sa mainmise sur le pays, pendant que l'on assiste aussi, en privé, à l'affaiblissement physique de Boris Eltsine. À partir de ses propres images et d'archives publiques ou privées, le documentariste écrit à la première personne un roman politique singulier, dont personne, à l'heure actuelle, ne sait encore comment il se terminera ». 


« Face à Poutine » de Norma Percy 
France, Royaume-Uni, 2022
Production : Brook Lapping Productions, Les Films d'Ici, en association avec ARTE France
Sur Arte 
1ère partie (59 min) : 21 mars 2023 à 20 h 55
2e partie :  21 mars 2023 à 21 h 50
3e partie :  21 mars 2023 à 22 h 50
Disponible du 14/03/2023 au 16/10/2023

« Poutine - Le retour de l'ours dans la danse » de Frédéric Tonolli.
France, 2021, 55 min
Coproduction : ARTE GEIE, What’s Up Films, VFS Films
Sur Arte les 15 février 2022 à 22 h 40, 11 mars 2022 à 09 h 25
Disponible du 24/01/2022 au 16/03/2022

« Trump et Poutine, des amis jurés » de Claire Walding
Allemagne, 2019
Sur Arte le 17 mars 2020 à 20 h 50
Disponible du 17/03/2020 au 15/04/2020
Visuel : © The White House

France, 2017, 98 min
Sur Arte le 17 mars 2020 à 22 h 25
Disponible du 10/03/2020 au 15/05/2020
Visuels :
A travers internet et les réseaux sociaux, grâce à des hackers, des cyber-soldats ou des trolls mais aussi des groupes d' influence et des hommes relais, une nouvelle armée russe combat aujourd' hui en Europe et dans le monde. C' est une guerre de l' information. Et Russia Today en est la colonne vertébrale. Investigation au coeur du système de désinformation russe.
© Premières lignes télévision

« Poutine, l’irrésistible ascension » de Vitaly Mansky
Suisse, 2018, 95 min
Sur Arte le 18 mars 2020 à 00 h 05
Disponible du 11/03/2020 au 09/04/2020
Visuels :
© Juri Feklistow
© Witali Manski

Articles sur ce blog concernant :
Les citations sont d'Arte. Cet article a été publié le 16 mars 2020, puis le 10 mars 2022.

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