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jeudi 3 août 2017

Des fautes comptables de Foncia Paris ruineuses pour des Français juifs


Le 18 janvier 2017, lors d'une réunion avec Jean-Patrick Jauneau, mandataire social de Foncia Paris, et Karima Aktouf, principale contentieux de ce syndic, M. B., propriétaires français juifs d'un appartement, ont confronté leur tableau de leur compte de copropriétaires avec l'extrait du « Grand Livre » de la copropriété - THE Document - concernant leur compte. Leur tableau exhaustif a révélé un solde créditeur de M. B. de 32,30 €. Celui présenté par Foncia Paris était incomplet et alléguait un solde prétendument débiteur de 2 296,56 € !? Explications du modus operandi létal pour ruiner et spolier des copropriétaires français juifs de leur bien immobilier : dette fictive ou réelle mais au montant majoré, tableaux du Syndicat erronés mais considérés comme incontestables par des juges car extraits du Grand Livre ou établis par huissier de justice, etc. Au printemps 2017, l'UFC-Que choisir et l'ARC a publié une nouvelle étude sur les contrats de syndics" citant notamment FONCIA.

Spoliations de Français juifs : l’affaire Tanger

Pour ceux ayant manqué les deux premiers épisodes, en voici un résumé.

M B., copropriétaires français juifs dans un quartier bourgeois, ont un appartement dont le syndic est Foncia Paris, ex-Foncia Rives de Seine.

Depuis plus de dix ans, sous la gestion des deux syndics successifs, ils subissent un traitement doublement discriminatoire.

D’une part, leur appartement vacant a été rendu insalubre par des parties communes gravement endommagées et l’installation sanitaire non conforme de l’appartement au-dessus. Malgré des injonctions de la Ville de Paris, malgré la demande de faire effectuer des travaux, le Syndicat a refusé de lancer une expertise judiciaire pour déterminer les causes des dommages et y remédier par des travaux adéquats. Une inaction, notamment qui a induit plus de 145 000 € de manque-à-gagner en termes de loyers non perçus par M. B.

Et d’autre part, pour corser le tout, après avoir quasiment ruiné M. B., le Syndicat les a assignés en réclamant un prétendu arriéré d’appels de charges. En reprenant toutes les écritures comptables du Syndicat et le relevé de leurs paiements, M. B. ont estimé leur compte créditeur et ont proposé à plusieurs reprises un règlement amiable au Syndicat via son syndic Foncia Paris. En vain.

Lors de l’Assemblée générale (AG) des copropriétaires du 18 novembre 2016, Jean-Patrick Jauneau, mandataire social de Foncia Paris, a fait une analogie choquante entre les Juifs persécutés sous le régime de Vichy et trois de ses salariés nommés dans un article publié en juillet 2016 par Alliancefr.com. Cet article intitulé Foncia au cœur d'une nouvelle polémique aux relents antisémites, et dont la teneur a été reprise dans notre article, évoquait M. B. en voie d'être ruinés et spoliés, par un syndicat de copropriétaires sous ses deux syndics successifs, Cabinet Seific-Piergui puis Foncia Paris. Ni les copropriétaires présents ni Dominique Ohlman, principale de copropriété, ne se sont indignés par ce parallèle infondé.

A été convenue une réunion pour comparer avec un comptable les tableaux de M. B. et ceux de Foncia Paris.

Fautes comptables de Foncia Paris
Le 18 janvier 2017, dans les locaux de Foncia Paris, Jean-Patrick Jauneau et Karima Aktouf, principale contentieux de Foncia Paris, choisie « pour sa connaissance du dossier », ont accueilli M. B.

Première entorse à l’accord écrit de la mi-décembre 2016 : Foncia Paris a édité un extrait du compte de copropriétaires de M. B. depuis 2010 extrait du Grand Livre. 

M. B. a rappelé qu’il avait été convenu de comparer son tableau avec ceux du Syndicat communiqués à la justice dans la procédure pendante initiée en 2014. NIET de Foncia Paris.

M. B. a insisté pour remonter à la date du jugement de 2012. Nul ne peut revenir sur des faits sur lesquels un tribunal a statué définitivement.

D’emblée, Jean-Patrick Jauneau a indiqué avoir pointé les montants en colonnes Débit et Crédit de cet extrait du Grand Livre. Il a abouti à un prétendu solde débiteur de 2 296,56 €.

M. B. a communiqué son tableau exhaustif recensant tous les montants figurant dans les pièces du Syndicat ou/et de Foncia Paris communiqués à la justice, notamment le décompte de l’huissier de justice du Syndicat, Me Jean-Benoît Michelet. M. B. a avancé un solde créditeur de 28,97 €. Après rectifications de ses erreurs mineures – un montant (3,36 €) inscrit à tort à deux reprises et trois centimes d’euros non indiqués dans la colonne débit -, le solde créditeur s’élevait à 32,30 €.

Tous trois ont alors pointé tous les montants de cet extrait du Grand Livre.

Il est apparu que :

1. Plusieurs montants correspondant aux versements de M. B. en 2013 à Me Jean-Benoît Michelet sont absents de cet extrait du Grand livre. Soit 2 390,09 €. Ce qui est gravissime, car le Grand Livre est réputé pour tous les magistrats être INCONTESTABLE. C'est sur ce fondement que des juges condamnent des copropriétaires ;

2. Divers montants correspondant aux chèques de M. B. et aux régularisations annuelles - 4 337,14 € - sont absents du décompte de Me Jean-Benoît Michelet ;

3. Foncia Paris a fait payer 125,35 €, pour une prétendue « assignation » en 2011, absente du décompte de Me Jean-Benoît Michelet et sans justificatif ;

4. Foncia Paris n’a pas crédité, à tort, le compte de M. B., de 122,35 € ;

5. Foncia Paris a inclus à tort 114,13 € (assignation de 2014) dans la somme réclamée à M. B. au titre d’« arriérés d’appels de charges impayées ». Or, il s’agit des dépens ;

6. Foncia Paris a fait payer à M. B. 1 594,20 € qui correspondent à des « vacations suivi contentieux » du syndic ; 

7. Les intérêts (292,57 €) versés par M. B. en 2013 n’apparaissent pas dans les relevés généraux comptables annuels du Syndicat établis par Foncia Paris, qui n'a pas su, de nouveau, en expliquer l'absence ;

8. Demeure un montant litigieux de 1 956,03 € en janvier 2017, composés des « vacations suivis contentieux », de la prétendue « assignation » de 2011, de l’assignation de 2014, et des 122,35 € ;

Que retenir de cette réunion éprouvante pour M. B., venus avec un dossier épais et après avoir sérieusement préparé la réunion ?

1. Jean-Patrick Jauneau et Karima Aktouf, principale contentieux de Foncia Paris, n’avaient pas pris connaissance du dossier ni des arguments de M. B. figurant dans ses conclusions ;

2. Ils auraient découvert en 2017 que M. B. ont versé plus de 1 500 € à Me Jean-Benoît Michelet en… 2013 !? Bel exemple du sérieux du « suivi de contentieux » par Foncia Paris. 

Foin d’ironie. Pour opérer ses saisies sur les comptes bancaires de M. B. en 2013, Me Jean-Benoît Michelet a utilisé des tableaux erronés du compte de copropriétaires de M. B. communiqués par le cabinet Goldberg et Masson, avocat du Syndicat. Et il a donc exigé des montants injustifiés à M. B.

Ainsi, la première saisie bancaire a réclamé à M. B.  9 915,64 €, au lieu de 5 391,83 € restant à payer au Syndicat. La deuxième saisie leur a réclamé 10 306,77 €, au lieu des 4 198,13 € restant à payer au Syndicat.Et la troisième saisie leur a exigé 10 590,10 €, au lieu de 1 798,13 € restant à payer au Syndicat ! Ces trois saisies bancaires injustifiées, dans leur principe et dans leurs montants, ont alourdi la dette initiale de 1 223,36 € de plus de 10% !

Le 8 août 2016, Me Thierry Guinot m’avait écrit : 
« Peut-être encore le Cabinet Foncia a-t-il omis de signaler certains versements à son avocat, et alors nous n’avons pas pu en avoir connaissance. En tant qu’huissier de justice, je ne peux procéder à la vérification des comptes de copropriété des requérants... Au vu des arguments que vous soulevez, il y a manifestement compte à faire ! » 
3. Jean-Patrick Jauneau et Karima Aktouf n’ont pas expliqué toutes ces erreurs comptables ; 

4. Ils se sont engagés à contacter Me Jean-Benoît Michelet afin d’avoir des réponses aux écarts dans leurs tableaux respectifs ;

5. Ils n’ont présenté aucune excuse pour leurs fautes comptables patentes ;

6. Les 1 956,03 € litigieux correspondent à environ un an d'appels de charges pour M. B. Ils représentent une forme d’avance de trésorerie conséquente qui leur est imposée au profit du Syndicat. Une somme sur laquelle FONCIA PARIS engrangerait des intérêts ?


7. Jean-Patrick Jauneau a promis d’organiser ensuite une réunion avec M. B. pour faire le point. Une promesse non tenue. Et il a éludé toute comparaison entre le tableau de M. B. et ceux, sciemment erronés, communiqués par le Syndicat, son syndic et ses avocats respectifs au Tribunal, puis à la Cour d'appel.

Anomie
Pourquoi Foncia Paris a-t-il assigné M. B. devant le Tribunal en 2014 sans respecter son contrat de syndic qui stipulait deux lettres de relances, puis une mise en demeure ? 
« Nous agissons ainsi en cas de deuxième procédure pour arriérés d’appels de charges impayés », a répondu Karima Aktouf. «
 Mais le contrat de Foncia Paris ne mentionne pas cette pratique », a répliqué M. B. «
 S’il fallait tout stipuler dans un contrat… », a déclaré Karima Aktouf, sans que Jean-Patrick Jauneau ne l’ait contredite.


Vous avez bien lu. 

On connaissait les stipulations des contrats des assureurs écrites en tout petit caractères.

Avec Foncia Paris, des stipulations non écrites, connues seulement de Foncia Paris, lieraient le Syndicat cocontractant, et s'imposeraient à M. B. qui les ignorent !? Ces stipulations sont-elles les mêmes pour les Juifs et pour les non-Juifs ? Foncia Paris les créerait-il à volonté, quand cela lui convient ? Mystères non éclaircis. 
C’est révélateur d’un état d’anomie grave. L’expression du « bon vouloir » de Foncia Paris ? En tout cas, une forme d'arbitraire.

Et c’est une juriste – si, si, Karima Aktouf a assuré l’être – qui l’a dit. Et cette juriste ne s'indigne pas des tableaux sciemment erronés versés dans les débats judiciaires par le Syndicat représenté par Foncia Paris. 

Or, dès la première année à l’université, les étudiants en droit apprennent cette locution latine : Pacta sunt servanda (« Les conventions doivent être respectées »), c’est-à-dire que les parties au contrat sont liées par cette convention conclue les liant. Ce principe du droit civil - « Les contrats légalement formés tiennent lieu de loi à ceux qui les ont faits » (Article 1103 du Code civil) -, a été repris en droit commercial, en droit international…

Judiciarisation juteuse pour le syndic
Revenons aux « vacations suivi contentieux » (2012-2017) - 1 786,20 € - que Foncia Paris a fait payer à M. B.

M. B. en contestent le principe et le montant. 

D’une part, ils se fondent sur le jugement solidement motivé de 2012. Le Tribunal avait alors rappelé audit syndic que le suivi contentieux fait partie de sa gestion courante (Article 10-1 de la loi du 10 juillet 1965), dans ses honoraires annuels forfaitaires. Et il avait refusé d’imputer à M. B. le montant de ces « vacations ».


Alors pourquoi le Syndicat et Foncia Paris persistent-ils à maintenir leur réclamation de « vacations suivi contentieux » ?

« Certains juges nous les refusent. D’autres nous les accordent… », a allégué Karima Aktouf.

Nous aimerions lire des jugements ayant accordé à Foncia Paris ces « vacations ».

Car, et d’autre part, ces « vacations contentieux » sont bizarres. 

Le coût de ces « vacations » ne correspond pas au tarif stipulé par contrat. Le contrat de Foncia Paris stipule « en cas de « procédures impayés » le paiement du « suivi du dossier transmis à l’avocat (minimum 1 h/trimestre) » ou « le suivi de la procédure judiciaire » au « temps passé selon barème horaire ». 

Or,
Le contrat prévoit des barèmes horaires distincts selon la fonction de son salarié exerçant ce suivi, et les jours ouvrables ou non.
Les « factures » des 12 décembre 2012, 6 mars et 17 juin 2013 indiquent un barème de 89,70 €/HT. Or, ce montant ne figure pas dans le contrat de Foncia Paris
Les « factures » de Foncia Paris n’indiquent pas la teneur de son « suivi contentieux » : quelles tâches effectuées pour x heures ? etc.
Le Syndicat n’a pas communiqué ses « factures » depuis 2014. Ce qui ne permet pas de vérifier si les tarifs appliqués sont conformes au contrat.

De plus, pour 2012-2013, le montant varie selon les documents, soit un écart de 100,77 € : une pièce du Syndicat réunit trois « notes-types » sibyllines du syndic, pour un montant total de 538,20 € ; le « relevé général des dépenses » du Syndicat indique un montant total de 638,97 €. Ce qui fait douter de ces deux montants.

Quant au « relevé général des dépenses du 01/07/2013 au 30/06/2014 », il indique à ce titre 556,15 €, dont 111,23 € (1er trimestre 2014) et 111,23 € (2e trimestre 2014). Or, le Syndicat n’en produit curieusement pas les « notes ».

Selon un adage, « nul ne peut se faire de preuve à soi-même ». Pourtant, Foncia Paris a communiqué, outre des décomptes sciemment erronés, ses « notes-types » concernant ses prétendues « vacations contentieux ». Des « notes-types » fabriquées automatiquement sur Word - seuls les dates et montants varient - et qui n'ont aucune force probante. Elles ne prouvent pas un suivi contentieux. 

D'ailleurs, Foncia Paris n'a pas jugé utile de créer de nouvelles « notes-types » pour ses « vacations contentieux » après juin 2013. Donc Foncia Paris a communiqué à la justice seulement trois « notes-types » pour 538,20 € (2012-2013). Il semble assuré d'obtenir automatiquement, sur leur simple production, la condamnation de M. B. à payer ces « vacations suivi contentieux » (2012-2017) de 1 786,20 € ?! Et dire la difficulté pour un journaliste à se faire rembourser ses frais professionnels par le média ayant publié son article...

En outre, les appels de charges édités par Foncia Paris ne mentionnent aucun montant de « vacations contentieux » pour le 4e trimestre 2014 et le 2e trimestre 2015. Et ce, alors qu’un jugement avait été rendu le 21 mai 2015. 

Par ailleurs, aucune « vacation pour suivi contentieux » sur la "procédure Clappier" pour impayés ne figure dans les relevés généraux annuels du Syndicat. Les seules "vacations" concernant M. Clappier, copropriétaire, visent un sinistre. Pourquoi le Syndicat impose-t-il à M. B. de payer des « vacations » de son syndic pour « suivi contentieux » dans cette procédure ?  

Concernant les impayés de M. Clappier, le Syndicat avait fixé un échéancier de versement de la somme due. Pourquoi avoir refusé à M. B. cet échéancier sollicité ? "Ce n’est pas parce que le Syndicat a conclu en 2011 un échéancier avec un autre copropriétaire qu’il a l’obligation d’en conclure un avec M. B.", a écrit dans ses conclusions Me Carine Smadja, avocate du Syndicat. Certes, mais quelle est la motivation du refus du Syndicat d'un échéancier à M. B. ?

Enfin, le Syndicat a fait payer à M. B. deux fois ces « vacations » : d’une part, leur quote-part de ces « vacations » figurant dans les Relevés généraux annuels, et, d’autre part la totalité de ces « vacations » dans leurs appels trimestriels.Or, le Syndicat a imputé à tous les copropriétaires leur quote-part des frais de la procédure contre M. Clappier, copropriétaire (692,80 €uros). Il n’a pas exigé de M. Clappier le paiement de la totalité de ce montant. Et il lui a évité des frais importants de procédure pour impayés.

Comprenne qui pourra.

« Vrais-faux forfaits tout compris » associé à une « myriade de facturations supplémentaires », clauses abusives dans les contrats de syndics et manque de transparence dans ses comptes, hausse de leurs tarifs en raison de prestations supplémentaires qui auraient du être incluses dans les forfaits du syndic, compte unique « imposé » au détriment du compte séparé affligé d’un surcoût, tarifs exorbitants des prestations exceptionnelles…

Ces pratiques préjudiciables de syndics sont fustigées régulièrement, notamment par la Commission des Clauses Abusives ou la DGCCRF (Direction générale de la répression des fraudes), et en 2013 par l'UFC-Que Choisir et l'ARC (Association de responsables de copropriété) dans leur Observatoire des syndics. Celui-ci a alors publié une étude sur cinq principaux syndics - Citya, Foncia, Immo de France, Nexity et Urbania - qui représentent 40 à 60% du marché. L’arrêté Novelli de 2010 n’a à l’évidence pas produit les effets escomptés.

Au printemps 2017, l'UFC-Que choisir et l'ARC a publié une nouvelle étude sur les contrats de syndics. "Après son entrée en vigueur, en juillet 2015, le décret sur le contrat-type de syndic de copropriété et les prestations particulières méritait une attention particulière.

Après avoir contribué à l’élaboration de ce contrat-type jugé équilibré, l’ARC et l’UFC-Que Choisir ont analysé les contrats des principaux syndics représentant 70 % de la profession (Citya, Foncia, Immo de France, Loiselet et Daigremont, Nexity). Ce décret en application de la loi Alur (Accès au logement et un urbanisme rénové) définit un forfait de base comprenant des prestations de gestion courante et une liste limitative des prestations particulières pouvant donner lieu à des honoraires supplémentaires.

Les deux associations ont déploréune hausse des tarifs des missions prévues dans le forfait, voire une baisse de niveau de celles-ci pour un prix resté stable, et surtout une envolée des coûts des prestations hors forfait. Un bilan décevant aux yeux de l’ARC et de l’UFC, qui estiment que le contrat-type n’a pas jugulé les pratiques abusives des syndics".

Le 24 mai 2017, l'UFC-Que choisir et l'ARC ont saisi la DGCCRF pour une "intensification des contrôles et sanctions des pratiques illégales".

La pratique des « vacations contentieux » s’avère une opération gagnante pour un syndic, et ce, quelle que soit la décision des juges.

Si des juges considèrent que ces « vacations » doivent être supportées par le Syndicat, le syndic gardera les intérêts bancaires, qu’il a vraisemblablement perçus pendant des années en cas de compte bancaire commun ouvert au nom du syndic. Par prudence, le syndic sollicite l’autorisation du Syndicat ou/et du conseil syndical avant d’assigner.

Si des juges condamnent les copropriétaires à payer ces « vacations contentieux », ils entérinent un fait accompli qui a déjà rapporté au syndic des intérêts courant sur plusieurs années. Et quel copropriétaire va se pourvoir en cassation – coût moyen de 3 500 € - pour un montant de 1 786,20 € ?

Ces « vacations » de 1 786,20 € - soit la moitié des honoraires annuels de Foncia Paris -, et les intérêts sur ces « vacations », augmentent donc les revenus du syndic.

Dette grossie ou inexistante
M. B. estiment le solde de leur compte de copropriétaires créditeur de 32,30 € en janvier 2017.

Au vu de leur comptabilité si erronée, le Syndicat et Foncia Paris devraient normalement mettre un terme à la procédure judiciaire pendante devant la Cour d’appel et lever l’hypothèque sur l’appartement de M. B.

Eh ben, non. Le 24 janvier 2017, Jean-Patrick Jauneau a écrit à M. B. : « Nous prenons note de votre demande de levée d’hypothèque qui pourra être mise en œuvre en fonction du résultat à venir de la procédure en cours ».

Jean-Patrick Jauneau ne respectera donc pas sa promesse d’une deuxième réunion pour faire le bilan dans ce dossier. Pourquoi ? Sait-il que la simple présentation d'un extrait, même erroné, du Grand Livre ou d'un décompte faussé d'un huissier de justice, permet de berner des magistrats et d'obtenir systématiquement la condamnation des copropriétaires ? Aurait-il découvert que M. B. avait raison ? Connait-il le traitement discriminatoire et les arrêts iniques infligés à des copropriétaires français juifs, telle Eva Tanger, par des magistrats spécialisés dans ces dossiers ? Ce qui permettrait au Syndicat de percevoir des milliers d'euros au titre de la  « prétendue dette », de prétendus « dommages et intérêts », de l'article 700 du Code de procédure civile, etc.

A l’issue de cette réunion, Foncia Paris avait allégué un prétendu « solde débiteur de 2 296,56 € ». Sur ce montant, 1 956,03 € correspondent à des montants litigieux, irréguliers au détriment de M. B.

La procédure va donc se poursuivre pour obtenir le paiement du faux « solde débiteur de 2 296,56 € » dont le Syndicat et Foncia Paris n’ont pas indiqué à quoi il correspond, plus de 4 000 € au titre de dommages et intérêts et de l'article 700 du Code de procédure civile, entériner judiciairement une pratique contestée, mais enrichissante de Foncia Paris, et surtout s'acharner sur M. B. en l'enferrant dans des saisies bancaires et des procédures judiciaires le stigmatisant, le diffamant, le ruinant.

Nul ne sait la destination finale des 292,57 € versés par M. B. au titre des intérêts ordonnés par le jugement de 2012. Où iront les sommes - au minimum 8 000 € en intégrant les dépens, etc. - que la Cour d'appel risque d'ordonner M. B., Français juifs, de verser au Syndicat ? Car cette Cour a condamné de manière inique, à plusieurs reprises, d'autres Juifs, telle Eva Tanger - 20 000 € au titre de l'article 700 du Code de procédure civile ! -, au mépris du droit et des faits.

Les honoraires annuels du syndic Foncia Paris s'élèvent à environ 3 500 €. Ce faux « solde débiteur de 2 296,56 € » représente plus des deux tiers de sa rémunération annuelle. Mazette !

En juillet 2014, le Syndicat a réclamé à M. B devant le Tribunal « 3.784,76 € au titre des charges de copropriété selon décompte arrêté du 16/10/2012 au 16/05/2014 ». D’une part, le solde débiteur de M. B. s’élevait à 2 109,49 € : 1 323,59 € d’arriérés de charges – appels du premier semestre de 2014 - et 785,90 € de « frais » litigieux. Et d’autre part, cet amalgame a pour effet de grossir le montant de la prétendue « dette » de M. B. Avant cette assignation, M. B. versait, chaque mois, au Syndicat 400 € à 800 €. Pourquoi le Syndicat et Foncia Paris n’ont-ils pas patienté quelques mois avant d’assigner M. B., le temps pour M. B. de rendre son solde créditeur ?

Pour « récupérer » "1 323,59 € d’arriérés de charges au 16 mai 2014", le Syndicat a réclamé au Tribunal 3 784,76 € au titre de cet arriéré de charges ?!

Le Syndicat a aussi dépensé 8 885 € en honoraires d'avocats : 6 227,92 € Me Albert Goldberg, puis Me Carine Smadja devant le Tribunal d’instance, et 2 571 € devant la Cour début 2017 ! Et ce n'est pas fini... Car il faut ajouter les honoraires de Me Smadja et de la SCP Grappotte Benetreau, avocats près de la Cour d'appel, pour la plaidoirie et autres actes. N’est-ce pas un peu disproportionné ? A titre de comparaison, le budget prévisionnel du Syndicat pour 2017-2018 s’élève à 48 600 €.

Quel est l'intérêt du Syndicat, qui n'a relevé aucune erreur dans les tableaux comptables de M. B., à poursuivre cette procédure portant sur le montant litigieux de 2 025,68 € en mai 2017 et constitué essentiellement des honoraires "vacations contentieux" du syndic Foncia Paris (1 786,20 €) ? Pourquoi le conseil syndical et l'Assemblée générale des copropriétaires n'ont-ils pas fait empêcher ou arrêter cette procédure judiciaire si coûteuse (un sixième de budget annuel du Syndicat) ? Est-ce un hasard si le Syndicat et Foncia Paris, son syndic, ont choisi contre des copropriétaires juifs français des avocats français aux patronymes juifs ?

Par ailleurs, le Syndicat a payé des honoraires d’avocat (222,46 €) pour le 4e trimestre 2013 dans « l’affaire M. B. » Et ce, alors que M. B. payaient régulièrement ses appels de charges et qu’il n’y avait alors aucune « affaire M. B. », aucune procédure judiciaire. Pourquoi le Syndicat et Foncia Paris ont-ils alors consulté un avocat ? Pour préparer la procédure judiciaire de 2014 ? Pourquoi ?

A l’évidence, ni le Syndicat ni Foncia Paris n’ont été motivés par la volonté de récupérer un arriéré d’appels de charges.

Leur hâte à assigner M. B. en violation du contrat de Foncia Paris, leur consultation d'avocat alors que M. B. achevaient de rembourser leur dette, leurs documents erronés, leurs saisies bancaires injustifiées et en réclamant des montants sciemment erronés et majorés, leur acharnement à poursuivre la procédure malgré les preuves de nombreuses fautes comptables et malgré un solde créditeur, leur refus de lever l'hypothèque effectuée par le Syndicat sur l'appartement délabré de M. B...

Tout ceci révèle l’espoir d’un enrichissement en toute impunité par l’instrumentalisation judiciaire : cercle ruineux pluri-annuel, voire pluri-décennal, des procédures judiciaires réitérées contre des Juifs traumatisés, avec leur cortège additionnel de saisies bancaires stressantes pour des montants injustifiés et majorés indûment, de procès en contestation des jugements ou saisies s'ils ont encore un peu d'argent... Des vies bousillées.

L’objectif ? Ruiner M. B. pour les spolier de leur appartement, vendre ce bien avec une superbe vue au copropriétaire influent dans l'immeuble qui n'a jamais caché sa volonté de l'acquérir à vil prix.

Et qui sera chargé de la vente, voire ensuite aussi de la mise en location du bien immobilier ?

Une stratégie létale. Le précédent propriétaire juif de cet appartement est mort prématurément. L'un des membres de l'indivision M. B., juifs eux aussi, souffre d'une grave maladie accentuée par le stress induit par cette stratégie.

En 2012, une copropriété adhérente de l'ARC (Association des responsables de copropriété) et située dans le sud de la France a fait procéder à un contrôle des comptes du Syndicat tenus par le cabinet Foncia-Azur (révoqué depuis lors). Elle a recouru "à un contrôleur totalement « indépendant » (une société professionnelle commerciale)".

Conclusions de ce "contrôle comptable calamiteux et symptomatique" : "Le grand livre occultant le détail des écritures du journal de banque (réduit à une seule ligne de solde sur l'année), il n'est pas possible de vérifier la pertinence des opérations enregistrées". Les comptes présentés ne reflètent,pas "la situation réelle de la copropriété. Le syndic n'a pas rempli ses obligations légales de tenue d'une comptabilité conforme à la réglementation. Enfin, l'état général de la comptabilité, l'absence de pièces essentielles - factures et pièces comptables - et le détournement des procédures nourrissent une légitime suspicion quant à la sincérité de ces comptes".

Pourquoi le Syndicat et le conseil syndical de l'immeuble où se trouve l'appartement de M. B. acceptent-ils les fautes comptables de Foncia Paris ?

Des intérêts de l'immeuble négligés
Nous avons vu que le Syndicat, son conseil syndical et son syndic Foncia Paris étaient si peu soucieux de l'intérêt général de l'immeuble qu'ils avaient laissé, décennies après décennies, des parties communes de l'immeuble se déliter gravement, et abîmer l'appartement de M. B., le rendant insalubre, inhabitable.

Voici quelques années, M. B. avait insisté auprès du Syndicat sur la nécessité de régulariser la relation de travail de la gardienne de l'immeuble, et avait demandé la communication du contrat de travail de cette gardienne quand il sera rédigé conformément au droit. Refus du Syndicat, du conseil syndical et de Foncia Paris. Pourquoi ?

Le 9 février 2017, Foncia Paris a réclamé à tous les copropriétaires de cet immeuble un appel exceptionnel pour le départ à la retraite de la gardienne. Son montant ? 19 500 € !? Foncia Paris a aussi informé sur la tenue d'une future Assemblée générale spéciale des copropriétaires sur cette retraite. L'occasion pour Foncia Paris d'engranger un supplément d'honoraires.

Si le Syndicat, son conseil syndical et Foncia Paris avaient transmis le contrat de travail de la gardienne à M. B. et mieux géré l'immeuble, il est vraisemblable que ce double imprévu, doublement coûteux, aurait été évité.

Alors, une obsession préjudiciable du Syndicat, du conseil syndical et de Foncia Paris au détriment de copropriétaires français juifs et des intérêts de l'immeuble ?

Pourquoi l'ordre du jour de cette AG spéciale ne prévoit-il aucune résolution informant les copropriétaires du solde positif du compte de M. B. et leur proposant de voter sur l'arrêt de cette procédure inutile encombrant les prétoires ? Refus du Syndicat, du conseil syndical composé de MM. Arnoult, Coële et François Schleret, ou/et de Foncia Paris ?

Groupe Foncia
Jean-Patrick Jauneau n'a présenté aucune excuse pour sa déclaration lors de la dernière AG à propos d’un article sur Alliancefr évoquant cette affaire - « A titre personnel, pour une communauté qui a souffert de la dénonciation, dénoncer à son tour, c’est peut-être un peu… déplacé ». Un parallèle infondé. Une essentialisation écœurante. Un dévoiement choquant de la persécution des Juifs avant la Shoah.

Informé, le Groupe Foncia présidé par François Davy, n'a pas réagi.

En outre, Jean-Patrick Jauneau persiste à réclamer, dans mes écrits, « l’anonymat des collaborateurs » de Foncia Paris.

Et ce, alors que je lui ai déjà rappelé le droit à l'information, le principe de la liberté d’expression, de la presse. Alors que je lui ai donné de nombreux exemples de journaux diffusant, dans leurs versions imprimées et électroniques, les noms et visages de salariés, cadres ou non cadres. Nul n’est au-dessus de la loi. Chacun doit assumer la responsabilité de ses actes. Mais pas chez Foncia ?

Soulignons qu’aucun des salariés de Foncia Paris cités n’a demandé depuis l’été 2015 le retrait de son nom de mes articles. Aucun n’a souhaité répondre aux questions d’Alliancefr.com ni à mes questions.

M. B. stigmatisés en « mauvais payeur » en AG, c’est normal. Mais décrire les maillons d’un modus operandi ruinant et spoliant les Juifs ? Interdit ! Censuré !

Foncia n'aime guère la transparence. En 2014, la « CNIL (Commission nationale de l’informatique et des libertés) a infligé un avertissement public au groupe Foncia : lors d’un contrôle en 2010, elle avait découvert que Foncia avait indiqué dans ses fichiers notamment la religion juive de clients ». Pourquoi quatre ans pour révéler cet avertissement ? Foncia avait demandé au Conseil d’Etat que cette sanction ne soit pas rendue publique. Une demande rejetée in fine par le Conseil d’Etat.

Déjà des Juifs...

Le 14 juillet 2016, au volant de son poids lourd sur la Promenade des Anglais (Nice), Mohamed Lahouaiej-Bouhlel a tué 86 personnes et blessé 458 autres.

A la mémoire des victimes, un couple de Niçois a planté un drapeau français dans son jardin.

Par lettre du 9 septembre 2016, Stéphanie Cabanet, principale de copropriété chez Foncia Ligurie, a demandé à ce couple de l'enlever.

Refus du couple.

Cette lettre de Foncia Ligurie a circulé dans les réseaux sociaux, et a suscité l'indignation notamment de politiciens. Certains Internautes ont demandé des sanctions à l'égard de Stéphanie Cabanet. Des journaux ont publié ce courrier sans occulter le nom de son auteur.

Sur ses comptes Twitter et Facebook, Foncia a posté ce communiqué : « Foncia groupe condamne l’action faite en local qui ne reflète en rien la politique du groupe. Francois Davy, président du groupe, va personnellement appeler le copropriétaire afin de lui présenter ses excuses au nom du groupe ».

Par contre, alertés à deux reprises sur le comportement de Foncia Paris, le groupe Foncia et son président François Davy demeurent silencieux. Pourquoi ?

Alors, pas d’antisémitisme dans cette affaire ?

Pourquoi Foncia Paris peut-il exercer son activité en ayant une comptabilité si erronée ? Qu'en pense la Chambre de commerce et d'industrie de Paris qui délivre les cartes professionnelles aux syndics ?

Que pense l'Ordre des avocats de Paris de ceux parmi ses membres qui versent aux débats des pièces sciemment erronées pour tromper les magistrats ? Ces avocats ont-ils commis une escroquerie au jugement, délit pénal ?

Anne Bartnicki, magistrate ayant statué au Tribunal en 2015 dans ce litige, a-t-elle saisi le parquet pour faux et usage de faux, ou discrimination religieuse ? Dans la négative, pourquoi ?

Pourquoi le Procureur n'ouvre-t-il pas une enquête préliminaire pour abus de confiance, recels, discriminations sur Foncia Paris et les salariés impliqués dans cette affaire, et ce Syndicat ?

J'ai interrogé le Groupe Foncia, l'Ordre des avocats de Paris, la Chambre de commerce et d'industrie de Paris, Me Jean-Benoît Michelet, et la présidence de ce Tribunal. Je publierai leurs réponses dès réception.

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Cet article a été publié le 27 janvier 2017.

4 commentaires:

  1. A la lecture de vos multiples articles, il semblerait que vous ne soyez pas tout à fait en paix avec votre religion. Visiblement, vous passez votre temps à vous sentir persécutée et du coup vous prêtez à toute sorte de gens une haine contre les juifs qui n'existe que dans votre imagination.
    Ce n'est pas un blog qu'il vous faut, Madame, c'est un bon psy.
    Et un dernier conseil: cessez de faire des commentaires sur les fautes d'orthographes des autres, tant que vous ne serez pas vous-même irréprochable.
    A bon entendeur...

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    1. 1. Pourquoi avez-vous publié votre commentaire en restant anonyme ?
      2. Le judaïsme n'est pas une religion stricto sensu. Et je suis "en paix" avec lui.
      Je choisis en particulier certains sujets d'articles pour informer sur le judaïsme, car celui-ci me semble méconnu ou ignoré.
      3. Vous n'étayez vos allégations d'aucun argument. Vraisemblablement, parce que vous n'en avez pas.
      4. Vous mélanger anti-judaïsme et judéophobie ou la haine anti-juifs.
      5. Il doit y avoir un espace avant les deux points ":". Un oubli de cette règle typographique ? Une ignorance ?
      6. Vous voulez imposer une mesure liberticide.
      7. Commenter des multiples fautes d'orthographe, des ignorances d'opérations simples comme des additions ou des soustractions, et des refus d'appliquer le droit à des justiciables juifs français - j'ai évoqué d'autres affaires où cette Cour a spolié des Juifs et leur a infligé un déni de droit - s'avère indispensable. C'est un sujet d'intérêt général.
      Vous désignez les fautes d'orthographe. Mais s'il n'y avait qu'elles ! Vous omettez Les fautes juridiques de ces trois magistrats ayant endetté, sans justificatif, des copropriétaires juifs. Pourquoi ?
      En effet, cet arrêt est signé par trois magistrats. Aucun d'eux n'a relevé toutes ces fautes de droit, de langue française, d’arithmétique. Ce qui me semble révélateur de leur conception de leur métier, de l'effondrement du niveau chez les magistrats, des carences graves dans la formation, initiale et continue, des juges, de la nécessité de l'exigence dans le recrutement des magistrats et de leur promotion, etc.
      Nul n'est irréprochable. Mais si je commettais la moindre faute journalistique, des magistrats me condamneraient sévèrement. Qui juge ces magistrats ? Aucune des autorités - Cour d'appel, ministère de la Justice, etc. - informées de ces fautes n'a initié la moindre procédure disciplinaire à l'égard de ces trois magistrats. Mais vous ne fustigez qu'une personne : la journaliste qui a fait son travail sérieusement. Pourquoi ?
      A bon entendeur...

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  2. Pouvez-vous expliquer les raisons pour lesquelles vous vous acharnez à essayer de démontrer que le monde entier est antisémite? A vous entendre, c'est que cas de Foncia, mais également des juges des tribunaux et Cour d'Appel, des huissiers de justice, des avocats... Tout le monde ce serait donc entendu pour planifier la ruine d'une famille, sous prétexte qu'elle serait juive? N'avez-vous donc pas l'impression d'aller un peu trop loin dans votre théorie du complot? Vous rendez-vous compte des suites judiciaires qui peuvent être données à vos propos? Vous devriez peut-être davantage vous souciez de payer vos appels de charge du syndic sur votre fameux appartement plutôt que d'essayer de faire croire à de la persécution injuste...

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  3. Bonjour,
    Pourquoi écrivez-vous en gardant l'anonymat ?
    Pourquoi n'argumentez-vous pas ? Vous procédez par allégations injustifiées, sans aucun argument.
    "Vous rendez-vous compte des suites judiciaires qui peuvent être données à vos propos ?"
    Je n'ai jamais écrit que "le monde entier est antisémite". Pourquoi inventez-vous ? Vous vous discréditez.
    Quand ai-je écrit que Foncia, des juges ou des huissiers seraient antisémites ?
    J'ai posé des questions, listé des discriminations, déploré que la loi n'ait pas été appliquée, etc. Nul n'a répondu à mes questions.
    Une seule question : la Cour d'appel a estimé que le solde de M. B. était créditeur en 2015. Pourquoi le Syndicat a-t-il interjeté appel ?
    Une remarque : si on retient les calculs de la Cour d'appel de Paris, le solde était créditeur en 2017. Pourquoi la Cour a-t-elle condamné ces copropriétaires juifs ?
    La Cour d'appel de Paris serait allée "trop loin" dans la "théorie du complot" par ses calculs ?
    Enfin, en 2012, le Tribunal a écrit que Foncia Rives de Seine n'avait pas légalement à exiger des frais non nécessaires. Pourquoi Foncia Rives de Seine a-t-il recommencé à exiger des "frais" non nécessaires au sens de la loi de 2012 à 2017 ?
    En 2017, la Cour d'appel a refusé de reconnaître comme "nécessaires" au sens de la loi les "frais" de Foncia Paris (ex-Foncia Rives de Seine).
    Foncia Paris de nouveau exige le paiement de "frais". Pourquoi ?
    Est-ce juste ?

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