mercredi 27 juin 2018

« Super-héros : l’éternel combat » de Michael Kantor


« Super-héros : l’éternel combat » (Superheroes: Never-Ending Battle) est une série documentaire en trois volets de Michael Kantor (2013). L'histoire des Etats-Unis aux XXe et XXIe siècles retracée au travers de ces super-héros, de leur mythification à leur noirceur, au fil des guerres contre le nazisme et le communisme, des mouvements contestataires des années 1960 et 1970, et d'une Amérique traumatisée par les attentats terroristes islamistes du 11 septembre 2001. Un reflet parfois critique de l'American way of life. Le 21 juin 2018, FrontPage magazine a publié l'article "Superhero Comic Books, from Fighting America"s Enemies to Submitting to Them(Les albums de BD avec des superhéros se soumettent aux ennemis de l'Amérique au lieu de les combattre), par Bosch Fawstin. Le 28 juin 2018 à 16 h, la Maison de la culture juive deNogent-sur-Marne organise la rencontre "La Bd une histoire juive ? Auteurs et héros juifs dans la bande dessinée", avec Jean-Claude Kuperminc, directeur de la Bibliothèque de l’Alliance Israélite Universelle (AIU)


Astérix
« Walt Disney - L'enchanteur », par Sarah Colt
Will Eisner. Génie de la bande dessinée américaine
« Du Panthéon à Buenos Aires » de René Goscinny
« René Goscinny, notre oncle d'Armorique » par Guillaume Podrovnik
« Silex and the City. #Je suis sapiens » par Jean-Paul Guigue
« La Planète sauvage » par René Laloux
« Lucky Luke - La fabrique du western européen » par Guillaume Podrovnik

En 2007-2008, pour la première fois en France, le Musée d’art et d’histoire du Judaïsme (MAHJ) a présenté l’exposition itinérante De Superman au Chat du rabbin, bande dessinée et mémoires juives, conçue avec le Joods Historisch Museum (musée historique Juif) à Amsterdam (Pays-Bas).

Composée de cinq chapitres, cette exposition  abordait le rôle des auteurs Juifs dans la bande dessinée (BD) grâce à « 230 œuvres (dessins originaux, planches imprimées et documents d'archives », d’une « trentaine d’artistes américains et européens », des premiers comic strips de la fin du XIXe siècle aux romans graphiques contemporains, via les superhéros des années 1930 et 1940 et les bandes dessinées (BD) underground des années 1960. Une exploration de l’apport majeur de quarante auteurs – illustrateurs, scénaristes - et éditeurs Juifs, américains, européens et israéliens, de cet art populaire. Et la mise en lumière des références, explicites depuis les deux dernières décennies, de l’histoire - émigration, Shoah - et du judaïsme dans leurs œuvres.

L’exposition évoquait « la manière dont la bande dessinée, essentiellement par le roman graphique, a contribué à créer et à diffuser différentes visions du passé juif », à faire évoluer la BD, genre populaire méprisé, vers le roman graphique (graphic novel), forme littéraire spécifique, reconnue et prisée dès la fin des années 1970 sous l’impulsion de Will Eisner, et où le texte attribué au personnage de la BD n’est pas toujours inséré dans les phylactères ou bulles. Pour cette évocation, étaient réunis de nombreux dessins originaux de maîtres passés - Zuni Maud, Rube Goldberg, Will Eisner, et Harvey Kurtzman – et vivants : Art Spiegelman et Ben Katchor -, des BD, des planches, des esquisses d’auteurs célèbres.

Cette exposition a été présentée au printemps 2008 au Joods Historisch Museum à Amsterdam sous le titre Superhelden en sjlemielen  (Superheroes and Schlemiels Jewish Memory in Comic Strip Art), puis en 2010 au Jüdische Museum Berlin (musée Juif de Berlin) sous le titre de Helden, Freaks und Super rabbis. Die Jüdische Farbe des Comics (Heroes, Freaks and Super-Rabbis. The Jewish Dimension of Comic Art), et au Judiska Museet i Stockholm (musée Juif de Stockholm) sous le titre Seriehjältar och antihjältar – från Stålmannen till fröken Märkvärdig.

Superman & Cie
Série documentaire en trois volets de Michael Kantor (2013), « Super-héros : l’éternel combat » (Superheroes: Never-Ending Battle), se focalise sur ces personnages dotés de pouvoirs extraordinaires en évoquant « soixante-quinze ans d'histoire américaine vus à travers l'épopée de l'industrie des comics et de ses super-héros ».

Associant les interviews d'historiens de la BD et les témoignages de dessinateurs de comics renommés, Michael Kantor « retrace les évolutions d'une industrie dont les héros accompagnent depuis leur création les soubresauts de l'histoire des États-Unis. Autant de personnages devenus des mythes de la culture populaire outre-Atlantique, et dont le documentariste se sert ici comme de miroirs pour mettre en lumière les mutations de la société américaine depuis les années 1930. Un film éclairant sur le rôle joué par ces hérauts de l'American way of life et de la superpuissance de l'Oncle Sam, qui ont fait des comics une industrie multimilliardaire diffusée dans le monde entier ».

Le premier volet du documentaire débute par la création par Jerry Siegel et Joe Shuster de Superman en 1938. En juin 1938, la revue Action comics publie un nouveau héros appelé Superman. « D'abord cantonné aux pages des journaux généralistes, Superman connaît d'emblée un immense succès et définit les codes d'un nouveau genre de la bande dessinée : les comics, qui s'imposent bientôt comme le mètre étalon de l'industrie de la BD aux États-Unis. Une aubaine, dans l'Amérique de la Grande Dépression, pour une nouvelle génération de dessinateurs, fils d'immigrés juifs des ghettos de New York pour la plupart, qui imaginent ces nouveaux personnages dotés de superpouvoirs ».

En 1939, Bob Kane crée Batman, "version BD de The Shadow", et deux ans plus tard Joe Simon et Jack Kirby imaginent le patriotique Captain America en 1941 ». A l'origine, Batman est un héros "solitaire à tendance violente, et porte un revolver". Des super-héros dotés de faire-valoir.


Plus de 90% des garçons américains et plus de 80% des filles américaines lisent des BD. Près de la moitié des Américains prisaient des BD adorées des soldats.

Après l’attaque de la base navale américaine Pearl Harbour (Hawaï) par le Japon impérial le 7 décembre 1941, les Etats-Unis entrent dans la Deuxième Guerre mondiale.

Hollywood  participe à l’effort de guerre. Les BD aussi.

Dès le 19 novembre 1941, est sorti aux Etats-Unis et au Canada, The Thrifty Pig, court métrage d’animation réalisé par Ford Beebe et coproduit par la firme Walt Disney Productions, le Department of National Defense et l'Office National du Film du Canada. C’est un remake de sa Silly Symphony oscarisée et intitulée The Three Little Pigs (Les Trois Petits Cochons) de 1933, dans lequel le Big Bad Wolf (le Grand Méchant Loup), représente l’Allemagne nazie. Ce méchant animal échoue à détruire la maison que le Cochon pragmatique avait construite avec des war bonds (bons de guerre) canadiens.

De nombreux scénaristes et dessinateurs s'engagent dans l'US Army. Les Américaines occupent les postes laissés vacants par les hommes enrôlés. Doll girls, bulletwomen ou filles fiancées du superhéros... Telles étaient les personnages féminins des BD avant-guerre. En décembre 1941, Wonder Woman est créée par William Moulton Marston, qui  choisit le pseudonyme de Charles Moulton, et est publiée dans All Star Comics.

Les super-héros sont enrôlés comme « un instrument de propagande : Captain America, vêtu du drapeau américain, écrase Hitler d'un direct du droit en couverture et Wonderwoman exalte le rôle des femmes américaines à l'arrière du front ». Ces super-héros traquent les espions allemands , "saboteurs et sympathisants nazis" œuvrant aux Etats-Unis. Le style de Jack Kirby a révolutionné la BD. Les auteurs de Batman "ont fait exploser le cadre de la page, personne n'était statique".


En 1945, après la capitulation des forces de l’Axe, les Etats-Unis, seule puissance mondiale accueille ses GI's, et ses super-héros sont au faîte « de leur puissance ». Vêtements et autres accessoires constituent autant de produits dérivés générateurs de profits. Les lecteurs sont devenus plus exigeants, ne se satisfont pas des scénarios d'avant-guerre.

Mais « en dépit de cette aura, justiciers et vengeurs masqués s'attirent bientôt les foudres des parlementaires maccarthystes et des puritains les plus fervents. Leurs aventures jugées trop violentes font l'objet d'une censure de la Comics Code Authority, à laquelle l'industrie se pliera jusque dans les années 1980, et qui conduira parfois même à des autodafés de plusieurs centaines d'exemplaires ». Le "crime ne peut être que sordide et repoussant". Six des 56 titres de National survivent en abordant la science-fiction, le western...

La télévision érode aussi la diffusion des bandes dessinées imprimées, puis diffuse des feuilletons hebdomadaires tel Superman, défenseur du modèle américain, et Batman (1966).

« L'escalade de la guerre froide » opposant les Etats-Unis à l’Union soviétique « et la peur de la menace nucléaire vont permettre aux super-héros de réaffirmer leur rôle de défenseurs du modèle américain et à l'industrie des comics de connaître un nouvel âge d'or à partir des années 1960 ».

Marvel vs DC Comics
Le deuxième volet « explore le nouvel élan insufflé aux comics par l'éditeur Marvel au début des années 1960. Après avoir failli disparaître dans les années 1950, l'industrie des comics retrouve un second souffle grâce à l'éditeur Marvel au début des sixties ».

Pour « contrer l'hégémonie du rival DC Comics, le rédacteur en chef Stan Lee imagine de nouveaux super-héros plus proches de ses lecteurs. Avec les Quatre Fantastiques, Hulk (Fantastic Four) et, surtout, Spiderman, les dessinateurs de Marvel font descendre ces héros de leur piédestal et leur attribuent des faiblesses jusque-là réservées au commun des mortels. Le succès est immédiat et oblige DC Comics à remettre ses personnages vedettes au goût du jour. Les super-héros deviennent alors des icônes dont s'emparent notamment les artistes du pop art » (Roy Lichtenstein). Le pop art influe aussi sur les séries télévisées représentant ces super-héros.

Ces super-héros expriment l'angoisse américaine face à l'arme nucléaire. Peter Parker/Spider-man doute de lui-même, et devient le "super-héros que vous pourriez être". Sa célébrité atteint celle de Superman.

Marvel actualise aussi le personnage de The Flash, et publie Nick Fury dès 1963.

Les planches font apparaître des Noirs comme personnages secondaires (policiers).

Cependant, l'assassinat de Kennedy (22 novembre 1963), « la guerre du Vietnam ou le scandale du Watergate font basculer les aventures des héros de comics dans un univers plus sombre, reflet d'une société américaine en proie à de nombreuses désillusions. Jusqu'alors cantonnés au rôle de justiciers et de patriotes, ils n'hésitent plus à remettre en cause la probité des dirigeants ou à relayer les causes progressistes, s'affranchissant de la censure de la Comics Code Authority ».

Sa célébrité décuplée par une série télévisée, Wonderwoman « devient le porte-étendard des féministes et les premiers super-héros de couleur (la Panthère noire, Luke Cage) font leur apparition ».

A la fin des années 1960, règnent les 3 B : Beatles, Bond et Batman.

Durant les seventies, des « anti-héros plus violents débarquent dans les cases de Marvel, et, à l'image du Punisher, s'érigent en redresseurs de torts dans une Amérique minée par la criminalité ». Julius Schwartz "psychologise" Superman. Dessinée en Afroaméricaine, Lois Lane enquête dans un ghetto noir.

La vague de criminalité aux Etats-Unis suscite les personnages cinématographiques de l'inspecteur Harry, du Justicier. Les super-héros parfois échouent. The Punisher châtie les méchants.

A « l’orée des années 1980, les ventes s'effondrent. L'industrie ne devra son salut qu'à une nouvelle génération de dessinateurs et à des adaptations cinématographiques toujours plus spectaculaires ».

Au cinéma
Le troisième et dernier volet évoque les adaptations cinématographiques de ces super héros de BD.

En 1978, Christopher Reeve figure Superman pour le grand écran. C’est le premier succès mondial d'un film de super-héros au cinéma.

Les « progrès des effets spéciaux permettent de réaliser des adaptations cinématographiques toujours plus crédibles et achèvent de faire basculer les personnages dans un univers plus proche du monde réel ».

Pour contrer la « chute libre des ventes de comics dans les années 1980, les éditeurs décident de faire appel à une nouvelle génération de dessinateurs pour rendre leurs héros plus matures, et parfois plus violents. En 1986, DC Comics publie la série The Dark Knight dans laquelle Frank Miller met en scène un Batman plus adulte, renouant avec la noirceur de la bande dessinée originelle. La même année, l'éditeur lance les aventures des Watchmen, gang d'anti-héros évoluant dans une Amérique décadente imaginée par Alan Moore ».

Chez Marvel, Todd McFarlane « remet au goût du jour les aventures de Spiderman et Jim Lee redessine les X-Men. Lancé en 1991, le premier numéro du magazine spécialement dédié aux aventures de l'équipe de mutants sera le plus vendu de l'histoire des comics. Mais le manque de reconnaissance de Marvel pousse ses jeunes talents à fonder leur propre maison d'édition baptisée Image Comics" en 1992 "et à créer de nouveaux personnages charismatiques, à l'image de Spawn ». Les "histoires se font plus violentes". Ces BD débridées se vendent à des millions d'exemplaires.

Le « nouveau venu taille très vite des croupières aux deux géants, obligeant DC Comics à réagir avec un numéro spécial mettant en scène la mort de Superman ». Les auteurs l'avaient déjà fait mourir et ressusciter auparavant et à plusieurs reprises. Mais cette fois-ci, la mort est annoncée comme définitive. Finalement, les auteurs font revivre un an plus tard Superman.

Cette « lutte acharnée à coups de numéros collectors booste un temps les ventes avant un nouvel effondrement dans le courant des années 1990 ». La bulle financière autour des comics a éclaté. "L'ère des super-héros sombres et réalistes prend fin".

C’est dans une Amérique traumatisée par les attentats terroristes islamistes du 11 septembre 2001 que « l'industrie des comics retrouve un second souffle ». Marvel évoque cette tragédie : Batman s'était balancé entre les Twin Towers. Le super-héros veille sur les secouristes, les volontaires accourus sur les lieux de la tragédie. En 2005, la série cinématographique Batman montre cette guerre urbaine. Avec ses nouveaux effets spéciaux, Spiderman "s'adresse à tous les publics". Sur grand écran, les superproductions "Iron man, Avengers ont contribué à préserver l'image du super-héros" dans le monde.

« Délaissant peu à peu la bande dessinée, DC Comics et Marvel font fructifier leurs licences avec des produits dérivés, des adaptations cinématographiques et des jeux vidéo sans cesse plus spectaculaires ». Grâce aux nouvelles technologies, les jeux permettent de créer des super-héros, d'inter-agir...

Leurs auteurs abordent des thèmes jadis tabous, telle l'homosexualité. Chez Marvel, Wolverine "n'obéit à aucun code moral".

Le tirage des BD a chuté dramatiquement : si certains titres tiraient jusqu'à un million par mois, aujourd'hui un seul titre diffuse à cent mille exemplaires.

Pour que cette mythologie ne se fige pas, il lui faut explorer de nouvelles voies. Le président Barack Hussein Obama a avoué sa passion pour Spider-man, qui le représente dans une des aventures du super-héros.

Quelques manifestants du "printemps arabe" arboraient un Tee-Shirt de Superman, un "gardien de nos idéaux", de nos aspirations, de nos appréhensions face à l'adversité...

Ces "super--héros ne nous laisseront jamais tomber. Ils seront toujours là", conclut la série.

Captain America: First Avenger
Le 8 novembre 2015, Arte diffusa L'incroyable histoire de Superman, documentaire de Kevin Burns.

Le 21 février 2017, à 21 h, France 2 diffusa Captain America : First Avenger, de Joe Johnston. "En 1942, Steve Rogers, un jeune homme gringalet et réservé, tient à s'engager dans l'armée pour combattre les nazis aux côtés des Alliés. Réformé par les médecins militaires parce que jugé trop chétif, il se porte alors volontaire pour participer à un programme expérimental. Remarquant la détermination du jeune homme, le professeur Erskine choisit de lui offrir la chance de réaliser son rêve. Par le biais d'une irradiation, le médecin parvient à transformer Steve Rogers en super soldat. Steve devient alors Captain America. Sa mission : affronter Hydra, une organisation scientifique nazie avec, à sa tête, le dangereux Crâne Rouge..."

Ms Marvel musulmane
Le 21 juin 2018, FrontPage magazine a publié l'article "Superhero Comic Books, from Fighting America"s Enemies to Submitting to Them" (Les albums de BD avec des superhéros se soumettent aux ennemis de l'Amérique au lieu de les combattre), par Bosch Fawstin. Sous-titre : "Marvel and DC Comics ignore Jihad - and push Islamic propaganda through their Muslim superheroes" (Marvel et DC Comics ignorent le djihad et véhiculent la propagande islamique via leurs superhéros musulmans).

Marvel Comics a publié des séries de BD avec des superwomen. L'une d'elle est une héroïne afro-américaine homosexuelle, et l'autre est une jeune musulmane de la série Ms Marvel. Aucune n'a rencontré le succès commercial. Si Marvel Comics a mis un terme à la série avec l’héroïne afro-américaine gay, il a poursuivi la commercialisation de la série de Ms Marvel, Kamala Khan, adolescente pakistano-américaine. Bosch Fawstin constate l'absence de demande du public pour une telle héroïne musulmane.

Il considère que les directeurs de Marvel Comics craignent leur éditrice musulmane, Sana Amanat, et ont peur que les musulmans diffèrent de ceux représentés dans leurs livres. Malgré ce bide commercial, interrogé par la BBC, un dirigeant de Marvel Comics a répondu positivement à l'idée d'un futur film où apparaîtrait cette super-héroïne. Et ce, alors qu'il a fallu des années avant que des super-héros de Marvel Comics, ayant rencontré un large succès commercial, ne soient adaptés au cinéma.

"Ms Marvel-Kamala Khan" a pour auteurs la scénariste gauchiste convertie à l'islam en 2002 après les attentats terroristes islamistes du 11 septembre 2001, G. (Gwendolyn) Willow Wilson, et le dessinateur Adrian Alphona. Comme sa co-créatrice l'éditrice Sana Amanat, Kamala Khan porte le keffieh palestinien.

Sana Amanat a présenté le premier album de cette série à Barack Hussein Obama, alors Président des Etats-Unis. Elle a supprimé des twitts comme “One day we will all be brown".

Identité juive
Le 28 juin 2018 à 16 h, la Maison de la culture juive deNogent-sur-Marne organise la rencontre "La Bd une histoire juive ? Auteurs et héros juifs dans la bande dessinée", avec Jean-Claude Kuperminc, directeur de la Bibliothèque de l’Alliance Israélite Universelle (AIU). "Venez parcourir les aventures des génies américains et Français qui ont introduit le judaïsme dans le 9e art !"


 1 h 55
Alan Silvestri / Musique
Chris Evans / Steve Rogers / Captain America
Hayley Atwell / Peggy Carter
Sebastian Stan / James Buchanan Barnes
Tommy Lee Jones / le colonel Phillips
Hugo Weaving / Johann Schmidt / Crâne Rouge
Dominic Cooper / Howard Stark
Richard Armitage / Heinz Kruger
Stanley Tucci / le docteur Erskine

« Super-héros : l’éternel combat », par Michael Kantor (2013)
Sur Arte :
Vérité, justice et modèle américain, 53 min, le 18 avril 2015 à 22 h 10
A grands pouvoir, grandes responsabilités, 53 min, le 18 avril 2015 à 23 h 05
Tous des héros ?, 54 min, le 19 avril 2015 à 0 h 00

Visuels : 
© Getty Images
Les éditeurs de comics américains se sont peu à peu focalisés sur d'autres cibles : les jeunes lecteurs.

© DC Comics
Superman

© Getty Images
Les éditeurs de comics américains se sont peu à peu focalisés sur d'autres cibles : les jeunes lecteurs.

© DC Comics
Afin d'échapper aux problèmes liés à la crise, les Etats-Unis développent une nouvelle industrie au XXe siècle : les comics

© DC Comics
Les personnages colorés des comics, venus d'Amérique, ont eu un succès mondial

© Marvel Entertainment, LLC
The Avengers, une équipe de super-héros de Marvel Comics.

© Universal/Courtesy Everett Collection
L'incroyable Hulk

© Marvel Entertainment, LLC
Dessin représentant Nick Fury, un presonnage de fiction de Marvel Comics.

© Twentieth Century-Fox Film Corporation/Photographer: Attila Dory
Tornado, personnage de comics de l'univers Marvel Comics faisant partie des X-Men.

© Marvel Entertainment, LLC
La série "X-Men"

© Getty Images
Le dessinateur de comics Jim Lee au "Wizard World East", convention réputée sur les comics.

© Pete Souza/The White House
A la maison blanche, le président Barack Obama est attaqué par un petit Spiderman.


A lire sur ce blog :
Les citations proviennent d'Arte et de la série documentaire. Cet article a été publié le 18 avril 2015, puis les 8 novembre 2015, 22 février 2017 et 27 juin 2018.

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