jeudi 1 juillet 2021

« La victoire des bleus » par Serge Viallet

Arte rediffusera le 3 juillet 2021, dans le cadre de « Mystères d'archives » (Verschollene Filmschätze), « 1998 - La victoire des bleus » (1998. Frankreich ist Fußball-Weltmeister) par Serge Viallet. 
L'analyse des images de la victoire, tant attendue, de la France face au Brésil sur le score de trois à zéro le 12 juillet 1998, au Stade de France à Saint-Denis, près de Paris, devant 80 000 spectateurs.

« Mystères d'archives »  est « une collection d'enquêtes fouillées qui interroge les images historiques ».

« Les Brésiliens étaient favoris, ce 12 juillet 1998, mais pour la première fois depuis 1930, l'équipe française "black blanc beur" de football s'impose en finale de la Coupe du monde, avec un record d'audience et de popularité à la clé... »

Désormais, comme l'a relevé avec pertinence l'éditorialiste Eric Zemmour dans Face à l'Info sur CNews fin juin 2021, l'équipe française dénommée tricolore (bleu-blanc-rouge) est désignée par l'expression unicolore "Les Bleus". La dimension nationale de cette équipe sportive est ainsi rejetée. Sans susciter d'indignation. 

Eric Zemmour a aussi relevé que l'Euro, compétition européenne quadriennale organisée par l'UEFA,  était dénommé de 1968 à 1996 Championnat d'Europe des nations.

Une foule d'environ 1,5 million de personnes acclament les Bleus installés dans leur bus  à impériale célébrant leur victoire sur l'avenue des Champs-Élysées, puis au palais de l'Élysée où Jacques Chirac, alors Président de la République, les accueille ainsi que leurs familles. Le 14 juillet, ils sont distingués par le titre de Chevaliers de la Légion d'honneur. En 2018, la communication du Président de la République Emmanuel Macron s'inspire de ce "rituel", populaire puis solennel, après la victoire de l'équipe de France.

"L'effet Mondial" sur l'économie, la croissance ou le moral des ménages a été surestimé, voire inventé par des médias : cet impact positif s'est révélé très temporaire, et n'a concerné que les sponsors de l'équipe hexagonale, la presse sportive, essentiellement L'Equipe, pourtant critique auparavant de la stratégie du sélectionneur Aimé Jacquet et du style de jeu de l'équipe française - augmentation du tirage et du nombre d'exemplaires vendus - et les droits télévisés qui enregistrent une hausse importante. Et des clubs de football ont accueilli de jeunes licenciés enthousiasmés par leurs champions.

"Comme après la victoire des Bleus en 1998, McDonald's a relancé en 2018 son Mega Mac. "Lancé en 1998 avec Fabien Barthez, le Mega Mac, un hamburger Big Mac avec quatre steaks au lieu de deux, sera de nouveau proposé par McDonald's du 12 au 15 octobre 2018. [Dans la publicité de 1998], Fabien Barthez ôte un à un les graines de sésame du pain avant d'embrasser le sandwich. Un clin d'oeil au rituel au sein de l'équipe de France championne du monde entre le gardien de but et le défenseur Laurent Blanc. La chaîne de fast-food américaine sera proposé dans les restaurants seulement entre le 12 et le 15 octobre prochain. La marque n'associera pas les joueurs de l'équipe de France comme en 1998. A l'époque, la campagne s'était étalée sur l'ensemble du mois de septembre alors que cette année, le burger ne sera vendu que durant trois jours. Régulièrement disponible dans d'autres pays comme le Japon, l'Australie ou la Thaïlande, ce double Big Mac n'était jamais revenu en France. Sans doute à cause de sa taille et de sa charge calorique. Avec ses quatre steaks, le Mega Mac émarge en effet à 736 kcalories contre "seulement" 495 pour son petit frère, le Big Mac. Un sandwich très riche donc un peu à contre courant de la politique de McDonald's qui cherche à proposer des aliments plus sains dans ses restaurants depuis quelques années."

En revanche, l'impact sur la popularité du Président Jacques Chirac et du Premier ministre socialiste Lionel Jospin a été réel : la popularité du Président avait enregistré une hausse de sept points en un mois selon des sondages. 

Or, après la victoire en finale de l'équipe de France sur celle de Croatie alors de la Coupe du Monde de 2018, en juillet 2018, "six Français sur 10 (61%) pensent toujours que le chef de l'Etat [Emmanuel Macron] n'est pas un "bon président." Cela représente une baisse de popularité de deux points par rapport à la dernière mesure effectuée le 26 juin dernier".

Un slogan "Black Blanc Beur" instrumentalisé politiquement pour promouvoir le multiculturalisme, pour vanter le triomphe de l'anti-racisme.


Coupe du monde 2010
Lors de la Coupe du monde de football en 2010, des joueurs français des joueurs de l'équipe de France ont fait grève : au centre d'entrainement situé à Knysna (Afrique du Sud), ils ont refusé publiquement de participer à l'entraînement. Pourquoi ? Lors de la mi-temps du match contre le Mexique, vainqueur de l'épreuve, dans le vestiaire, l'attaquant Nicolas Anelka avait insulté le sélectionneur Raymond Domenech. La Fédération de football a décidé d'exclure Nicolas Anelka, ce qui a suscité l'opposition d'autres joueurs qui, en signe de solidarité, ont refusé de descendre du bus les ayant accompagnés jusqu'au centre sud-africain.

Les médias révèlent alors les divisions internes à l'équipe de France écartelée entre des « clans » -footballeurs « issus de quartiers dits sensibles » (Ribéry, Anelka…), footballers « provinciaux » (Lloris, Toulalan, Gourcuff, Govou) -, ostracisme visant Yoann Gourcuff cible de l'animosité de Franck Ribéry... Un scandale sportif aux volets politiques et qui a terni l'image de la sélection hexagonale et l'adhésion des Français à leur équipe.

Succédant à Raymond Domenech, Laurent Blanc présenta lors de son premier match comme sélectionneur face à la Norvège le 11 août 2010, une équipe sans aucun des 23 footballeurs membres de l'équipe ayant participé à la Coupe du monde.

"Dans une interview publiée le 23 avril 2017 dans Ouest France, le journaliste Pierre Ménès" est revenu "sur un sombre épisode de l'histoire du football français, évoquant notamment le “racisme anti-blanc” de certains joueurs. “Moi, je veux bien défendre pour Zidane, mais je ne veux pas défendre pour Gourcuff…”, aurait ainsi lancé Florent Malouda, l'un des attaquants de l'équipe de France, à propos de son collègue, Yoann Gourcuff, comme le rapporte Pierre Ménès, qui ajoute : “Ce que le groupe ou une partie du groupe a fait à Gourcuff, avant l’histoire du bus, c’est inique, ça n’a pas de mot… C’est du racisme anti-blanc.”

"Ce sera donc une histoire surréaliste jusqu'au bout. 2010, Knysna, la Coupe du monde en Afrique du Sud, les insultes de Nicolas Anelka à Raymond Domenech, l'exclusion de l'attaquant, la lettre signée par les joueurs pour protester contre cette décision, la grève, et au final... beaucoup de zones d'ombre qui resteront non élucidées."

Le 15 juin 2020, "Le Monde a indiqué que le rapport rédigé par la mission d'information de la FFF chargée d'enquêter en urgence sur les événements de Knysna a été « perdu ». « Le président de la Fédération française de football a informé la commission de ce qu'en dépit des recherches effectuées, le document sollicité n'a pu être retrouvé », a en effet écrit la Commission d'accès aux documents administratifs dans un avis rendu le 31 mars 2019."

"Contactée par le quotidien, la FFF a confirmé cette information et assuré que le rapport « n'a pas été archivé à l'époque ». Pour rappel, cinq joueurs (Nicolas Anelka, Patrice Evra, Franck Ribéry, Jérémy Toulalan, Éric Abidal) avaient été déférés devant la commission de discipline après ce rapport, et seul Abidal n'avait pas été sanctionné."

Lilian Thuram
En 2011, Christophe Dugarry a révélé une scène qui s'est déroulée dans le "vestiaire de France 98, le soir de la finale contre le Brésil" : «On était en train de prendre des photos avec la Coupe du monde, entre nous. Et Lilian dit : "Allez les Blacks, on fait une photo tous ensemble". Moi, je n'ai pas relevé, je n'ai pas fait l'amalgame, je n'ai pas mal interprété ses propos. Franck Leboeuf, lui, a remarqué et a lancé : "Lilian, qu'est-ce que tu dis ? Et si, moi, je disais : allez les Blancs, on fait une photo tous ensemble ?". Mais à aucun moment on s'est dit que Lilian était raciste. Lilian ne doit pas oublier qu'il arrive à tout le monde de dire des choses qui dépassent sa pensée ou qui peuvent être mal interprétées.»

En 2016, le musée du quai Branly a présenté l'exposition partiale Exhibitions. L’invention du sauvage dont commissaire général est Lilian Thuram.

En septembre 2019, "dans une longue interview donnée au Corriere dello Sport, Lilian Thuram est revenu sur les cris racistes adressés au joueur de l'Inter Milan Romelu Lukaku, dimanche dernier à Cagliari, et propose de s'inspirer de la France : « Il y a une hypocrisie incroyable et il manque la volonté de résoudre le problème. Ne rien faire équivaut à être d'accord avec ceux qui poussent des cris racistes. Si quelque chose vous dérange, vous faites tout pour la changer. En France, on interrompt les matches en cas de comportement contre l'homosexualité dans les tribunes : suspendre la rencontre et renvoyer les joueurs aux vestiaires, cela veut dire éduquer les gens... Il faut prendre conscience que le monde du foot n'est pas raciste mais qu'il y a du racisme dans la culture italienne, française, européenne et plus généralement dans la culture blanche, poursuit l'ancien défenseur de Parme et de la Juventus Turin. Il est nécessaire d'avoir le courage de dire que les blancs pensent être supérieurs et qu'ils croient l'être. De toutes les manières, ce sont eux qui doivent trouver une solution à leur problème. Les noirs ne traiteront jamais les blancs de cette façon, et pour n'importe quelle raison. L'histoire le dit. »

Des déclarations qui ont suscité l'indignation, notamment de la LICRA (Ligue internationale contre le racisme et l'antisémitisme) qui, dans un communiqué, a déclaré :
"Ces propos témoignent des risques d’une dérive du combat antiraciste dans lequel Lilian Thuram s’est toujours investi.
L’universalisme républicain, c’est-à-dire cette idée selon laquelle la République est indivisible, demande un travail constant et exigeant : il n’est pas possible d’essentialiser un groupe – en l’occurence « les Blancs » en le définissant globalement par des caractéristiques uniques qui vaudraient pour  l’ensemble de ses membres. Surtout, ce serait un poison que de vouloir en permanence définir des individus en fonction de la couleur de leur peau car c’est précisément le piège tendu par les racistes.
Cette assignation, qui crée un monde avec les « Blancs » d’un côté et les « Noirs » de l’autre, n’est pas acceptable si on prétend, comme souhaite le faire Lilian Thuram, combattre le racisme. La division de la société en groupes de couleur est une lourde erreur qui produira l’effet inverse au but recherché : celui d’une société fragmentée là où il y a urgence à réunir, à rassembler, à faire renaître un idéal commun".
Lilian Thuram a répondu que ses propos avaient été sortis de leur contexte.

Khabib Nurmagomedov
"Samedi 31 octobre 2020, Khabib Nurmagomedov a publié sur son compte Instagram un message en russe : « Les ennemis de l’islam […] essaient d’insulter les sentiments de centaines de millions de croyants à travers le monde. » Pour lui, ces « ennemis » auraient « défié le seigneur qui a promis de protéger le messager des attaques des ignorants ». Le sportif de 32 ans, lui-même musulman très pratiquant, s’est directement adressé aux Français et à ceux qui les soutiennent. « Vous ne pouvez pas nuire à Mohamed et à sa mémoire. » Khabib Nurmagomedov a poursuivi : « Qu’Allah bénisse notre prophète bien-aimé et sa famille. » Puis, il a menacé « qu’Allah écrase son châtiment sur tous ceux » opposés à l’islam radical."

"Des joueurs ou anciens joueurs de l’équipe de France de football ont liké, c’est-à-dire aimé, la publication du champion russe, originaire du Daguestan – une région russe où la majorité des habitants sont musulmans. Karim Benzema, Mamadou Sakho et Tiémoué Bakayoko ou encore le Bosnien Miralem Pjanic et le footballeur anglais à la retraite David Beckham. Le joueur du PSG, Presnel Kimpembe, aurait aussi liké les propos haineux de Khabib Nurmagomedov selon plusieurs internautes. Toutefois, il a démenti les faits sur son compte Twitter : « Je fais du sport, pas de la politique. Je ne parle pas russe non plus. Je condamne fermement le terrorisme, toutes formes de violence sans aucune réserve, et toutes les tentatives de manipulation nauséabondes. » Son « like » n’est, à ce jour, plus visible."

"La veille, vendredi 30 octobre, Khabib Nurmagomedov avait déjà traité le président français d’ « ordure ». Plus inquiétant encore, il n’avait pas hésité à menacer le pays entier. Il avait insinué que ces « provocations » auront de « graves conséquences » étant donné que « les pieux ont toujours le dernier mot », selon lui. Khabib Nurmagomedov avait aussi rédigé ce message en russe et en arabe sur son compte Instagram. "

Euro 2021
"Les Anglais et les Belges l'ont fait, et ont eu droit à des sifflets. Les Français devaient le faire, avant de renoncer. Depuis le début de la compétition, ce geste symbolisant un soutien au mouvement Black Lives Matter prend autant de place sur le terrain qu'à l'extérieur". Les "Bleus se sont déjà agenouillés, notamment lors de leur rencontre amicale de préparation face au pays de Galles, le 2 juin, à Nice. Un geste qu'ils n'ont en revanche pas répété pour le moment lors de l'Euro : contrairement à ce qui était prévu (provoquant la colère dans les rangs de l'extrême droite), l'équipe de France n'a en effet pas mis un genou à terre avant son match contre l'Allemagne, mardi soir. "On part du principe que si on doit le faire, toutes les nations doivent le faire, s'est défendu après coup le capitaine des Bleus, Hugo Lloris, sur RMC. Cela ne veut pas dire qu'on ne soutient pas la cause, on ne veut surtout pas de racisme dans notre sport et dans la société. On voit plus les joueurs britanniques le faire car c'est dans la lancée de leur championnat. Il n'y a pas de débat, on est tous ensemble dans la décision."

"Le sélectionneur des champions du monde n'a d'ailleurs pas apprécié qu'on puisse critiquer le manque d'audace de son équipe. "La moindre petite chose, quoi qu'on fasse moi ou les joueurs, quoi qu'on dise, ça amène de l'interprétation, a déclaré Didier Deschamps, toujours sur RMC. Il y a toujours de la récupération, dans un sens ou dans l'autre. Forcément, ce n'est pas quelque chose de bien. Il y a un tel climat où ça part dans tous les sens."

"A la décharge des Bleus, rappelons aussi que l'avant-match a été mouvementé sur la pelouse de l'Allianz Arena de Munich : quelques instants avant le coup d'envoi, un ULM de Greenpeace, qui souhaitait se poser, a heurté un câble, perturbant le protocole. En conférence de presse, mercredi, Raphaël Varane a expliqué que les Bleus soutenaient toujours la cause mais avaient estimé, entre eux, que le geste était devenu "un symbole de tension et de crispation par rapport au fait qu'une équipe puisse mettre le genou à terre et qu'une autre équipe non". "On n'a pas un élan collectif avec un message clair et fort de façon unanime [entre toutes les équipes] donc le message n'est pas celui qu'on souhaite", a-t-il clarifié."

"L'UEFA ne condamne pas le fait de mettre un genou à terre pour dénoncer le racisme. Au contraire, elle l'encourage. Contactée par nos soins, l'instance explique qu'elle a "une tolérance zéro contre le racisme, par conséquent, tout joueur qui veut exiger l'égalité entre les humains en posant un genou à terre est autorisé à le faire". Elle exhorte aussi les spectateurs à "faire preuve de respect envers les joueurs et les équipes qui font ce geste". Elle déploie elle-même des banderoles "Non au racisme" lors de certains matchs et assume de lutter ouvertement contre les discriminations."

"Quant aux Bleus, poseront-ils cette fois le genou face à la Hongrie samedi après-midi ? Difficile de le savoir pour le moment, aucune information n'ayant été donnée. Peut-être quand même un indice chez vous : dans le stade de Budapest où les Français vont jouer, une partie du public a allègrement sifflé les Irlandais qui ont exécuté ce geste, le 8 juin, lors d'un match amical. Le Premier ministre hongrois, Viktor Orban, a ensuite défendu ces sifflets des spectateurs, en répétant qu'une telle démonstration n'avait "pas sa place sur un terrain de sport" et que la Hongrie "n'avait jamais été concernée par la traite d'esclaves". 

"Contactée par franceinfo, la fédération française de football nous assure qu'"aucune consigne" n'est donnée aux joueurs. Comprendre : les Bleus sont libres de le faire ou de ne pas le faire." Les footballeurs français ne se sont pas agenouillés.

"Les joueurs de confession musulmane à l'Euro 2021 ont désormais la possibilité de demander à ce qu'il n'y ait pas de bouteille de bière (sans alcool) sur leur pupitre en conférence de presse. L'information, rapportée par le Daily Telegraph, a pu se vérifier avec Karim Benzema après France-Portugal."

"Le come-back de Karim Benzema en équipe de France juste avant l’Euro aurait été demandé par le président de la République Emmanuel Macron. Didier Deschamps aurait-il menti sur les raisons qui l’ont poussé à rappeler Karim Benzema au sein de sa sélection juste avant l’Euro ? D’après les révélations faites par le journaliste Romain Molina dans son dernier livre c’est en effet le cas. Ce n’est pas parce qu’il avait « besoin » de lui que le patron tricolore a ramené à KB9 mais parce que dans les hauts lieux de l’état on le lui a imposé. Cela faisait cinq ans que Deschamps et Benzema ne se parlaient plus et s’il y a eu réconciliation entre les deux hommes et que la hache de guerre a été enterrée c’est grâce à l’intervention d’Emmanuel Macron. Le président de la république a personnellement milité pour que le come-back de l’attaquant du Real en Bleu."

"L’ingérence du chef d’état n’a pas été du goût de la FFF. Noël Le Graët avait beau affirmer qu’il était très heureux de voir Benzema retrouver sa maison, il ne pensait pas un mot de ce qu’il disait. Le président de la fédération préparait déjà sa contre-attaque à ce moment-là. Il comptait tout mettre sur le dos de l’ancien lyonnais en cas d’élimination prématurée des Bleus. Le scénario en question s’est vérifié, mais il lui était difficile de mettre son plan à exécution vu les prestations du joueur lors du tournoi. Benzema a fini meilleur buteur français de la compétition avec 4 buts inscrits."

"Notons aussi que dans son livre, intitulé « The Beautiful game », Molina affirme que le traitement médiatique auquel a eu droit Benzema suite à son retour n’a pas été très apprécié au sein du groupe tricolore. Antoine Griezmann se serait notamment plaint que son coéquipier ait été trop mis en avant. Une révélation qui confirme une rumeur avancée par L’Equipe durant la phase de préparation."

  
« La victoire des bleus » par Serge Viallet
France, 2017, 27 min
Sur Arte les 15 décembre 2019 à 13 h 15, 3 juillet 2021 à 16 h 50
Visuels : © INA

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Les citations sont d'Arte. Cet article a été publié le 14 décembre 2019.

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