lundi 19 juillet 2021

Des vaccins contre la covid-19

Confrontés à la pandémie de coronavirus (covid-19) via ses variants, nombre de pays ont focalisé, souvent quasi-exclusivement, leur stratégie de combat sur la vaccination. Une stratégie souvent accompagnée de mesures liberticides et aux limites patentes. Ce qui invite à trouver de manière pragmatique des solutions autres intégrant des thérapies, dont certaines demeurent interdites ou occultées. Arte diffusera le 20 juillet 2021 « Covid-19, la course aux vaccins » (Covid-19: Der Wettlauf um den Impfstoff) de Catherine Gale.

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« Les vaccins contre la covid-19 ont été trouvés à une vitesse inédite, suscitant de nombreux espoirs pour sortir enfin de la crise sanitaire mondiale. Mais les doutes persistent : sont-ils tous fiables ? Y en aura-t-il assez pour tout le monde ? Les pays en voie de développement y auront-ils accès ? Entre méfiance populaire, intérêts géopolitiques et économiques, voici donc une sélection de reportages et d'analyses pour comprendre comment fonctionnent ces vaccins et quels sont leurs enjeux. »

« Covid-19, la course aux vaccins »
Arte diffusera le 20 juillet 2021 « Covid-19, la course aux vaccins » (Covid-19: Der Wettlauf um den Impfstoff), documentaire de Catherine Gale.
« Pfizer/BioNTech, Moderna, AstraZeneca, Sinophram... Un film tourné sur près de quinze mois aux côtés de cinq équipes de chercheurs qui ont ouvert les portes de leurs laboratoires. » 

« Comment quatre des cinq vaccins autorisés en France contre le Sars-CoV-2 ont été mis au point et distribués en un temps record. Une bataille scientifique sans précédent racontée de l'intérieur, au plus près de cinq équipes de chercheurs. » 

« Le 30 décembre 2019, le virologue chinois George Fu Gao, directeur du Centre national de contrôle des maladies de Pékin, voit tomber sur son écran une information qui va bientôt affecter l'ensemble de l'humanité : une pneumopathie d'origine inconnue s'est déclarée à Wuhan, dans le centre de la Chine ». 

« Onze jours plus tard, le 10 janvier 2020, son équipe a déjà séquencé le génome de ce nouveau coronavirus et partagé mondialement les résultats ». 

« Pour les chercheurs à la pointe de la virologie, l'alerte chinoise sonne le branle-bas de combat ». 

« La pandémie est probable, voire inéluctable, et il leur faut tenter de la prendre de vitesse en créant un vaccin efficace ». 

« Cinq équipes vont prendre la tête de cette course scientifique, qui va s'accélérer à mesure que le nombre de malades et de morts augmente et que les contaminations gagnent un continent après l'autre : celle de George Fu Gao et de sa collègue, l’épidémiologiste Wu Guizhen (vaccin Sinopharm), celle de Barney Graham et de sa jeune adjointe Kizzmekia Corbett, du National Institutes of Health de Washington (Moderna), celle de Kathrin Jansen, du centre de recherche Pfizer, à New York, associée à Ugur Sahin, directeur de la société allemande BioNTech, à Mayence, celle de Teresa Lambe et Katie Ewer, du Jenner Institute d'Oxford (AstraZeneca) et enfin le staff de Keith Chappell, de l'université du Queensland, à Brisbane. Ce dernier devra renoncer en décembre 2020 ».
 
« Son vaccin, créé à l'aide d'une souche inactivée du sida, a en effet provoqué une réaction positive au VIH d'une partie des volontaires ayant subi les tests à grande échelle. »

« Des premières hypothèses au déclenchement de la vaccination de masse, en passant par les tests menés aux États-Unis ou en Afrique du Sud, ce documentaire tourné sur cinq continents restitue de l'intérieur le combat mené par cette dizaine de scientifiques, entre coopération et compétition internationale. » 

« Couronné de victoires sans précédent dans l'histoire de la médecine, cet immense défi est encore loin d’être entièrement relevé, car si les variants du Covid-19 se répandent plus vite que les vaccins, la pandémie ne pourra être vaincue ». 

« Avec une remarquable pédagogie, et l’art du récit, Catherine Gale révèle à la fois les coulisses d'une épopée aux enjeux collectifs colossaux et les engagements individuels qui l'ont rendue possible ». 

« Filmés chez eux comme au travail, interviewés au jour le jour et après coup, ses interlocuteurs, qui jettent toutes leurs forces dans la bataille, livrent un poignant plaidoyer pour la science. »


France
Sanofi a échoué, en raison notamment de dissensions internes, a concevoir un vaccin.

Au 11 juillet 2021, selon Google, la France recensait quatre décès du coronavirus. Des "experts" et médias prévoyaient une "quatrième vague" de coronavirus en insistant, comme le gouvernement, uniquement sur le nombre de cas issus de tests peu fiables, et en occultant le nombre d'enfants hospitalisés dans des unités psychiatriques en raison des effets dévastateurs de la peur distillée à toute une population, jour après jour. Au 12 juillet 2021, le nombre de décès en France s'élevait à 28, soit une moyenne de 22 morts sur sept jours.

Le site gouvernemental présente des statistiques de décès quotidiens attribués au coronavirus dans les hôpitaux (le nombre de décès en EHPAD ou à domicile ne saurait modifier ces trends) en France durant la prétendue « 4e vague » : 12 juin 2021 : 57 décès hospitaliers, 11 juillet 2021 (veille du discours du Président Emmanuel Macron) : 24 décès hospitaliers, 12 juillet 2021 : 22 décès hospitaliers, 24 août 2021 : 118 décès hospitaliers, 12 septembre 2021 : 81 décès hospitaliers, 14 septembre 2021 : 77 décès hospitaliers, 20 octobre 2021 (l'Assemblée nationale examine une énième loi d'urgence sanitaire) : 28 décès hospitaliers.

Lors de son allocution télévisée du 12 juillet 2021, le Président Emmanuel Macron a annoncé des mesures strictes, disproportionnées, comminatoires - pass sanitaire, vaccination obligatoire pour certaines professions -, et a déclaré, en même temps, avec clarté et ambiguïté :
"Pour nous protéger et pour notre unité, nous devons aller vers la vaccination de tous les Français car c’est le seul chemin vers le retour à la vie normale.
Dans un premier temps, pour les personnels soignants et non-soignants des hôpitaux, des cliniques, des maisons de retraite, des établissements pour personnes en situation de handicap, pour tous les professionnels ou bénévoles qui travaillent au contact des personnes âgées ou fragiles, y compris à domicile, la vaccination sera rendue obligatoire sans attendre.
[...]
Il y a ensuite tous les autres Françaises et Français, les millions d’entre vous qui n’ont pour le moment reçu aucune injection. En fonction de l’évolution de la situation nous devrons sans doute nous poser la question de la vaccination obligatoire pour tous les Français".  
La réponse à cette question se trouve au début du passage.

Cette déclaration appelle les observations suivantes :

- Le Président Emmanuel Macron a préparé, pendant des semaines, avec l'aide de médias et d'"experts", l'opinion publique à des mesures liberticides, enfreignant le droit qui requiert un consentement libre et éclairé ;

- Il commence par les soignants. Ce qui s'avère peu justifié : ces derniers représentent environ la moitié du personnel au contact des patients hospitalisés ou des résidents d'EHPAD. Mais ce qui permet d'adopter des plans sociaux à moindre coût en licenciant des soignants ou médecins refusant tout vaccin. Et ce, conformément aux plans visant à réaliser des économies ou à casser l'hôpital public ;

- Gérant par la peur et la haine des non-vaccinés, le Chef de l'Etat fragmente une société hystérisée et apeurée par le traitement obsédant, morbide, "politiquement correct" de ce sujet délicat. Il est le seul décideur, n'hésitant pas à se contredire à quelques mois de distance, ou à contredire ses ministres. En imposant son thème de campagne en vue de l'élection présidentielle de 2022, les termes du débat, il gagne sur une opposition inactive, divisée : minoritaire, elle peine à convaincre en ne parvenant pas à proposer d'alternative ; majoritairement ralliée à la politique présidentielle, elle gomme tout intérêt pour un électeur de voter pour elle :

- Il opère diverses discriminations : vaccinés/non vaccinés, Français/étrangers. En effet, l'obligation vaccinale est imposée aux seuls Français. Quid des millions d'étrangers ? Seuls, les Français représenteraient un danger en terme de contamination ?

Quid de la responsabilité des effets indésirables, de maladies éventuellement induites par des "vaccins" en phase 3, ayant une autorisation de mise sur le marché (AMM) conditionnelle ? Pourquoi les fabricants ne l'assument-ils pas ? L'Etat a-t-il lancé une étude pharmacovigilance ? Si oui, les résultats sont-ils communiqués régulièrement et en toute transparence ?

Le Président de la République (PR) Emmanuel Macron a institué, par son allocution télévisée du 12 juillet 2021, une dictature "sanitaire", en fait politique :
1. Seul, le Président de la République (PR) Emmanuel Macron décide, de manière opaque. 
Or, la politique sanitaire relève du gouvernement, notamment du ministre en charge de la Santé et du Premier ministre.
Ainsi, l’article 20 de la Constitution de la Ve République affirme : « Le Gouvernement détermine et conduit la politique de la nation » 
Et l’article 21 de cette Constitution de 1958 indique : « Le Premier ministre dirige l'action du Gouvernement. »
Dans quel régime démocratique, le Chef de l’Etat bafoue-t-il la constitution ?

2. Le Président de la République Emmanuel Macron n’a aucun soutien populaire.
LREM, parti du PR, a obtenu aux élections régionales 2021, ces résultats nationaux : au 1er tour 76 457 voix (0,52 %), et au 2nd tour 67 220 voix - 7 sièges (0,44 %), et 2,2% au 1er tour des élections municipales 2020.
Dans quelle démocratie, un chef d’Etat se maintient au pouvoir sans adhésion, sans soutien des citoyens, et décide-t-il des mesures aussi clivantes ? 

3. De plus, le Président de la République Emmanuel Macron opère des revirements à 90° sans les justifier : il dit le contraire (pass sanitaire) de ce que des ministres et lui assénaient quelques jours ou mois auparavant.
Et tous les ministres approuvent et répètent ses dires.
Quel régime parlementaire démocratique fonctionne ainsi ?

4. Le Président Emmanuel Macron annonce des mesures contraires au droit qui impose le consentement volontaire et éclairé du patient avant sa vaccination :
- Loi Huriet-Sérusclat (1988) ;
- Directive 65/65/CEE du 26 janvier 1965 de l’Union européenne ;
- Résolution 2361 adoptée le 28/01/2021 par le Conseil de l’Europe ;
- Code ou principes de Nuremberg ;
- Déclaration d’Helsinki (1964) de l’Association médicale mondiale...
Or, aux termes de l’article 5 de la Constitution de 1958, « il est le garant de l'indépendance nationale, de l'intégrité du territoire et du respect des traités ».
Quel Chef d’Etat d’une démocratie agit en bafouant le droit en vigueur ?

5. Le Président de la République Emmanuel Macron impose une vaccination obligatoire par des vaccins ayant eu des AMM (Autorisations de mises sur le marché). 
Ce qui est illégal.
Les AMM conditionnelles reposent sur l’idée de l’absence de traitements pour soigner et guérir des patients malades.
Or, de multiples traitements médicamenteux ont prouvé leur efficacité dès l’apparition des premiers symptômes : antibiotiques, Ivermectine, hydrochloroquine, en association parfois avec des vitamines C et D3, du zinc…
Les réanimateurs ont trouvé des méthodes augmentant le taux de survie des patients : oxygène à domicile préconisé par le ministre de la Santé Olivier Véran.
Dans quelle démocratie les médecins sont-ils privés de leur liberté de prescription ou diffamés comme l’a été le Professeur Didier Raoult ?

6. L’opposition politique, notamment les élus Les Républicains présumés candidats à l’élection présidentielle 2021, est généralement atone.
Dans quelle démocratie les « opposants politiques » ne s’expriment pas ?

7. Quasiment tous les médias français et instituts de sondage avaient préparé, avant l’allocution présidentielle, l’opinion publique à des mesures contraignantes et injustifiées – le variant actuel, s’il est plus contagieux, est moins mortel que les coronavirus précédents  - par les interviews de prétendus « experts » et sans interroger des juristes.
Dans quelle démocratie le « 4e pouvoir » agit ainsi en diffusant et soutenant le « story telling » présidentiel ? 
Sans même ironiser sur les bizarreries de certaines mesures : le pass sanitaire est rendu obligatoire pour les longs trajets en train – quelle durée ? – mais pas dans les métros ?

8. Les mesures présidentielles discriminent illégalement :
- entre vaccinés et non vaccinés qui seront privés de toute vie sociale, interdits de se rendre dans des centres médico-sociaux pour se soigner, établissements culturels, etc.
- entre Français, assujettis à l’obligation vaccinale, et étrangers exemptés de cette contrainte. Pourquoi ? Les étrangers ne seraient pas atteints par le coronavirus ? Ils ne contamineraient pas ?
Quelle démocratie impose une société imposant des discriminations injustifiées en violation du principe d’égalité ?

9. Le PR Emmanuel Macron persiste à imposer des mesures liberticides, sans empathie pour les personnes visées, sans conscience de la logistique à mettre en place, avec indifférence pour les conséquences sociales et économiques (faillites)
Il instaure une société où sont « fliqués », ostracisés, les seuls citoyens français.
« Les libertés fondamentales, l’égalité des droits, l’amitié civique, ne sont pas des privilèges pour temps calmes, mais des principes qui nous obligent. » (François-Xavier Bellamy et Loïc Hervé, Le Figaro, 14 juillet 2021)
Quelle démocratie multiplie les mesures liberticides, préludes d’une société aux valeurs contraires à celles de la République française dont la devise est « Liberté Egalité Fraternité » ?

10. Le projet de loi a été adopté en dernière lecture par l’Assemblée nationale à l'été 2021. 
Le Conseil constitutionnel a statué en « gouvernement des juges » peu défenseur des libertés.
Idem pour les hypothèses où le Conseil d’Etat serait saisi de recours pour excès de pouvoir. 
Est-ce conforme à un Etat démocratique ?

11. La stratégie tout-vaccinale a révélé être un leurre, notamment dans la VacciNation israélienne.

12. Il n'y a pas eu de "4e vague". Il n'y a plus de pandémie de coronavirus en France depuis des mois. Le "4e pouvoir" et aucun politicien n'a évoqué les statistiques gouvernementales prouvant ces faits.
Aucun contre-pouvoir - Parlement, média, syndicat, institution judiciaire - ne contrôle l'action du pouvoir exécutif.
Au vu de toutes ces statistiques, on peut s'interroger sur la pertinence à avoir imposé le pass sanitaire, et donc la vaccination de quasiment toute une population, et ce, alors que la létalité des variants va en diminuant au fil de leur apparition.

A l'automne 2021, le Parlement statue sur une "énième loi d'urgence sanitaire" dont des dispositions s'appliqueront jusqu'à l'été 2021 - donc englobant la période des élections présidentielle et législatives -, veut imposer une troisième dose de vaccin Pfizer, car d'autres vaccins ont été écartés du marché médical, violer le secret médical, notamment envers les enfants scolarisés.

13. Quels que soient les candidats à l’élection présidentielle de 2022, le gouvernement de Jean Castex risque de continuer à imposer son instrumentalisation du coronavirus pour fausser les résultats, comme l’ont fait des démocrates aux Etats-Unis en 2020.

Renouvellement de lois d’urgence sanitaire rognant nos libertés, diffusion de la peur parmi des électeurs dont beaucoup, âgés, préfèreront l’abstention... Les menaces qui se profilent suscitent pour tout citoyen attaché à la démocratie une peur légitime. Et ce d’autant que des politiciens et médias français, qui avaient occulté des fraudes massives outre-Atlantique, ne semblent pas s’alarmer de ces menaces, du dépôt d'une proposition de loi autorisant le vote par correspondance...

« Dans l’intimité de la recherche »

« Entretien croisé avec Archie Baron et Catherine Gale, respectivement producteur et réalisatrice de cette immersion aux avant-postes mondiaux de la lutte contre la pandémie. Propos recueillis par Benoît Hervieu-Léger.

Comment s’est opéré le choix des intervenants du film et quelles difficultés avez-vous rencontrées ?
Archie Baron : Dès avril-mai 2020, une centaine d’équipes dans le monde travaillaient sur les vaccins. Nous risquions de nous disperser. Nous étions au fait des avancées du Moderna et du Pfizer. Nous avions des liens étroits avec Oxford. Grâce à notre contact auprès de George Fu Gao, nous avons pu raconter aussi l’histoire du vaccin chinois. En Australie, Keith Chappell s’est tout de suite montré très ouvert. Cela dit, la question du nombre de pays mobilisés nous importait moins que celle des différents prototypes de vaccins, dits "à ARN messager", ou à "vecteur viral non réplicatif". C’est aussi pourquoi nous n’avons pas abordé les cas du Spoutnik russe ou du Johnson & Johnson américain.
Catherine Gale : Filmer dans le monde entier en temps de pandémie a représenté une vraie gageure, car les réglementations sanitaires étaient différentes selon les pays et les périodes. Nous devions aussi gagner la confiance de celles et ceux que nous filmions, car la dimension intime de leurs recherches était importante pour nous.

Les cinq équipes scientifiques au cœur de votre film se sentaient-elles en concurrence les unes avec les autres ?
A. B. : Toutes avaient parfaitement connaissance des autres recherches en cours et des différents types de vaccins mis au point. Mais je peux affirmer que tous luttaient contre le virus et pas les uns contre les autres.
C. G. : Le monde du vaccin est relativement petit. Les scientifiques qui en font partie se connaissent déjà pour la plupart et ont même travaillé ensemble par le passé. Bien sûr, tous voulaient atteindre la ligne d’arrivée au plus vite mais leur motivation personnelle était d’abord de sauver le plus de vies possible.

Pourquoi n'avoir pas abordé la question du coût des vaccins, essentielle dans le débat sur les "Big Pharma" ?
A. B. : La vaccination contre le Covid-19 constitue, je pense, l'un des enjeux scientifiques les plus importants de notre époque, avec de colossales implications politiques, financières, sociales. En tant que documentaristes, nous devions faire un choix. Il s’est porté sur les concepteurs des vaccins, qui n’ont pas ou peu d’influence sur l’usage qui est fait de leurs découvertes. C’est un autre sujet, peut-être un autre chapitre. Le film souligne cependant que personne n’est à l’abri du virus tant que tout le monde n’est pas vacciné.

Partagez-vous l'optimisme à cet égard du docteur Ugur Sahin, pour qui toute la population mondiale sera vaccinée à la fin de l’année 2022 ?
C. G. : En principe, aucune raison logistique, financière ou pratique ne s’oppose à cet objectif. Mais cela ne relève pas de la responsabilité des scientifiques. C’est aux politiques d’y pourvoir, et de rendre des comptes s’ils ne le font pas. »


« Covid-19, la course aux vaccins » de Catherine Gale 
Royaume-Uni/États-Unis, 2021, 91 min
Producteurs : Wingspan Productions pour la BBC, CNN, Tangled Banks Studio, en association avec ARTE France 
Sur Arte les 20 juillet 2021 à 20 h 50 et 2 septembre 2021 à 9 h 25
Disponible du 13/07/2021 au 17/09/2021

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